Je ne comprends pas ce que vient faire le mot "révisionnistes" dans cette galère. Justement, des galères, le pape en a eu.
Mais les accords dits "du Latran" entre le royaume d’Italie et le Saint siège du 11 février 1929 imposent à l’Etat du Vatican (qu’il crée à cette occasion et qui est un des plus récents pays d’Europe) une éternelle neutralité. Il ne peut plus remuer de la calotte.
Article 24 : "Le Saint-Siège, en ce qui touche la souveraineté qui lui appartient, même dans le domaine international, déclare qu’il veut demeurer et demeurera étranger aux compétitions temporelles envers les autres États et aux réunions internationales convoquées pour cet objet, à moins que les parties en litige ne fassent un appel unanime à sa mission de paix, se réservant en chaque cas de faire valoir sa puissance morale et spirituelle".
"En conséquence, la Cité du Vatican sera toujours et en tous cas considérée comme un territoire neutre et inviolable".
Il en résulte que le pape François (dit "le dernier") est un vieux sacripant. Il viole ses obligations internationales en lançant ses hallebardiers suisses sus aux "révisionnistes" sanitaires, (on ne sait pas ce que c’est) ce qui sera sans doute vu comme la guerre la plus ridicule de l’histoire.
Après les avoir taillés en pièces, qu’en fera-t-il ? Il les enchaînera sur ses galéasses lépontiennes pour les faire ramer jusqu’à résipiscences et admettent l’existence de ... mais de quoi au juste ?