Philippe Pascot qui se cache derrière son attachement aux preuves, aux faits pendant que défile un nombre vertigineux d’affaires, des procès ayant souvent permis de focaliser l’attention du public en direction d’individus ou groupes d’individus qualifiés de "marginaux".
L’arbre qui cache la forêt en somme, tout le reste n’est que rumeurs ou théories conspirationnistes.
La collusion entre affaires de culs (luxure) et corruptions financières (avarice) n’est que pure spéculation Mr pascot ? Ou en d’autres termes toute ressemblance avec des personnes, des affaires existantes ou ayant existé serait évidemment fortuite !
Une réponse équivalente à mes yeux a été prononcé par Mme Angot, nous enjoignant à la prudence au sujet de Gabriel Matzneff, en déclarant je cite : « Jusqu’à nouvel ordre, quand Gabriel Matzneff fait un livre, a priori ce n’est qu’un livre. On n’est pas dans un témoignage. » ... « il faut faire attention à ne pas considérer les livres comme des pièces à conviction du réel. »
Extrait de la supposé "œuvre de fiction" de l’auteur "Les Passions schismatiques", édition 2005, chapitre 5, l’Enfant :
« Certes, la nostalgie du harem, qui peuple les fantasmes de Sade et de Fourier – ces sociétés, ces phalanstères où les objets les plus désirables de l’un et l’autre sexe sont à la portée de la main, et où il suffit de désirer pour obtenir – me traverse parfois, mais ma nature donjuanesque aime trop la conquête, la drague, la séduction pour s’y attarder, et mes amis pédophiles peuvent témoigner que ce n’est qu’exceptionnellement que j’utilise les réseaux de notre secte, où l’on se refile les gosses, et où l’unique séduction est celle du portefeuille (qui joue, de façon ou d’autre, un rôle d’importance dans les relations sexuelles entre adultes et enfants, où la frontière qui sépare l’amour de la vénalité n’est jamais clairement tracée). »
Cela fait écho à ce passage de "La Mauvaise Vie" de Mr Frédéric Mitterand : « j’ai lu ce qu’on a pu écrire sur le commerce des garçons d’ici. […] Je sais ce qu’il y a de vrai, la misère ambiante, le maquereautage généralisé, les montagnes de dollars que ça rapporte quand les gosses n’en retirent que des miettes. […] Mais cela ne m’empêche pas d’y retourner. Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m’excitent énormément ».
Fiction ou réalité Mr Pascot ?