Je traînais souvent dans le quartier dans les années 1991-1993, la famille d´un copain avait un café juste à la sortie du Métro. C´était populaire, pas très sexy comme quartier, mais c´était très francais dans mon souvenir.
C´est devenu ainsi ensuite, mais ensuite c´est Delanoé, puis Hidalgo, les parisiens méritent leurs situations. Dans le même temps, le mètre carré est passé de 1500 euros le m carré un peu avant 2 000 à 8 000 en 2008 dans Paris.
La boboïsation ou lobotomisation pour riche a été réalisé, en 10 ans. Si on veut être honnête, on dira que cette immigration n´est pas la plus problématique. Dans le XIè, le centre mondial du boboïsme, on peut facilement entendre des " T´es bonne, tu suces. ", fréquemment, par des troisièmes générations.
La bobo heureuse de vivre ici est symptomatique, elle vient de sa province, et contente du changement, du vivre-ensemble, comme elle est jeune et bien fichue, elle le vit bien. L´Éducation Nationale et ses parents l´ont bien préparée a accepter la situation.
Elle est En Marche. Si elle a de la chance sur la trentaine elle finira en banlieue avec 2 gamins dans un pavillon. Mais en jouant avec le feu, ca peut mal tourner. Il faut les voirs ces maman de petits métis, seul avec les enfants, qui parlent du racisme en France.
Donner le pouvoir aux femmes, le meilleur moyen de détruire une société. Pas besoin de guerre, de mirador, juste des bonnes femmes soumises à une idéologie, ayant castré le mâle blanc ; toujours fou amoureux de sa femme à Paris.
La femme répète l´idéologie, oui au métissage, non au racisme, non au machisme. Le petit blanc se ratatine sous les furies de bobonne.
Il faut bien comprendre que pour voter Delanoé, Hidalgo, puis à 90% Macron, le parisien est, de loin, l´être le plus dégénéré de France.
Comme toujours, relire Céline, 3 pages sur Paris dans Bagatellles 1936, le bobo était alors le néo-parisien encore avec du foin dans le nez, fier de conquérir Paris, et déjà 2 millions de culs chiant dans 80 km carrés, une belle puanteur.
Ca n´a que peu changé aujourd´hui. Parler avec des parisiens de 40 ans, la plupart sont heureux de vivre dans cette ville extraordinaire, sous-entendu grâce à leur revenu ou l´héritage des parents, ils ont pu échapper à la banlieue. Encore plus sinistre il est vrai. Dés qu´ils ont 3 jours de libre d´ailleurs, ils dégagent de cette ville fabuleuse.