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Mediapart lance la chasse aux (derniers) malpensants du Masque et la Plume sur France Inter

Décidément, la gauche trotskiste a la délation et la censure dans le sang, pire, dans l’ADN. Trotski nettoyait la Russie de 1920 de ses éléments contre ou anti-révolutionnaires, les bourgeois, les croyants, les aristocrates ; Plenel fait la même chose en 2020 mais sans les longs fusils à baïonnette. Le moustachu utilise l’arme sournoise de la plume, pas pour la plonger dans l’injustice, mais pour saigner ceux qui ne pensent pas comme lui.

 

Après avoir lancé une fatwa de Mediapart contre l’ancien sélectionneur de l’équipe de France de football Laurent Blanc pour cause de racisme antinoir, ce qui s’est révélé faux et complètement déloyal, l’officine de chantage baptisée Mediapart, nourrie dès son berceau par les fées oligarchiques, s’en prend à la dernière émission un peu libre du service public radiophonique, à savoir Le Masque et la Plume, une historique de France Inter qui a 30 ans d’âge, comme les bons whiskies.

La cause ? Lisez plutôt le résumé de l’acte d’accusation en 8 points, établi par la juge Marine Turchi :

- Des propos minimisant la gravité des violences faites aux femmes et de la pédocriminalité
- Le silence sur les accusations de violences sexuelles visant des cinéastes
- Un traitement différencié des acteurs et des actrices, souvent résumées à leur physique
- Un flot de stéréotypes sexistes et de remarques misogynes
- Une ambiance potache qui sert de tremplin au sexisme
- Des remarques sexistes à l’égard des chroniqueuses elles-mêmes
- Des propos à caractère homophobe et transphobe
- Des stéréotypes racistes
- Du mépris de classe

Des « remarques sexistes ou misogynes », notamment par l’homme de droite (comment est-ce seulement concevable d’être de droite et d’être payé par le service public ?) Éric Neuhoff qui, selon Mediapart, n’a rien à faire dans une émission sur le service public.

Oui, si l’on considère que le service public est d’obédience gauchiste, ce qui entre quand même en contradiction avec la charte du même service public qui garantit le respect de la pluralité des idées, opinions ou convictions, qu’elles soient politiques ou autres. Plenel et sa bande de balances ont dû mal lire ou ne jamais lire la fameuse charte, du coup ils fondent comme des faucons sur les dernières libertaires (et encore, c’est exagéré) de la station.

Il n’y a pas assez de Demorand, de Salamé et autres Legrand dans cette armée mexicaine de la Bien-Pensance ? Il faut encore virer les dernières sorcières qui n’ont pas l’imprimatur socialo-sioniste ? Car il s’agit bien d’une chasse aux sorcières, aussi vorace que le butin est maigre : il n’y a que Neuhoff pour scandaliser les gauchistes en mal de pureté idéologique, ces nazis de la pensée.

Il suffit de remplacer « race » par « pensée », et on obtient un bon gros nazisme qui classe les pensées selon la doxa dominante : en haut le socialo-sionisme, au milieu le national-sionisme, et tout en bas le national-antisionisme. Imaginez que là, les islamo-gauchistes (le CRIF nous y autorise) de Mediapart sont en train de taper dans le nationalisme et le sexisme, ceux d’un Zemmour, qui est d’ailleurs amalgamé à Neuhoff :

Une partie des auditeurs fustige des « propos misogynes de mecs vieillissants, nostalgiques de la belle époque d’avant #MeToo », ou s’en prend aux « horreurs (racistes, misogynes, homophobes…) débitées » par Éric Neuhoff, « dont les argumentaires se résument quasi systématiquement au physique des actrices (pas assez belle, pas assez blanche…) ». « CNews a Zemmour, Inter a Neuhoff », se plaignait l’un·e en octobre. Et beaucoup réclament davantage de parité et de diversité dans le choix des intervenants.

On ne peut donc plus dire qu’une actrice est belle, c’est une discrimination pour les non belles, ou les moches comme on disait avant. Les actrices elles-mêmes savent qu’il y a une hiérarchie très cruelle dans le monde du cinéma, entre les jeunes belles et les ex-belles, la jeune belle détrônant immédiatement l’ex-belle, les rôles se raréfiant pour cette dernière.

À partir de 40 ans, une actrice galère, même si elle a un gros CV derrière elle et si elle a coché toutes les cases : être l’égérie d’un réalisateur, dans les petits papiers d’un producteur... On n’en dira pas plus. Donc Neuhoff, en parlant de belles et de moches, sans même aller jusqu’à bonnes et moins bonnes, est un résidu du patriarcat bourgeois blanc racisant, ou un truc dans le genre pour la rédaction de Mediapart, qui est pourtant très très blanche, mais c’est un autre débat, n’est-ce pas ? Ah, on, ils ont leurs pourcentages ces hypocrites... des pourcentages castés en dernière minute, histoire de ne pas tomber pour discrimination raciale...

Les quelques mails d’auditeurs intoxiqués par le nuage de délation qui recouvre la France sont repris et tendus par l’officine justicière Mediapart sous le nez de Jérôme Garcin et Laurence Bloch pour leur mettre la pression et obtenir une émission mono-idéologique, c’est-à-dire 100 % chiante et probablement mourante.

Laurence Bloch comme Jérôme Garcin se défendent régulièrement avec deux arguments : la liberté d’expression et la dimension théâtrale du « Masque ». Le sexisme n’est pourtant pas une opinion, il est interdit par la loi, et défini dans le Code pénal et le Code du travail (ici, là, et ici, là). La critique peut par ailleurs être incisive, ironique, grinçante ou drôle sans verser dans le sexisme ni la misogynie, comme le montrent d’autres émissions culturelles audiovisuelles.

Ah oui, lesquelles ? Les émissions de Mediapart, que personne ne regarde ?

Invoquer la loi, le Code pénal et le Code du travail pour une émission de relâchement culturel, c’est une folie ! Ces gens sont fous ! Et l’article, ou plutôt le dossier de condamnation, fait 20 pages ! 20 pages grotesques signées Marine Turchi, la folle de Mediapart comme on a la folle de Tolbiac, car il faut être fou pour enregistrer les propos de gens qui s’amusent à tailler un peu les sorties culturelles, tout ça pour menacer une liberté de ton en voie d’extinction qui plaît encore aux derniers lecteurs non lobotomisés de France Inter ! Au secours !

Un exemple de propos indignes qui devraient valoir la guillotine trotskiste à l’ignoble Neuhoff :

Le journaliste du Figaro avait également proposé une critique pleine de clichés de La Vie d’Adèle, d’Abdellatif Kechiche : « Y a un côté Petits Mouchoirs à Lille chez les lesbiennes là-dedans qui m’a frappé. Si on résume, c’est quand même une bluette entre deux gourdiflottes, une lycéenne un peu enrobée et une artiste. C’est une artiste puisqu’elle a les cheveux bleus, alors en province, quand on a les cheveux bleus, on est une artiste. » Là encore, Xavier Leherpeur avait été le seul à réagir, dénonçant des « blagues stupides » : « C’est impressionnant ce que tu viens de dire sur les lesbiennes, enrobées, les jeunesses, la province, les cheveux bleus » (20 octobre 2013).

Chez Mediapart, on ne doit pas beaucoup se marrer ! Partout doivent être affichés les injonctions et extraits des textes de loi qui interdisent de rire des femmes, des homos, des immigrés, des riches, des pauvres, des juifs, des Français, des Blancs, des Noirs, des fous, des cons, des gros, des gauchistes...

Cette presse qui n’est pas une presse d’information mais de délation est à vomir, les obsessions de ses journalistes sont nauséabondes et vont dans le sens d’une censure généralisée, d’un maccarthysme à la française qui n’est autre qu’un gauchisme tout à fait compatible avec le grand capital, celui qui n’est jamais mis en cause par Mediapart, qui préfère lâcher ses chiens sur les malpensants, c’est-à-dire des gens qui remettent en question la dominance de la gauche culturelle, celle de Lang, Cohn-Bendit, Badinter, BHL, Plenel, Mouloud, Diallo, Girard, Besancenot, Ruquier et compagnie, voir l’immense diagramme de la gauche, ou mur des chiants !

Pour finir, cet argument à la fois fallacieux et complètement idiot de la Turchi pour dire combien l’émission Masque & Plume suinte le « mépris de classe », ce en quoi elle se plante complètement :

Une partie des auditeurs du « Masque » déplore aussi un certain mépris de classe de la part des chroniqueurs, un dédain pour la province ou pour les comédies populaires. Il arrive souvent que des films « grand public » soient démontés à coups d’ironie méprisante et non d’arguments cinématographiques.

C’est par exemple le cas avec la comédie Les Tuche, trilogie qui a battu des records au box-office français. Si l’on peut reprocher au réalisateur une vision caricaturale des classes populaires, ce n’est pourtant pas ainsi que l’ont formulé plusieurs journalistes. Éric Neuhoff voit ainsi dans le troisième volet « une pure honte », « un film graillonneux » : « Ils mangent des frites tout le temps, on se sent sali en sortant, on a envie de prendre une douche, c’est vraiment dégueulasse ! Le problème en France, je sais pas, il y a quelque chose qui cloche, ce n’est pas que Marine Le Pen soit au deuxième tour, c’est que les gens se précipitent voir ce truc-là. Pour moi, ça c’est gravissime et ça donne envie d’aller habiter ailleurs… » (13 février 2018).

Danièle Heymann – aujourd’hui décédée –, s’était elle étonnée que le public puisse rire du deuxième volet des Tuches (7 février 2016) : « J’étais un peu consternée. Tout à coup, j’ai entendu rire derrière moi, et je me suis dit : il y a donc des gens qui rient, et je me suis retournée et il y avait une maman et son fiston qui riaient, et j’ai continué de regarder le film en regardant les gens rire, et je n’ai plus jamais regardé l’écran, parce que ça me déprimait tellement. […] Je me suis dit : il y a quand même des gens qui rient. C’était la seule solution pour ne pas sombrer. » « C’est un mépris de toute la tribu contre le spectateur et en plus le téléspectateur adore, donc c’est formidable… », avait commenté Michel Ciment. « Tu parles du peuple, là ? », avait questionné Jérôme Garcin. Rire général.

La série des Tuche ? On a vraiment besoin d’« arguments cinématographiques » pour la démonter ? Un film qui crache sur la France des pauvres, des beaufs et des Gilets jaunes, et il faudrait, pour plaire à Mediapart, ne pas critiquer ce crachat dans la gueule ?

 

Le livre qu’il ne fallait pas écrire, Très cher cinéma français, par le journaliste du Figaro et cible de la Kommandantur Mediapart Éric Neuhoff :

 

Un Masque et la Plume de septembre 2018, qui n’est que la version culturelle et service public des Grosses Têtes de RTL (où ça ne parle que de cul) :

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Les champions de la délation, sur E&R :

 






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