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Marlène Schiappa, l’amie du CRIF, veut imposer les quotas de femmes à 50% partout

 

Décidément, le féminisme version Schiappa – le schiappisme – vire à la dinguerie. Voilà que la secrétaire d’État se pique de « relever à 50% les quotas de femmes existant dans tous les domaines ». On attend les femmes éboueurs, les femmes parachutistes et les femmes pêcheurs sur chalutiers en Baltique et mer du Nord, un des boulots les plus durs du monde.

 

 

Mais le réel, Marlène s’en bat les ovaires : seule la victoire du mondialisme et la défaite de tous les conservatismes comptent.

 

 

Madame Figaro nous explique comment ça marche, le relèvement des quotas :

« Pour ce faire, Marlène Schiappa entend consulter le Haut-Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes (HCE). Une fois le principe validé, comme l’indique Challenges, un texte devrait faire évoluer la loi Copé-Zimmermann de janvier 2011, qui fixe à 40% la part des femmes dans les conseils d’administration des sociétés cotées. Puis, la loi Sauvadet de mars 2012, qui a étendu le système des quotas aux postes de la haute administration. »

 

La schiapparité

La parité dans un seul pays, ça ne marche pas trop, alors Marlène a profité du Women’s Forum Americas de Mexico des 30 et 31 mai 2019 pour lancer la parité dans tous les pays. Trotski n’aurait pas dit mieux. La grande cause nationale du quinquennat d’Emmanuel macron est, Marlène le rappelle régulièrement parce que tout le monde l’oublie régulièrement, l’égalité femmes-hommes. C’est sympa, ça ne veut rien dire mais si ça peut cacher un peu la violence libérale et le conflit haut/bas en le remplaçant par un conflit homme/femme, c’est toujours bon à prendre.

 

 

Dans les entreprises, cette parité a du mal à s’imposer. Le Fistival de Cannes (oh, une faute de frappe chirurgicale) applique la consigne, il chamboule l’ordre naturel des choses, c’est-à-dire des prix au mérite, pour laisser plus de place aux femmes. C’est ainsi que le prix du scénario a cette année été attribué au Portrait de la jeune fille en feu, un film lesbien réalisé par Céline Sciamma (en couple avec l’actrice Adèle Haenel, Adèle qui n’est donc pas la compagne de Yannick Haenel, l’écrivain qui s’est fait gronder par Claude Lanzmann pour son livre sur la Shoah). Voyons voir ce que donne la discrimination positive en faveur des femmes...

Sciamma  : « C’est sûr que c’est un film extrêmement intime, et puis un film qui parle d’amour et de création et qui, même si il prend la peinture pour objet, il parle aussi évidemment de cinéma, à la fois de dialogue amoureux et puis de ce que c’est de regarder quelqu’un, d’être regardé par quelqu’un. »

 

Ces cinq minutes d’’interview ont dû paraître mortellement longues au journaliste d’Arte qui rame pour essayer de tirer quelque chose du néant...
Pour comprendre l’objectif schiappique, il suffit donc d’appliquer cette escroquerie intellectuelle à tout le corps social.

Le 9 mars 2019, Marlène, sa voix de petite fille donneuse de leçons (la Greta Thunberg du sexe ?) et son discours crispant étaient invités de l’émission LGBT-sioniste de Laurent Ruquier. Il est toujours pas parti du service public, le pompeur de redevance communautaire ?

Schiappa à 5’38 : « Dans ce livre j’ai voulu parler surtout des nouveaux clivages, c’est-à-dire des clivages notamment territoriaux, et je suis assez frappée de voir à quel point on oppose les gens les uns aux autres. »

Stop magnéto, Serge ! Elle est pas chiée la grosse : celle qui fait tout pour opposer les femmes aux hommes s’indigne « de voir à quel point on oppose les gens les uns aux autres » !

 

 

Mais la suite est encore plus succulente :

Schiappa  : « Il y aurait la start-up nation contre les agriculteurs, les bobos parisiens comme si c’était des gens pour qui tout allait bien...

Ruquier  : Les trottinettes électriques !

Schiappa  : Oui je fais toute une analyse sémantique des trottinettes électriques parce qu’en fait ça m’a interpellée de voir comment en deux ans et quelques les trottinettes électriques sont passées d’un moyen utilitaire de déplacement à un symbole du bobo parisien macroniste mondialisé. À tel point vous vous souvenez on en a jetées sur les forces de l’ordre en marge de manifestations, y en a une qui a été brûlée sur les Champs-Élysées et je me suis demandée pourquoi brûler symboliquement la trottinette électrique. Du coup j’ai fait cette analyse sémantique de tous les articles qui parlaient de la trottinette électrique en voyant que peu à peu, on l’a associée à ce symbole du mondialisme, de l’uberisation, du Parisien, du bobo, de l’opposé du Gilet jaune...

Ruquier  : La gauche Augustin Trapenard, il va être content Augustin Trappenard ! »

Augustin Trapenard est ce produit nauséabond tiré du croisement de Canal+ et de Radio France qui coche toutes les cases mondialistes : homo, bobo, gaucho, culturo-mondain, fourré dans tous les pince-fesses de la capitale.

Comme dirait Jean Gabin dans On nettoie l’info, « nous v’là bien » !

 


 

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