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Emma, 20 ans, imagine "un monde où les femmes n’ont pas à porter de spray au poivre"

Pour comprendre la souffrance d’Emma, prière de regarder ce petit document qui explique le bon usage du spray au gaz poivré, dans lequel il suffit de remplacer l’ours, un prédateur du Canada, par l’homme, un prédateur universel dont les femmes sont les premières victimes. Parce que plus faibles, plus désirables aussi. C’est compliqué la life !

 

 

Courageusement, au mépris de toutes les lois patriarcales de tous les machos du monde, L’Obs donne la parole à Emma, jeune Américaine de 20 ans qui espère beaucoup dans le mouvement « me too », un truc qui veut dire que toutes les femmes ont un jour été victimes d’une insulte, d’un mot cru, d’un harcèlement ou d’un viol de la part d’un homme. Cela va dans le sens de la déclaration mondiale de la superbe Caroline de Haas selon laquelle un homme sur deux ou trois est un porc.

Ici un éleveur de cochongliers nous parlent de ces animaux qui ne sont pas forcément agressifs et qui sont en outre très bons à déguster :

 

 

On rappelle que Caroline a été présidente de l’UNEF, ce syndicat étudiant qui a toléré pendant de nombreuses années une chasse à la gonzesse parmi ses membres. Ou elle a été aveugle, ou elle a été complice. Pour une féministe avertie, ça la fout un peu mal. Mais disons que son « socialisme » passait avant son féminisme, son ambition avant ses convictions...

L’Obs donne donc la parole à une jeune féministe US dont on se demande comment elle pourra trouver un Jules avec tout ce que le mondialisme lui a fourré dans la tête. Pour elle, c’est clair, l’homme est l’ennemi et la femme la victime. Ça nous annonce une bonne guerre des sexes qui va encore servir les minorités dominantes, celle qui imposent à la majorité un « progressisme » qui sent la dictature...

 

 

- La Rédaction d’E&R -

 


 

Pancarte « Respect me » à la main, Emma Smith a été photographiée à Paris durant la manif #MeToo du 27 janvier, place de la République, au milieu de milliers d’autres femmes. Agée de 20 ans, cette Américaine originaire du Minnesota est jeune fille au pair dans une famille parisienne depuis l’été dernier. Militante féministe, elle fait cette semaine la une de l’Obs et nous explique pourquoi elle est spontanément descendue dans la rue pour dire « Moi aussi ». Interview.

 

 

Tout a commencé dans votre pays natal, à l’automne dernier, après les premières accusations visant le producteur Harvey Weinstein. Comment avez-vous vécu cela depuis Paris ?

J’ai emménagé à Paris en juillet dernier donc j’ai vu naître le mouvement #MeToo à distance. J’ai éprouvé beaucoup de fierté en le voyant émerger, et un peu de jalousie aussi à l’idée de ne pas y participer. Mais quand j’ai vu que le mouvement gagnait la France, je me suis dit que j’allais à mon tour pouvoir agir, aider... Il y avait quelque chose de très excitant : j’ai découvert non seulement comment la France appréhendait ce mouvement, mais aussi l’Amérique.

« J’ai parfois honte de dire que je viens des États-Unis, principalement à cause de notre président. »

C’est principalement à cause de lui que ce mouvement est si important maintenant. Il a montré jusqu’où les hommes riches peuvent aller, y compris s’il s’agit d’agresser ou de harceler de nombreuses femmes. Il ne devrait même pas être autorisé à tenir un restaurant… alors un pays…

 

Aller manifester aux côtés d’autres femmes dans les rues de Paris, ça allait de soi pour vous ? Quelles étaient vos motivations ?

Plusieurs raisons m’ont poussée à rejoindre #MeToo. Tout d’abord, notre message doit être le plus massif et le plus clair possible : nous devons être entendues, nous n’acceptons plus d’être réduites au silence. Ensuite, je ne connais aucune femme autour de moi qui n’a jamais été harcelée, agressée ou abusée. Troisièmement, il me semble que trop d’hommes puissants abusent de leurs pouvoirs et que cette vérité doit être révélée. En parlant, des empires s’effondrent et des dirigeants tombent : c’est ce dont nous avons besoin pour reconstruire un monde où les femmes n’ont pas à craindre pour leur vie si elles disent « non » à un homme, un monde où elles sont respectées...

« Un monde où les femmes n’ont pas à porter de spray au poivre sur elles en permanence... »

[...]

À titre personnel et en tant que jeune femme de 20 ans, qu’avez-vous ressenti face à ce déferlement de témoignages, #MeToo, #Balancetonporc ?

Lire toutes ces femmes qui partagent leurs histoires c’est à la fois effrayant et réconfortant. D’un coté, ça me brise le cœur de découvrir ce que ces femmes ont dû endurer. Mais toutes ces femmes sont fortes, incroyablement courageuses et elles m’emplissent d’espoir.

« Imaginer un monde plus safe pour les femmes, ce n’est pas utopique. »

Peut-être que le monde peut changer, si toutes les femmes se rebellent contre le patriarcat. Je crois vraiment que nous pouvons et que nous devons le faire.

Lire l’article entier sur nouvelobs.com

 

Sur le mouvement « Me Too » et ses opposant(e)s :

Sauvons les rapports hommes femmes !
En lisant sur Kontre Kulture

 

Porcs contre féministes, sur E&R :

 






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57 Commentaires

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  • D’un coté il y a "jean claude duce" et de l’autre le harceleur, je crains que les deux ne soient mis dans le même sac
    le harcèlement, est a mes yeux ni plus ni moins que le préambule d un crime qui rappelons le peut être commis par ruse, par contrainte et sans violence
    Ces gens la , ne supportent pas la frustration, et bien apprenons leurs a la supporter

    Maintenant , Mesdames, concernant les Hommes, qui je tiens a vous le rappeler ne sont pas tous ( loin s’en faut ) des violeurs ou des violents, vers qui vous retournez vous lorsque vous êtes incommodées par ces connards ? Peut être vers des personnes qui conservent encore une part de virilité

     

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  • #1905666

    Mais je suis sur qu’emma, 20 ans, est pour l’arrivé massive de tous ces migrants, véritable parasites nomade "d’en bas" et prédateur sexuel en puissance. C’est vrai que dans ce délire gauchiste, seul l’homme occidental serait dangereux (pour le marché oui).

     

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    • ouais, bon, ca va, les migrants, il y a déjà eu plusieurs commentaires, on a compris l’idée.
      le problème est bien plus complexe, et les vrais prédateurs sont souvent des gens puissants, intouchables, les pires étant ceux qui sont dans des réseaux d’élite (et ce ne sont pas des migrants).

       
  • Si le féminisme moderne ne vous plait pas alors ne faites pas de masculinisme tout aussi ridicule et arrêtez simplement de parler des tout ces trucs de bonne-femmes....

     

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  • #1906285

    Doit on lui dire que le rouge a lèvre a été fait pour imiter les muqueuses des lèvres des femmes qui gonflent et rougissent lorsque la femme est en période d’Ovulation.
    C’est donc c’est un signe qui informe les mâles qu’il faut copuler avec la femelle.

     

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  • #1906639

    Les femmes aussi ont beaucoup souffert, les heures les plus sombres depuis la nuit des temps..

     

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  • #1906735

    Je suis un homme timide, qui a toujours eu des problèmes de confiances en soi, et qui au fond a toujours eu un peu peur de faire du mal à l’autre (la femme) de par un comportement dégénéré (adultère, etc. ...) d’où mes difficultés à trouver des femmes pour vivre avec. Trop gentil, trop naïf, j’ai compris que les filles nous disent devant qu’elle préfère les hommes gentils et au fond elles rêvent de se faire dominer par un homme viril ...... Voilà ou ça nous mené, les me*** féministe. Aujourd’hui je ne suis plus gentil, je ne suis plus à me prendre la tête, j’en ai plus rien à foutre, je ne recherche que le plaisir et je lâche l’affaire quand ça devient trop sérieux. Voilà madame merci à vous (je vise des personnes particulières, notamment les féministes, mais je ne vise pas toutes les femmes, loin de la). Comme dit mon sociologue préférer, demander à une femme (féministe plutôt) comment se fait-il que les hommes riches aient toujours plus de sucée avec les filles que les sans dents, et là elles buggent, elles ont les fils qui se touchent (lot).
    Ce que font le féministe c’est féminiser l’homme jusqu’à ce qu’il devienne un ersatz de "femme" (sois juste un cul des seins et une tète surmaquillé, alors qu’une Femme c’est tellement plus que cela !!!!!!!). Regardez chez les geek le nombre de Sissi, regardez les mecs qui porte des sous-vêtements féminins, regardez comment les hommes deviennent des "filles" et se dévirilisent en fait. Moi je dis une féministe ça ne mérite qu’une chose mais j’ose pas le dire ici, mais c’est facile c’est en 4 lettres/
    Parce qu’au fond c’est juste des mal b*****
    Vive les vrais Hommes et les vraies Femmes !!!

     

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  • Tous les hommes aussi ont une histoire de souffrance à cause des femmes.
    Seulement ça on en parle jamais...... Faudra remettre ça sur le tapis un jour. Quand on aura baisé suffisamment de femmes pour faire le bilan en bout de course

     

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  • Elle ne connait pas de femmes qui n aient pas été harcelées ou agressées...mais elle fréquente qui, cette jeune personne ?
    Il faudrait peut-être qu’elle s’interroge sur le choix de ses relations. Et qu’elle réfléchisse au danger de la généralisation.
    Des hommes seins...euh sains -pardon Marlene pour ce lapsus- et des femmes en paix avec les hommes, j’en côtoie plein. Comme quoi...

    Vive la puissance de la fonk !

     

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  • #1907349

    Encore une fois il semblerait qu’il faille aller au fond des choses. Les récents travaux de Monsieur Durain aurait le mérite d’éclairer ces questions au lectorat de ER à qui l’on propose trop souvent les mêmes analyses. Son émission avec l’excellent Charles Robin vaut son pesant de cacahuètes ! https://www.youtube.com/watch?v=yjD...

     

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  • Je suis une femme. Effectivement il m’arrive d’être draguée de façon plus ou moins "convenable" mais je n’appelle pas ça du harcèlement.
    Un homme a toujours abordé une femme ce n’est pas pourtant que c’est un violent ou un violeur.
    Je ne dis pas que le viol n’existe pas, non, loin de là, mais on n’appelle pas ça du harcèlement mais effectivement du viol et là c’est horrible.
    Lorsque le mec est trop lourd, il m’est arrivé de le gifler et je vous assure que ça calme.
    Les femmes ne sont pas toutes irréprochables et sont capables de faire beaucoup de mal.
    On parle un peu trop de harcèlement, le mot est un peu fort dans certains cas.
    Je ne plaindrai jamais les nanas victimes de leur producteur, trop facile de dénoncer après d’avoir décroché des contrats.

     

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