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Moix humilié par Onfray

Où s’arrêtera Onfray ?

Souvent, les clashs télévisuels sont des jeux bien entendus entre invités et chroniqueurs, qui servent à lancer un livre, ou un produit médiatique. Tout le monde est content : l’émission fait du buzz, l’invité vend, et le public est ravi, car il aime voir du sang. La presse people fait la même chose avec ses couvertures arrangées, ses paparazzades bidonnées. Mais parfois, il y a de vrais pugilats, des chocs intellectuels purs. Et en général, les imposteurs, qui sont mal armés d’un point de vue conceptuel, finissent sur le carreau.

Samedi soir, dans On n’est pas couché, le nouveau chroniqueur Yann Moix est tombé sur un os. En cherchant Onfray, en cherchant à se faire Onfray, Moix a reçu plusieurs coups au foie. Et deux trois directs assez violents dans la gueule. La pauvre Salamé, en essayant de sauver son partenaire, en prendra aussi pour son grade. Le KO n’était pas loin. Heureusement, l’arbitre a sifflé la fin du match.

 

 

Voir aussi l’extrait sur la France et les réfugiés, à partir de 28’21 :

 

Tout sur l’humoriste BHLien Yann Moix avec E&R :

 






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299 Commentaires

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  • #1275257
    Le 22 septembre 2015 à 18:53 par Dust
    Moix humilié par Onfray

    Moix, moche et méchant.

     

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  • #1275285
    Le 22 septembre 2015 à 19:19 par Borntogrowl
    Moix humilié par Onfray

    Onfray s’est grillé tout seul de toute façon. Vers 40 min, quand Ruquier cite capitaine collabo sur la culpabilité des peuples européens (c’est très fortement sous-entendu) à l’origine des malheurs des Africains, il dit être tout à fait d’accord. Si c’est pas du gauchisme bien-pensant tel qu’il le dénonce...
    Michel, si tu me lis, encore un effort. Tu seras bientôt d’un niveau de sournoiserie digne d’un BHL.

     

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  • #1275295
    Le 22 septembre 2015 à 19:26 par chouans en avant
    Moix humilié par Onfray

    Moix, c’est quoi ce pauvre type ? conclusion, plus ils sont instruits plus ils sont cons et bêtes.

     

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  • #1275459
    Le 22 septembre 2015 à 22:14 par Logos
    Moix humilié par Onfray

    @Michel :

    1) Bravo pour ton courage en affrontant la police de la pensée unique qui sont les gardes fous des oppresseurs.

    2) La définition du peuple est simple, claire, limpide et surtout juste. Le peuple est composé de ceux qui subissent le pouvoir.

    3) Le discours sur les migrants, le fait d’énoncer que l’origine du problème est à mettre en perspective avec les origines des conflits dans ces pays est logique et recentre le débat. Cela permet de trouver des pistes sur la cause des causes.

    4) Le fait de douter des appareils médiatiques est normal et de le souligner est sincère et peut donner l’idée à beaucoup de gens d’en faire de même.

    5) Souligner que la parti-cratie, personne n’en veut et personne n’y croit est important et surtout que l’ensemble des référendums ont été bafoués, ce qu’il démontre que nous ne sommes pas en démocratie. Nous sommes bel et bien dans une dictature à la Georges Orwell.

    J’ai fort apprécié ce match car il montre quelque chose de révélateur, le système dictatorial en place est fragile, ne dispose d’aucuns arguments, est toujours dans l’éviction, la fuite, la digression, le déni, l’insulte, refuse le dialogue et le débat, et se réfugie dans le pathos, impose sa pensée sectaire et liberticide, ce système est agressif et n’a plus rien dans sa manche et les agents de ce système tombe comme dans un château de carte.

    6) Il y a une femme dans les invités qui a tourné de l’oeil quand Michel a cité les causes des conflits, elle est intrigante.

    Ce que les 2 figures représentent sont les enfants de ce système qui y croient et qui font face non pas à Michel Onfray mais à un homme de bon sens, il n’a même pas dû utiliser le quart de son potentiel, il en était au point de leur dire c’est quoi le peuple. Bientôt il faudra leur expliquer que la Terre est ronde et non plate.

    Ce n’était pas un débat, mais un match, c’est ça le marqueur, tout le monde s’attendait à un débat, mais il n’a pas eu lieu. Ils ont tout fait pour le dénigrer et l’empêcher de répondre à leurs attaques. Michel a bien compris par instinct qu’il était là pour être attaqué et non interrogé sur ses œuvres.

    Remarque pour tout le monde, il n’y a pas de déclin général, c’est juste qu’au plus le peuple s’élève, au plus les agents du système déclinent.

    C’est pour ça que vous les voyez si faible, c’est parce que vous vous êtes élevé.

    Merci Michel de défendre la raison face à l’obscurantisme médiatique.

     

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  • #1275672
    Le 23 septembre 2015 à 10:07 par Samovar
    Moix humilié par Onfray

    Démonstration parfaite que toute cette affaire de plage, d’enfant noyé et de médiatisation précédant l’invasion "C’est bon pour Israhell"
    Quand vous voyez l’autre Salomé faire sa danse d’enfumage outré et tourner ses pages pour trouver le truc qui tuera Onfray, le penseur solaire un peu anarchiste qui revient sur son libertarisme, cela fait un peu peur. Se sentir à ce point dominés par cette avant-garde républicaine est assez effrayant.
    La manière inquisitoriale de lui ordonner répentance est assez spectaculaire.
    Cela ne pouvait pas durer : la diabolisation d’Onfray est lancée. On ne va pas permettre à quelqu’un de penser librement quand on le soutient. Car, il faut bien l’admettre, Onfray a profité du soutien de la communauté par son allégeance au sionisme dont il se disait proche, portait kippa à Tellabite et défendait les principes sans trop militer pour les "pauvres" palestiniens en l’occurrence.
    Parions que son prochain livre va faire un flop, vu la manière dont le petit moix s’en prend à sa pensée, ses écrits et sa politique. D’ici peu, il sera obligé de publier en Belgique, sur les indications de léa salopée qui le "voit partout, tout le temps", des signes qui ne trompent pas.

     

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  • #1275702
    Le 23 septembre 2015 à 10:52 par goyband
    Moix humilié par Onfray

    Le peuple...
    Est ce un "grand nombre d’hommes vivant habituellement sur un même territoire et partageant des coutumes" ou est-ce "l’existence d’une conscience d’appartenance à la fois collective et individuelle à une organisation politique propre" ?
    La première définition est celle privilégiée par les identitaires avec cette notion culturelle commune sous jacente (langue, religion, histoire, mœurs) alors que la seconde est privilégiée par les gauchistes et le capitalisme libéral, il est évident que les croyants adhèrent à la première définition alors que les athées privilégient celle de l’état-nation.
    En plein monde dominé par l’ultralibéralisme, ce constat implique une déterritorialisation puis une perte du sentiment religieux, du leadership du modèle patriarcal et hétéro, organisés par les forces mondialistes et athées dans une logique de dumping social et de facilitation de la circulation des biens et des personnes (à rapprocher avec la critique de Schengen) profitant uniquement à une oligarchie (le fameux 1% du monde détient 49% des richesses.) et que donc, la deuxième définition du peuple est de facto imposée par le capitalisme libéral.
    Ce qui est intéressant de constater, c’est que la gauchosphère privilégie elle aussi cette définition du peuple et fait donc le jeu du capitalisme libéral !
    Pire encore, elle partage les méthodes avec son ennemi mortel !
    En effet, lorsqu’un Badiou propose une idée émancipatrice commune afin de contrer ce capitalisme libéral, quelque part, il est lui aussi un mondialiste, même à sa sauce "internationale", il veut "tuer" son adversaire mais sur son propre terrain, ce qui est utopique étant donné l’avance stratosphérique de l’ultra libéralisme sur le plan planétaire, ce dernier possédant et qui plus est, des relais étatiques à sa diffusion, avec des offres politiques limitées à un choix majoritairement d’alternance libérale via un système électoral lacunaire or Badiou (de même que Attali dans son délire de gouvernance mondiale) veut le dépérissement de l’état pour sa révolution anti capitaliste libéral, ce qui implique à minima une confrontation avec la gauche libérale au pouvoir illustrée en France par le PS et toute la machinerie de Terra nova derrière, très attachés à l’état-nation. Marxistes et libertaires, se fracassent d’abord contre Boboland puis ensuite contre leurs propres compagnons de lutte, principalement pour des raisons méthodologiques, avant même de faire la guerre aux souverainistes/identitaires.

     

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  • #1275837
    Le 23 septembre 2015 à 13:53 par Mojo Risin
    Moix humilié par Onfray

    Aucune raison de faire des cadeaux à Onfray, partisan du mariage homosexuel, de l’invasion migratoire massive et de tous les caviars de gauche. Il a compris, en revanche, quelles positions adopter pour se faire introniser "Zemmour de gauche". Ce genre de personnage (authentique fils d’ouvrier agricole, j’en pleure d’émotion...) n’est mis en scène qu’à des fins de mascarade. Par exemple la création d’une "autre gauche", plus authentique, plus rajeunie, plus vintage, plus grecque, plus ce que vous voulez mais qui n’aura qu’un seul but : démolir la droite nationale, Soral, les associations trop puissantes, nettoyer les médias alternatifs.

    Manquerait plus que Bertrand Cantat ramène sa boucle d’oreille et son pull de camionneur pour animer "avec bienveillance", des débats citoyens avec Onfray... A ce propos... La seule opinion qui m’ait intéressé : Onfray a bien raison de dire que le FN ne compte dans ses rangs aucun artiste, musicien, écrivain - en tout cas déclarés. Pour ceux qui seraient tentés, l’establishment ouvre une nouvelle zone de "libre parole" : le zoo libertarien.

     

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    • #1275917
      Le Septembre 2015 à 16:13 par goyband
      Moix humilié par Onfray

      Pas d’accord, Onfray ne cherche pas à se faire introniser "Zemmour de gauche", bien au contraire, il refuse la récupération par, je le cite, "des nouveaux copains dont il ne voudrait pas".

      Ceux qui ont intérêt à forcer l’amalgame sont justement les bobos de gauche dont il devient un pourfendeur de choix, probablement plus efficace qu’un Zemmour lui-même, parce qu’il en connaît toutes les arcanes et les contradictions, le tout porté à son paroxysme par la dimension affective que l’on pourrait comparer à un divorce douloureux sur fond de tromperie.

      Je me suis amusé à écrire que Onfray, c’est Zemmour moins l’attachement éternel à Israël et Zemmour, c’est Onfray moins ses fausses pudeurs, c’est excessif pour Onfray, je n’en disconviens pas, car il n’est pas miscible dans la sphère identitaire ou souverainiste d’une part, à cause de sa définition du peuple, même s’il a choisi une définition politique du peuple pour esquiver les roquets Salamé et Moix et d’autre part, par son projet de micro révolutions, qui se moque des notions d’identité et de coutumes.

      Onfray est intéressant politiquement et sur les plateaux télés plus qu’un Badiou, parce qu’il se confronte au réel, il a ajusté sa révolution anti capitaliste libéral en fonction des réalités de la domination du capitalisme contemporain, ses contre mesures sont moins utopiques que le modèle Marxiste prôné par Badiou, même si ce dernier ne souffre pas des mêmes contradictions, mais Badiou est globalement en panne d’idée là ou Onfray avance ses pions sans angélisme, notamment vis à vis de l’Islam, vis à vis de la GPA, vis à vis de Mélenchon, vis à vis de la gauche de la gauche, vis à vis de la notion étatique à revisiter mais à ne pas faire disparaître, même si son coté chevènementiste lui faire dire des bêtises sur Tsipras, les migrants Syriens et le micro crédit d’Attali, je n’en disconviens pas, là non plus.

      Pour moi, il est à prendre en considération dans la lutte contre les chevaliers humanistes oeuvrant pour les mondialistes au même titre qu’un Zemmour, car l’arnaque intellectuelle de cette gauche libérale mérite d’être debunker.

      Mais Onfray ne suffit pas, c’est évident, tout comme Zemmour.

       
    • #1276318
      Le Septembre 2015 à 06:09 par Andrée
      Moix humilié par Onfray

      @ goyband

      J’ai lu votre post plus haut mais je n’ai pas vu Onfray donner une quelconque définition politique du peuple. A savoir un groupe historique d’hommes formant une unité politique lui permettant de se maintenir dans l’espace et la durée.

      En disant ceux sur qui s’exerce le pouvoir, il évite précisément cette définition et reste fidèle à son matérialisme anarchiste par essence anti-politique. D’ailleurs il ne définit pas ce pouvoir, ce qui est logique dans son modèle, le pouvoir étant une réalité complexe et diffuse de domination. Il requalifie ainsi le prolétariat en actualisant ce modèle aux nouveaux rapports de domination. Il peut toujours être sur ce sujet cent fois plus pertinent que Badiou, qui délire en solitaire, que ça nous fait une belle jambe.

      Malgré quelques mots purement nominaux sur les Français (il dit qu’être français c’est vouloir être français, ce qui est philosophiquement troublant), sa définition du peuple est si peu politique qu’elle finit par interpeller l’acteur Louis Garrel. C’est la seule question non sotte qui lui a été posée ce soir-là, quand il lui demande s’il est internationaliste et si sa notion de peuple est universaliste. Évidemment qu’elle l’est, par extrapolation du terme initial qui, bien qu’énoncé dans un cadre politique interne, n’était pas politique.

      Il a bien dû en convenir bougonnement, révélant ainsi à toute personne cohérente l’inconsistance politique de son discours sur les migrants. Entre ces derniers et le peuple, il ne fait qu’une distinction de degré pas de nature, alors qu’il suffit de dire "migrants" et "peuple" pour que celle-ci saute aux yeux. S’il avait donné une définition, je ne dis pas identitaire mais bien politique du peuple, il n’y aurait eu aucune aporie. Et quand il parle de la souveraineté, avec un accent libertaire, on se rend bien compte que c’est une outre vide. Forcément, car à défaut d’une définition politique du peuple on voit mal comment ni à quoi la notion pourrait s’appliquer...

      Onfray n’est pas un penseur du politique. En cela, il illustre l’époque. A tel point qu’il s’inscrit dans son jeu de faux-semblants où il suffit de s’en prendre aux phénomènes du pouvoir pour être perçu comme un ennemi de ce pouvoir. Sans remettre en question sa bonne foi ni son utilité ponctuelle, je remarque que celle-ci ne repose jamais que sur un effet et une impression, à défaut d’une armature conceptuelle réelle pour éradiquer les illusions. Alors on n’est pas sorti de la caverne...

       
    • #1276358
      Le Septembre 2015 à 09:24 par goyband
      Moix humilié par Onfray

      Onfray a été sommé par deux fois de donner une définition du peuple, la première qu’il donne est une définition politique, mais je suis d’accord avec vous, pas forcément "ontologique" du peuple, plutôt liée à l’état, impliquant une organisation transcendante, même s’il n’en définit pas l’incarnation à cet instant, mais le tribunal ONPC ne lui a pas laissé non plus le loisir de développer sa vision d’un état libertaire qui se démarque d’un état Hégélien, dans tous les cas, nous sommes très éloignés d’une vision purement anarchiste, contrairement à ce que vous affirmez.

      Sa deuxième définition est le peuple "Terra Nova " par rapport à ce que serait le peuple "new school ", une provocation bien sûr sous forme de synthèse de ce qu’est devenu la gauche à ses yeux, dont on arrive à se demander si pour Onfray, l’ennemi prioritaire à combattre n’est pas justement cette incarnation débile représentée par Moix et Salamé, ce en quoi, si mini révolution idéologique il y avait chez les intellos médiatisés, elle résiderait d’abord dans la prise de conscience croissante que l’ennemi est cette gauche libérale (boboland), je trouve que c’est loin d’être négligeable en terme de changement de paradigme, contrairement à vous.

      Pour le reste et sur votre interprétation quant à sa définition "troublante" de ce qu’être Français, elle rejoint quelque peu ma critique plus formalisée à ce sujet, Onfray se contente d’une profession de foi insuffisante et quelque peu grandiloquente ayant valeur de naturalisation, ce qui renvoi inévitablement au constat de son omission volontaire quant à donner sa définition du peuple que l’on devine très éloignée de celle des identitaires, par conséquent, son amalgame entre migrants et peuple n’est pas surprenant, surtout qu’Onfray n’a jamais caché son adhésion partielle à la pensée dialectique de l’internationalisme, dont il ne se démarque pas par nature mais bien par degré, ayant compris qu’il fallait rebooter le logiciel afin de coller au monde contemporain dominé par un capitalisme libéral qui n’a rien à voir avec celui annoncé par Marx.

      Enfin, il n’a jamais abordé la thématique de la souveraineté dans le cadre identitaire, pour la bonne et simple raison qu’elle n’est pas englobée dans sa vision des micros révolutions libertaires, je vous demande donc d’étudier plus en profondeur les outils qu’il propose pour lutter contre l’ultralibéralisme afin de modifier quelque peu votre conclusion lapidaire et définitivement plus adaptée à un Badiou.

       
  • #1276557
    Le 24 septembre 2015 à 14:58 par igor
    Moix humilié par Onfray

    Moix fait beaucoup de bruit quand il mange dans la gamelle de BHL, il en met de partout

     

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  • #1276600
    Le 24 septembre 2015 à 16:10 par gilles
    Moix humilié par Onfray

    Premiere fois que je vois Moix a ONPC, ne supportant aucune remarque a son encontre, il va faire de l’emission de Ruquier, le tribunal de la pensée de la gauche ultralibérale. Vous savez celle qui ne vous laisse meme pas parler quand vous repondez a une question, qui vous coupe la parole quand vous commencez a parler de ceux qu’il ne faut pas (BHL par exemple), qui pioche 2 phrases de vos interviews passées pour vous faire passer pour un militant du front national, ou encore qui sursaute dès qu’on balance a haute voix le mot Israël, cette gauche qui adore les refugiers ou l’immigration tant qu’on les voit a la télé mais pas en bas de chez eux.
    On est pas encore au niveau de manipulation de BFM TV mais on s’en rapproche, puisque le but est de faire taire des personnalités comme Onfray ou d’embellir d’autres personnages comme Bedos.
    Michel Onfray le denonce tres bien en expliquant que Moix n’est rien d’autre qu’un agent du pouvoir en place, alors que nous sommes le peuple (ceux qui subissent cette autorité)

     

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  • #1277705
    Le 26 septembre 2015 à 11:39 par shpountz
    Moix humilié par Onfray

    Onfray s’en est pas mal tiré mais ses arguments finaux sur la politique étrangère sont un peu legères. On est tous amis

     

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