L’émotion est déjà retombée. Les beaux principes oubliés. Tout comme le "message" des Français qui a été entendu et compris par tous, mais interprété à leur sauce.
Le temps d’entrer par une oreille et ressortir par l’autre est extrêmement bref. Surtout si on en juge par les têtes d’ assez petite taille, de ceux qui nous ont entendu, sans jamais nous exaucer.
C’est ainsi que les derniers résultats publiés, le président de l’ex-UMP s’est esquivé au foot. Il n’allait pas refaire le coup du Fouquet’s, on lui reproche déjà suffisamment son manque d’imagination. Et avec un homme d’affaire qatari de surcroît, avec lequel il s’affiche ouvertement. Après il s’étonnera des soupçons de financements frauduleux, de ses campagnes !
Le lendemain, il vire la belle N K-M qui l’a pourtant bien soutenu, durant son quinquennat.
On sent tout de suite, la volonté du président des Républicains, de s’impliquer à fond, dans ces "changements"...
Un autre hurluberlu, du PS, celui-là, tint à peu près le même langage, à l’adresse de ses Chers électeurs (ou mercenaires...). Et curieusement, il s’exprimait à la place du président Cambadélis. Rassurez-nous, on ne va pas le jeter, lui aussi ? Surtout que des A B C (affreux bruits de couloir) laissent entendre que le Dray, piaffe pas mal, du côté de Solférino. Mais le monde est plein de méchantes langues.
Bref, au lendemain de sa profession de foi d’un changement radical, de la politique partisane, le Premier ministre absout, Bartolone, des propos dénigrants qu’il a tenu envers Mme Pécresse.
Mais là aussi, les mauvaises langues, complotistes, celles-là, laissent entendre que le "buzz" aurait été méchamment scénarisé, pour détourner l’attention du cheptel, d’un parti qui monte trop haut, trop vite.
Et ça, j’aime autant vous dire, que je n’y crois pas une seconde ! La République est dans un état préoccupant, mais non ! Ils n’iraient pas jusque là.
Rendez-vous dans un... trimestre, pour évaluer ce qui a... changé...
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et 
!
