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Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle

Ou l’instrumentalisation des animaux à des fins malhonnêtes

En guise d’apéritif nous avions soumis à la sagacité de nos lecteurs, mais sans les aiguiller vers aucune hypothèse, un article de presse qui s’affairait à relayer un ragot (l’homosexualité chez les animaux) connaissant un succès croissant en notre époque de propagande LGBT et qui pourtant ne résiste pas à une critique honnête et sérieuse. Nous allons le démontrer.

 

Définitions

Toute analyse scrupuleuse se fonde sur l’édiction de définitions claires et non contradictoires. Ainsi, demandons-nous tout d’abord : qu’est-ce que l’homosexualité ?

L’homosexualité n’est pas la relation sexuelle entre deux êtres de même sexe. Cela peut paraître curieux mais la rigueur nous impose de l’écrire. Un homme en prison (ou une femme) privé d’activité sexuelle avec un partenaire qui se risquerait à quelques pratiques pédérastiques serait-il un homosexuel ? Assurément non.

L’homosexualité est précisément la fixation du désir sur un être de même sexe que soi. Mieux (ou pire), l’homosexualité est la fixation exclusive du désir sur un être du même sexe, à l’exclusion donc de l’autre sexe qui n’entraîne aucune réaction à caractère sexuel.

Ensuite il faut se demander ce qu’est la reproduction sexuée, sa particularité et ses avantages. Il se trouve que la Vie, une fois sortie de la cellule simple de type procaryote puis eucaryote, s’est dirigée vers la complexité d’êtres multicellulaires (éponges, vers, etc.) qui rapidement ont fait le choix (n’y voir aucune intention ni finalité – nous nous en tenons à une analyse neutre scientifique) de la reproduction sexuée.

La reproduction sexuée, si elle s’est imposée de façon généralisée chez les êtres supérieurs (en complexité), ne l’a pas fait par hasard. De très nombreux avantages y sont liés, dont la sélection naturelle qui permet d’améliorer de façon constante chaque espèce, chaque race.

 

 

Conséquences

Dès lors, que penser de cette fable urbaine exploitée à l’envi par une propagande qui ne s’embarrasse pas de la rigueur scientifique que le sujet impose pourtant ?

- Les animaux ont-ils des comportements qui paraîtraient mimer ce qu’on appelle l’homosexualité chez l’Homme ? Il semblerait.
- Les animaux expérimentent-ils pour autant un comportement homosexuel ? Sont-ils, au moins dans certains cas, homosexuels ? Assurément non.

En vertu des définitions citées supra, les animaux ne peuvent en aucun cas connaître de comportements homosexuels et encore moins être qualifiés d’homosexuels. En effet, ils contreviennent à tous les pré-requis :

1. Les comportements considérés d’homosexuels par abus d’anthropocentrisme de la part des propagandistes ne sont jamais exclusifs. On n’a jamais vu de singe bonobo refuser l’accouplement avec une femelle après avoir mimé un comportement homosexuel.

2. Le plus simple – et même le plus malhonnête – des éthologues fait la distinction entre un comportement de sexualité (la sexualité se définissant biologiquement comme évidemment hétérosexuelle car à visée reproductive) d’un comportement qui n’est pas sexuel. Or, tous les comportements paraissant homosexuels ont des objectifs toujours très clairs : apaisement social dans le cadre de tensions intersubjectives, attitude de soumission vis-à-vis d’une hiérarchie sociale, remerciements, etc.

3. D’ailleurs les comportements dits homosexuels chez l’animal sont très rarement (pour ne pas dire jamais) l’objet d’une pénétration anale (puisqu’en vérité les militants LGBT sous-entendent généralement une homosexualité masculine en nous montrant des coïts mais jamais des 69 lesbiens...) mais un simple frotti-frotta nécessaire à l’accomplissement des objectifs indiqués dans le point 2.

4. L’homosexualité étant d’une efficacité nulle en matière reproductive, aucune espèce animale survivante n’a pu privilégier ce choix (ou elle aura disparu).

5. Par conséquent, l’homosexualité même si on l’imaginait ponctuelle chez quelques individus, ne peut jamais subsister car elle s’éteint nécessairement avec la mort de l’individu qui ne se reproduit pas puisqu’en vertu de notre définition stricte, l’homosexualité ne connaît aucun désir pour l’autre sexe, et donc n’entraîne aucun acte reproductif instinctif (alors que chez l’homme on a vu des hommes homosexuels s’accoupler à contre-cœur avec des femmes dans le cadre d’un projet précis de parentalité – projet qu’on ne peut bien sûr pas prêter à un animal).  

 

Apparté

On n’abordera pas ici le caractère génétique ou environnemental (c’est-à-dire l’éternel poisson de mer du « nature ou culture ») de l’homosexualité humaine. Mais l’on peut dire que :

- soit l’homosexualité est génétique et nous ramenons notre lecteur aux points 4 et 5 ci-dessus,

- soit l’homosexualité est environnementale, c’est-à-dire liée à l’environnement social et/ou à l’éducation et/ou la culture, et on n’aura aucune peine à exclure les animaux de ces processus « culturels » en ce qu’ils sont spécifiquement humains (même si nous ne nions pas bien sûr les conduites sociales et culturelles chez l’animal mais à un degré bien trop faible pour fabriquer un individu homosexuel comme cela pourrait être le cas chez un humain, pour qui adhère à la thèse environnementaliste : relation avec la mère, positionnement dans une fratrie, etc.).

 

Conscience et sexualité

Pressés de nous vendre l’homosexualité comme une sexualité naturelle, ses thuriféraires tombent dans l’erreur la plus élémentaire : pécher par anthropocentrisme. Car c’est aller très vite en besogne que d’imaginer les processus conscientiels de la girafe ou de l’éléphant de mer comme ceux de l’Homme.

En effet, la capacité de l’Homme à manier l’abstraction et créer du concept est unique parmi toutes les espèces animales. Même si certains singes, dauphins voire quelques oiseaux font montre d’une intelligence étonnante, en aucun cas ils ne savent manier les informations reçues en les subsumant sous des concepts.

Or c’est cette particularité qui change tout en matière de sexualité.

Chez l’animal, il n’y a que des réponses à des stimuli agréables ou désagréables et un instinct de reproduction qui le pousse à pratiquer une gymnastique reproductive sans savoir ni encore moins comprendre ce qu’il fait (mais on imagine aisément que s’il avait eu la mauvaise idée d’ignorer cet instinct il serait mort – ce qui est peut-être arrivé chez certaines espèces disparues ?).

Chez l’homme, la capacité de la conscience à penser sa pensée (c’est-à-dire le passage entre la conscience perceptive animale et la conscience réflexive humaine) constitue une révolution ! Le plaisir sexuel n’est plus vécu comme un présent agréable mais devient un concept que l’on peut manier dans le temps et dans l’espace : l’acte sexuel est un projet (drague, libertinage, etc.), mais l’acte sexuel c’est aussi un objet. Or, seule une conscience réflexive qui conceptualise l’objet de son désir (en en faisant un objet de conscience) peut entraîner un déplacement de la cible, et donc diriger son désir vers un autre objet.

Les exemples ne manquent pas : si la reproduction ne nécessite que le coït vaginal, on doit constater que l’objet du désir est parfois situé ailleurs. Ce déplacement topologique est spécifique à l’Homme. Non pas que l’animal n’aurait pas quelque plaisir aux pratiques buccales (par exemple), voire même pourrait s’y adonner, mais cela ne reste que le résultat d’un accident et jamais un projet (c’est-à-dire un fantasme, donc un désir).

Un autre exemple nous vient naturellement à l’esprit. En 2019, la plupart des hommes élevés à la pornographie (nés après 1985 environ) ne fantasment plus que sur les femmes intégralement épilées et s’horrifient des poils d’un sexe féminin naturel, comme le rappelle cet article relayé sur nos pages. Or, c’est pourtant bien notre spécificité humaine d’animal bipède qui a fait apparaître chez l’Homme les poils pubiens et axillaires (sous les bras) alors qu’ils sont totalement absents chez tous les autres animaux, y compris les singes ! Le poil pubien est le signe de fécondité rendu visible par la posture debout et seul lui peut et doit exciter le mâle humain.

Nous avons donc ici un magnifique cas de détournement de l’objet du désir (ici par la pression de la pornographie omniprésente et ses relents pédophiliques) : l’homme d’aujourd’hui n’est plus excité que par un sexe de petite fille (imberbe), ce qui contrevient à toute visée reproductive. Toute espèce animale atteinte par cette maladie civilisationnelle s’éteindrait en une seule génération !

 

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L’homosexualité comme fétichisme

On l’a vu, chez l’Homme la sexualité, si elle reste aussi instinctive, a été investie par la conscience et l’objet (ou les objets) de désir, en tant qu’ils deviennent des objets de conscience conceptualisés, peuvent trouver des cibles qui s’éloignent de la seule cible que la Nature puisse privilégier : celle du partenaire du genre opposé et même, plus précisément, de son appareil génital comme objet de désir.

Cette dérivation de l’objet initial s’appelle le fétichisme. L’homosexualité est un fétichisme comme un autre. L’objet du désir n’est plus l’objet naturel. D’aucuns n’en pincent que pour les pieds, d’autres pour le latex, certains pour des choses moins recommandables.

C’est ainsi que toute transposition chez l’animal du fétichisme sexuel ne serait qu’un anthropocentrisme parfaitement hors-sujet.

 

 

La bisexualité comme dernier joker

Puisqu’il est donc facile de démontrer que l’homosexualité n’est pas et ne peut pas être un comportement animal, les commentateurs LGBT ou leurs relais médiatiques ont imaginé que l’animal était bisexuel. Ainsi il naviguerait dans une recherche de plaisir indistinct qui, presque par accident, se trouverait parfois hétérosexuel et donc reproductif !

Une fois de plus, tous les comportements animaux mimant une sexualité autre que reproductive ne sont que des conduites instinctives et liées à des aspirations primaires (plaisir, soulagement, etc.) ou des attitudes sociales (hiérarchie, apaisement, etc.).

C’est ainsi que – et nous nous répétons encore – toute transposition chez l’animal d’un comportement sexuel humain n’est qu’un anthropocentrisme parfaitement hors-sujet.

Ou de la propagande.

 

 

Conclusions sur la sexualité humaine

Qu’est-ce que nos analyses disent alors de la sexualité humaine non strictement hétérosexuelle ? Qu’elle est non naturelle (non physiologique dit-on en langage médical) en ce qu’elle est une pure création de la conscience humaine qui manipule l’objet ou les objets de ses désirs pour les faire dériver vers de nouveaux objets qui n’ont plus aucun rôle reproductif ni évolutif.

Que la bisexualité signe la capacité de l’homme à étendre la liste des objets de désir dans le cadre du fétichisme sexuel.

Que l’homosexualité stricte se situe aux confins du processus humain de dé-réalisation et de son aptitude à se détourner totalement du sujet désiré naturel.

Que la sexualité devient une activité récréative (car comme le rappelle Alain Soral, se faire enculer ne reste encore qu’une activité de loisir).

Toutes choses auxquelles la spécificité animale ne peut définitivement pas souscrire. CQFD.

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126 Commentaires

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  • #2242523
    Le 19 juillet 2019 à 01:06 par Renardox
    Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle

    L’anthropomorphisme parait tout aussi fort dans l’article ci dessus que chez les personnes qu’il entend contredire.
    Le monde animal est bien plus complexe et varié que l’on ait tendance à le penser généralement et ne se limite pas aux chiens et chats...

    Cet article pèche par son manque d’exhaustivité.
    Il est faux d’affirmer que l’homosexualité n’existe pas à des fins reproductives dans le monde animal :
    Une espèce particulière de punaises pratique une orgie (l’orgie étant par ailleurs le seul mode de reproduction bien connu chez les abeilles et les fourmis)..
    Donc, ces punaises s’accouplent non par le vagin mais par pénétration directe du corps : les spermatozoïdes rentrent dans le sang.
    De ce fait, dans cette partouze gigantesque, les mâles "piquent" indifféremment tous leurs congénères quel que soit le sexe, et chaque mâle peut transmettre d’autres spermatozoïdes à d’autres mâles jusqu’à ce que ceux-ci parviennent à une femelle...
    (et tout cela dans une frénésie qui ne semble pas leur être désagréable)

     

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    • #2242553
      Le Juillet 2019 à 05:47 par Le rédacteur
      Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle

      Cet article pèche par son manque d’exhaustivité.



      Vous m’excuserez d’avoir voulu éviter de déployer une thèse sur 100 pages, ce qui m’aurait permis l’exhaustivité que vous appelez de vos voeux.

      D’autant que, quelque soit l’exemple que vous preniez (ici des punaises), aussi particulier qu’il soit (et donc absolument pas généralisable), vous ne contredirez jamais la thèse essentielle de l’article : l’Homme est doté d’une conscience réflexive qui change tout.

      Dès lors, à moins que vous ne dotiez votre exceptionnelle punaise d’une telle conscience réflexive, elle n’agira que mécaniquement et jamais comme un désir tourné spécifiquement (et même exclusivement dans le cadre de l’homosexualité) vers une punaise du même sexe par choix.

      Dès lors tout modèle animal reste un modèle animal et n’est absolument pas transposable à l’Homme.

      Cela devait être dit pour faire taire "l’escroquerie de l’hypothèse naturelle" (titre de l’article).

       
    • #2242579
      Le Juillet 2019 à 07:44 par Tetar 1er
      Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle

      C’est fou comme le savoir ne sert à rien quand on est totalement dénué d’esprit de synthèse.

       
    • #2242985

      Ah oui les fameuses punaises... Je n’irai pas jusqu’à dire que les homosexuels sont une espèce nuisible bonne à écraser avec une godasse mais tout de même ces bestioles ne ressemblent pas à un modèle pour construire une civilisation humaine...

       
    • #3225968

      C’est exactement ce qu’il dit : c’est une homosexualité de circonstances, non-recherchée et non-exclusive. Le fait est que les punaises mâles finissent pas féconder les femelles, si ils pouvaient garder leur semence pour elles ils le feraient probablement, mais ils n’ont pas la capacité de discernement d’où ces comportements. Pour être de "vrais homosexuels" ils faudraient qu’ils aient la capacité de choix, et se tournent délibérément vers les individus de même sexe, comme le font les homosexuels humains.

       
  • #2242780
    Le 19 juillet 2019 à 14:11 par pehlivan
    Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle

    merci à E@R pour tout votre travail.
    concernant cet article je suis d’accord sur la propagande sournoise LGBT qui essaie de démontrer que l’homosexualité est naturelle parce que présente chez les animaux. en revanche, l’histoire du sexe imberbe, ou l’allusion sur l’enculage en tant qu’activité de loisir, ça me passe au-dessus de la tête. je trouve ça assez réducteur car il y a une grande diversité chez les pédés, quand même.
    par exemple, moi j’ai toujours été attiré uniquement par des hommes et j’ai ce qu’on pourrait nommer un fétiche pour la lutte. le fait de voir deux hommes poilus et barbus dans un corps à corps, ça me fait bander instamment. ma propre pratique sexuelle , c’est dominer ou se faire dominer, par la lutte, j’aime les deux.
    je déteste les hommes efféminés, et en général, j’essaie de les éviter. j’ai toujours recherché la masculinité, y compris dans mon propre comportement. je suis conscient que je ne suis pas un mâle alpha, mais en me comparant avec une bonne partie des hétérosexuels français, je me sens assez conforté dans ma virilité (c’est un peu moins le cas avec les hommes aux US ou en Russie).
    politiquement je suis conservateur et anti-LGBT, mais je reconnais que ce n’est pas très courant chez les pédés.
    pour revenir à l’article, la sodomie ne m’intéresse pas. en revanche, les poils - si. beaucoup. comme disent les allemands, “baiser sans moustache, c’est comme une soupe sans sel”.
    allez, bisous, bon combat et au plaisir de vous lire.

     

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  • #2242808
    Le 19 juillet 2019 à 14:59 par JC Dusse
    Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle

    Le sexe entre un homme et une femme hors du mariage s’appelle de la fornication, qui est aussi une forme de fétichisme/idolâtrie. (rien de puritain là-dedans, c’est le cas dans la plupart des sociétés) La sexualité est toujours perverse si elle n’est pas bien encadrée et ritualisée.
    Pour que le « mâle humain » puisse s’accoupler avec la « femelle humaine » (houga houga, moi Tarzan, toi Jane hahah) il faut déjà qu’il ait en ait les moyens (financiers), qu’il ait un travail (utile à la société), afin de pouvoir faire vivre son ménage. Puis le mariage peut être consommé une fois que l’Eglise a donné le feu vert. (maillot épilé ou pas, après ça c’est leur affaire hein).

     

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    • #2243315
      Le Juillet 2019 à 11:30 par Sincèrement
      Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle

      L’Eglise ... Laquelle ?

      Celle du Vatican ou celle de la Macronnerie ?

      Ha mon avis aujourd’hui pour qu’un mariage réussisse : n’en parler à personne. Tout ce qui est officiel aujourd’hui est forcément corrompue. La Lumière et la sincérité d’un mariage ne peut s’épanouir que dans le secret à présent. Jusqu’à preuve du contraire.

       
  • #2242979
    Le 19 juillet 2019 à 18:43 par Auri
    Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle

    Déjà quand on cherche à se justifier par des comportements animaux c’est qu’il y a un problème. Les animaux ne construisent pas de cathédrales par exemple, mais on s’en fout parce que c’est beau et c’est bien. Malgré tout le blabla homosexualiste, ces gens on encore du mal à assumer leur subversivité on dirait.

     

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  • #2243350
    Le 20 juillet 2019 à 12:18 par poumier
    Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle

    Evidemment, sauf cas de force majeure, on ne rencontre pas d’homosexualité dans la nature ; la force majeure, c’est l’oppression par des mâles (ou des femelles ?) dominants, la privation d’occasion de satisfaire ses désirs normaux (absence de partenaires de l’autre sexe) ; on l’observe dans les troupeaux : vaches ou chèvres sans mâle à l’horizon compensent comme elles peuvent, trop de coqs dans une basse cour idem. Pour l’humain, il est évident que ces facteurs jouent dans les prisons, par exemple, et actuellement, les pollutions par les multiples poisons affectant nos capacités reproductives diminuent d’autant la puissance du désir de satisfaction avec l’autre sexe. Il y a donc une augmentation de l’homosexualité par augmentation de l’impuissance (psychologique et physiologique). A ma connaissance, personne n’a la moindre idée de ce qu’on peut faire pour restaurer la propreté et la nature dans la nature, à part attendre quelques millions d’années, et voir s’il reste des humains moins atrophiés et anémiés que les actuels.

     

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  • #2243444
    Le 20 juillet 2019 à 14:03 par Stone
    Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle

    Un article très intéressant....

     

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  • #2243446
    Le 20 juillet 2019 à 14:03 par RrexX
    Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle

    @Renardox
    Pour les abeilles on peut plutôt parler de "gang bang" la reine s’accouplant avec plusieurs mâles lors du vol nuptial hors de la ruche. Les mâles mourront après l’acte tombant au sol amputés du bout.
    La reine fécondée stocke les différents spermes dans une spermatheque dans laquelle elle peut sélectionner le sperme. Elle pond des milliers d’œufs dans les cellules de la ruche.
    Pas de mâles pas d’œufs même si parthenogenese possible dans certains cas. Aucune homosexualite la dedans.
    La base de la reproduction qui assure la pérennité dune colonie c’est mâles+femelle.

     

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  • #2243672
    Le 20 juillet 2019 à 18:16 par Mike
    Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle

    Ce n’est pas parce qu’on ne goûte pas la pensée lissenkiste des propagandistes Lgbt (la biologie n’existe pas), qu’il faut répéter le catéchisme darwiniste.

    Il est difficile d’observer l’homosexualité sous cette définition d’ "attirance exclusive" dans le monde animal parce qu’on ne peut pas leur faire remplir un questionnaire. Reste que des chiens qui préfèrent s’enculer, ça existe.
    On dirait les comparaisons pourries qui cherchent à démontrer des fautes supposées des humains en mettant en mettant en avant les vertus animales : l’être humain est la seule espèce à consommer le lait d’un autre animal, est le seul qui met des vêtements...

    L’amélioration de la race par la reproduction sexuée ? Pas démontrée. Juste assénée avec force.

     

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    • #2243757
      Le Juillet 2019 à 20:06 par traitor
      Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle

      « l’être humain est la seule espèce à consommer le lait d’un autre animal, est le seul qui met des vêtements... »
      Non, certaines fourmis consomment le lait des pucerons. Vous voyez, la nature est le règne de la diversité. Quelle ineptie de vouloir tout enfermer dans des petites cases !
      J’aime beaucoup cette phrase de Cioran : "tous les animaux ont une tenue décente, hormis le chimpanzée. On sent que l’homme n’est pas loin ...". çà aide à relativiser la place de l’homme dans l’univers

       
  • #2243674
    Le 20 juillet 2019 à 18:20 par Mike
    Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle

    Toute la production picturale et la statuaire classique jusqu’à Courbet évite de représenter les poils. C’est quoi encore cette thèse d’héritage du porno ?

     

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    • #2244168
      Le Juillet 2019 à 11:56 par l’étroit petit cochon
      Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle

      l’auteur de cette thèse géniale ? A votre avis ? C’est encore une thèse du Grand Conduccatore, du Guide Suprême, du Merveilleux entre tous les Merveilleux. Qui d’autre ?

       
    • #2244229
      Le Juillet 2019 à 13:38 par Sanseverino
      Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle

      Tu viens de démontrer (sans le vouloir) la thèse de l article haha

      En effet les poils n etaient pas montrés car ils etaient indécents en ce qu ils etaient excitants. Or la pudeur voulait qu on ne montre pas de représentations de telles choses que sont le désir, la sexualité, le plaisir.

      Alors on eliminait les poils pour faire comme si on avait à faire à des petits enfants, des femmes sans sexe, pas excitantes pour un sou !

      Le poil c est donc bien ce qui excite le spectateur !

      Alors dans le porno me direz-vous ? He bien on peut difficilement admettre que le porno cherche à être neutre puisqu au contraire il cherche à exciter au maximum ! Donc l’absence de poil correspond à autre chose : exciter progressivement en les faisant disparaître petit à petit (annees 80 90 2000). Or s exciter sur ce qui ne le devrait pas naturellement est une attitude anormale. Et à quoi ressemble un sexe de femme sans poils ? A celui d un enfant.

      CQFD comme dirait l article.

       
    • #2244311
      Le Juillet 2019 à 15:37 par l’étroit petit cochon
      Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle

      à sanseverino,
      on peut difficilement imaginer que l’industrie pornographique présente une offre qui ne correspond pas aux attentes du public, fort nombreux. Les gens ne veulent plus voir de poil. Les gens deviennent donc de plus en plus pédophiles. CQFD !

       
  • #2244296
    Le 21 juillet 2019 à 15:11 par JC
    Homosexualité : l’escroquerie de l’hypothèse naturelle

    De nombreuses premisses issue d’idée recue dans cette article. Par exemple, il n’est pas prouvé, que la reproduction sexuée a pour but d’améliorer le patrimoine génétique. On suppose plutôt que ce type de reproduction à pour but d’amener de l’aléatoire et de la diversité dans la reproduction des êtres complexes.

    Il aurait fallu faire la différence entre homosexualité masculine et feminine. Autant les études montrent plus de fluidité chez les femmes que chez les hommes.
    Quand à l’homosexualité masculine, les études démontrent une répartition moyenne de 5 à 7 % quelque soit la culture et son comportement vis à vis de l’homosexualité. Cette moyenne universelle tend à invalider l’hypothèse constructiviste ou freudienne, au profit d’un caractère biologique de ce type de comportement humain.
    Les études démontrent trois causes ( génétique, épi-génétique et hormonale avec le pic de testostérone pré natale) toutes issues du déterminisme génétique.

    La question du maintien de cette variante biologique, n’est elle toujours pas résolu.
    La théorie dominante reste celle de la parentèle. L’idée étant qu’ un faible pourcentage d’homosexuel dans une famille ou groupe augmente sa force de travail sans pour autant peser plus sur les ressources futurs. En résumé, cette famille sera plus nourri tout en maintenant un contrôle des naissances. Des données fiables viennent à l’appui de cette théorie ( prévalence d’homosexuel en cas de stress important chez la mère, ou les donnée concernant les familles nombreuses)

    Pour plus de précision, je conseille un bouquin de vulgarisation sur le sujet : biologie de l’homosexualité.
    Et pour ceux qui n’arrivent pas à dormir, l’excellent cours de l’Université de Stanford : Behavioral genetics dispo sur youtube.

     

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