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Publicis et Sleeping Giants ou le contrôle idéologique par la publicité

« L’influence de Publicis sur Le Monde a été confortée quand la firme de M. Lévy est devenue le principal contributeur, à hauteur de 12 millions d’euros, du plan d’obligations remboursables en actions destiné à financer le développement du quotidien du soir. Publicis est aussi actionnaire à 49 % d’Espace Libération, la régie publicitaire du quotidien dirigé par Serge July. » (Le Monde diplomatique, 2004)

C’est un truisme d’énoncer que la presse est un support publicitaire avant d’être une source d’information, car la plupart des titres vivent d’abord de la publicité (et de leurs actionnaires), plus rarement de leurs ventes seules. Seuls deux journaux en France se passent de pub, et ils doivent être honorés pour ça, quoi qu’on en pense idéologiquement : Charlie Hebdo et Le Canard enchaîné. Ceci dit, ils sont de cette bonne gauche bien-pensante qui ne fait pas de mal au Système ; ils pourraient donc prendre de la pub : ça ne changerait pas grand-chose à leur ligne éditoriale, car la pub est intrinsèquement pro-Système. Mieux, elle est le Système.

 

Fin 2016, juste avant l’élection présidentielle qui conditionne beaucoup de choses en France, dans le domaine politique bien sûr mais aussi dans le domaine médiatique, puisque les deux sont inextricablement liés chez nous – le 4e pouvoir est une illusion – l’hebdomadaire de droite Valeurs actuelles change de mains. Sa ligne éditoriale passe, pour faire simple, de nationaliste tendance FN à nationale-sioniste tendance Sarkozy (qui tentait alors de revenir avant d’être plombé par l’affaire Kadhafi) ou Zemmour. Un par un, tous les cadres proches de Jean-Marie Le Pen seront éliminés ou remplacés.

Valeurs actuelles, avec ses 112 000 ventes (source OJD, avec 75% d’abonnés, contre 80 000 en 2011), c’est le seul succès des news mags à l’époque des coupes sombres dans les ventes chez les hebdos concurrents Marianne, L’Obs, L’Express (90 postes supprimés en 2015 lors du rachat par Drahi), Le Point (chute des ventes continue et effondrement des visites sur le site en 2017) et Le Canard enchaîné (devenu terriblement bien-pensant). Avant, on disait que la presse de gauche souffrait sous la gauche, ce n’est plus vrai aujourd’hui : tout la presse souffre sous la gauche ou sous la droite !
Le mal est donc plus profond qu’une simple adéquation ou inadéquation à la couleur du pouvoir...

Au sein de ce marasme généralisé, Valeurs actuelles vend, et vend de plus en plus. En exhibant ses couvs que n’aurait pas désavouées Minute, l’hebdo a mordu dans un juteux fromage : le renouveau nationaliste, la ligne dure contre le pouvoir socialiste sous Hollande, et la dénonciation de la menace islamiste (le pouvoir musulman !) depuis l’élection de Macron, ce qui permet de ne pas gêner les deals d’armes de l’actionnaire. Malgré un souverainisme de façade, les ventes grimpent, les abonnements affluent, les lecteurs applaudissent, les voisins louchent sur la success story.

En 2019, la ligne ultralibérale du journal a éradiqué tout penchant FN (ou RN). Les frontistes ont été évincés au profit des sarkozystes puis des zemmouristes. Il reste un avatar de L’Express, réduit à des coups et couvs islamophobes ou anti-immigrationnistes pour marquer des points dans l’opinion.

Le Figaro, lui, fidèle a ses choix éditoriaux dictés par l’actionnaire, vogue sur la même ligne avec un peu plus de gants. Que l’on se souvienne, à propos de ce journal, de l’anecdote narrée par Jean-Marie Le Pen dans le tome 2 de ses Mémoires , illustrant en peu de mots les liens de connivence entre la publicité et un certain groupe communautaire. Tout y est résumé, y compris la pusillanimité de l’autre camp :

Le Figaro Magazine eut un moment de gloire sous Louis Pauwels. Celui-ci avait un regard et des formules. [...] Mais il n’avait pas la vocation du martyre et quand il lui a fallu choisir entre la ligne éditoriale et la publicité, il a choisi. Nous étions un jour en interview dans son bureau, il a poussé le bouton de l’enregistreur pour l’arrêter et m’a dit : « Le pouvoir juif brisera ceux qui s’opposent à lui. Moi, j’ai choisi de plier. »

Exit la ligne politique FN donc, et bonjour le rabibochage intéressé avec le pouvoir en place, qu’il soit rose ou bleu. Comme l’explique brillamment Maroun Zainoun dans une enquête sur Iskandar Safa (un des trois repreneurs) et les intermédiaires du marché de l’armement, diffusée dans le mensuel Lyon Capitale le 7 mai 2015 :

« Cette vente [de 24 Rafale au Qatar, NDLR] fait aussi l’affaire de François Hollande, pour les raisons déjà évoquées : des attaques moins frontales et moins agressives, maintenant que l’actionnaire est en affaires avec le sommet de l’État. Imagine-t-on en effet une couverture de Valeurs actuelles traitant le président de la République d’incapable, au moment où il est en train de conclure au Proche-Orient des ventes de Rafale ?
Cette vente arrange aussi, bien sûr, Dassault, qui vend du matériel militaire – et les précieux Rafale, après des années de disette totale – mais utilise aussi régulièrement les services de Safa, dont l’influence et l’entregent dans le secteur comptent parmi les plus importants à l’échelle de la planète. L’un des fils Dassault, Olivier, reste d’ailleurs très présent au sein de Valeurs actuelles. »

C’est l’ancien directeur de TF1 Étienne Mougeotte qui pilote depuis 2015 le nouveau Valeurs actuelles, sur une ligne plus modérée, flanqué de son Charles Villeneuve de toujours. Le groupe Valmonde tombe donc dans l’escarcelle d’un puissant intermédiaire de l’armement, intéressé sur les ventes d’armes au Moyen-Orient. Le franco-libanais est par exemple intervenu lors de l’achat de 24 Rafale par le Qatar. Indéboulonnable, il officie aussi bien à droite (sous Chirac et Pasqua) qu’à gauche. Il a « sauvé » les chantiers navals de Normandie, et Cazeneuve est dans sa poche.

Nous résumons, bien sûr, en termes imagés, les relations entre la puissante industrie de l’armement et le pouvoir politique, qui lui doit tout. Les emplois, l’influence (par la voie des médias), et le cash. C’est aujourd’hui banal de dire que les partis politiques se refont la pelote sur les gros contrats, avec le système des commissions et des rétrocommissions, ces dernières étant théoriquement interdites. Dassault (dont le fils Olivier est présent dans l’hebdomadaire, au titre de vice-président) avait vendu le titre en 2006 au groupe Valmonde, de Revol donc, qui a donc été racheté près de 10 ans plus tard par un homme d’affaires qui traite avec Dassault et l’État. La boucle est bouclée. Les lecteurs frontistes ou sympathisants de Marine Le Pen devront changer de crèmerie.

Valeurs actuelles plaisait à ses lecteurs de droite traditionnelle ou nationaliste. En ayant choisi le pouvoir contre l’indépendance et la souveraineté, le titre devrait rentrer dans le rang, en termes de ventes, et de positionnement politique. Pour maintenir l’illusion de l’indépendance et d’une ligne droite dure, il suffira de titrer sur l’islam régulièrement, comme toute la presse qui avait préparé le lit de l’élection de Sarkozy en 2005-2006.

Au fait, pourquoi le titre phare du groupe Valmonde a-t-il accepté, malgré son succès depuis 2011, de changer en 2015 son orientation idéologique pour passer de la droite catholique nationale à une droite plus libérale, plus islamophobe, pour ne pas dire plus ? Le groupe avait-il du mal avec les annonceurs ? Poser la question, c’est y répondre.

Au-delà de l’actionnaire principal ou structurel, les annonceurs sont les actionnaires conjoncturels et en tant que tels deviennent les décideurs de la ligne éditoriale des titres de presse.

« Présente sur les cinq continents, dans 109 pays avec près de mille agences, cette multinationale française dispose d’enseignes prestigieuses de publicité sur les principaux marchés depuis qu’elle a acheté l’américain Leo Burnett ou le britannique Saatchi & Saatchi, ou qu’elle s’est alliée au japonais Dentsu. À travers ses campagnes publicitaires et ses services marketing, Publicis se situe au cœur de la consommation mondiale. Fort de ses réseaux Starcom Mediavest et Zenith Optimedia, le groupe, leader mondial de l’achat d’espace publicitaire, détient aussi un pouvoir considérable sur de très nombreux médias dont il peut affecter l’équilibre économique. » (Le Monde diplomatique)

Le groupe Publicis, qui tient entre ses mains la presse magazine française par le truchement des annonceurs, peut faire et défaire un titre. Lorsque Valeurs actuelles tendait trop à droite (ou trop à France), dans le sens lepéniste, la publicité pouvait venir à manquer.

« M. Lévy affiche un soutien militant à l’État d’Israël. Le groupe qu’il préside est implanté, via sa filiale Ariely, dans l’État hébreu. Le Mossad lui doit une de ses campagnes de recrutement destinée aux jeunes à haut niveau d’études. Exemple, cette annonce publiée en 2000 dans la presse israélienne : “Si vous avez entre 25 et 35 ans, si vous cherchez une profession passionnante, si vous n’êtes plus motivé par votre profession ou si vous êtes ouvert à une fascinante carrière, faxez votre CV au 1-800-371-333. Le Mossad s’adresse non pas à tout le monde, non pas même à beaucoup, mais peut-être à vous. » L’appel était suivi d’un texte incitant les recrues potentielles à « penser différemment, à aller au-delà des limites de l’habitude là où convergent le rare et l’essentiel, l’aptitude et l’audace, l’intelligence et la créativité”. »

Quand Jean-François Kahn, au milieu des années 90, a dénoncé la pensée unique, expression de son cru, Marianne était nettement de tendance chevènementiste, soit souverainiste de gauche. Automatiquement, la publicité a commencé à déserter l’hebdomadaire, qui vendait pourtant plus de 200 000 exemplaires, soit 95 % de ses recettes, un record dans le monde de la presse. Mais cela n’a pas suffi, et l’étranglement financier s’est renforcé. JFK (Jean-François Kahn) a été obligé de changer l’orientation de son titre, d’y faire entrer des cadres plus « adaptés » à l’actionnaire (Yves de Chaisemartin) et aux annonceurs, donc à Publicis, qui devient du fait de sa puissance un acteur politique dans la presse.

Cette altération de la ligne éditoriale, la désouverainisation de Marianne a donné le journal qu’on connaît depuis Maurice Szafran et Renaud Dély, deux socialo-sionistes décomplexés. Mais en gagnant la publicité et la bien-pensance qui va avec, Marianne a perdu l’appui populaire. Ses ventes ont chuté (de 240 000 exemplaires en 2012 à 120 000 en 2018 !), l’actionnaire a tenté un coup de resouverainisation avec l’arrivée de Polony, puis Kretinsky a tout raflé.

Voici ce qu’écrivait Kahn en 2008 :

Il n’y a pas un mot à changer 11 ans plus tard.

On l’aura compris, qu’on soit de droite souverainiste comme l’ex-Valeurs actuelles ou l’ex-Marianne, « ne pas penser comme il faut » selon « une idéologie bien particulière » peut avoir des conséquences désastreuses pour l’équilibre économique d’un titre.

Aujourd’hui que les modèles économiques changent sous l’influence de l’Internet, la publicité reste toujours aussi importante, voire vitale pour les sites d’information qui ne font pas de vente au numéro comme la presse papier. De la même façon que Publicis peut assécher un titre en publicité, les fameux Sleeping Giants tentent d’étouffer tout ce qui s’oppose à l’idéologie mondialiste. On a vu en France comment un simple Tristan Mendès pouvait étrangler ou tenter d’étrangler tout ce qu’il appelle la fachosphère.

Maintenant que la presse écrite indépendante a été soumise et détruite, le Système, avec ses armes, s’occupe des sites internet non alignés. Si Publicis a pu soumettre des titres avec le chantage à la publicité, comment les Sleeping Giants pourront-ils soumettre un titre comme E&R qui n’a pas de publicité ? En revanche, la chaîne TV Libertés, dont les recettes publicitaires comptent dans le modèle économique, est menacée par l’agression mondialiste. Nous relayons la substance de leur appel, car plusieurs médias se sentent concernés :

« Au nom de TVLibertés et de son président Philippe Milliau, je viens de signer un appel solennel pour dénoncer l’attitude ignoble d’un groupe d’extrémistes de gauche : les Sleepings Giants.

Ce groupe de pression contraint les marques à retirer leurs publicités des médias non conformes ou alternatifs. Certaines entreprises commerciales acquiescent ou cèdent à l’incroyable chantage.

Ces activistes soutenus secrètement par quelques personnalités influentes des médias de masse manient impunément l’illégalité, la délation, la stigmatisation et la censure.

Ces campagnes de terreur visent à tuer la liberté d’expression !

C’est pourquoi TVLibertés s’est associé à l’appel signé par Geoffroy Lejeune de Valeurs actuelles, Gabrielle Cluzel et Marc Eynaud de Boulevard Voltaire, Didier Maïsto de Sud Radio et beaucoup d’autres comme Ivan Rioufol du Figaro, Jacques de Guillebon de L’Incorrect ou François Bousquet d’Éléments. »

Ces titres sont, on peut le dire, d’inspiration nationale-sioniste. Or les Sleeping Giants sont eux une émanation du lobby mondialiste socialo-sioniste, ce qui veut dire une chose, et d’importance : il ne sert à rien de se soumettre au sionisme, puisque d’une manière ou d’une autre, il réduira tout ce qui est d’un autre souverainisme.

Conclusion  : on ne peut pas être national-sioniste en France, c’est-à-dire dire nationaliste français et sioniste. Le sionisme ne partage et ne pardonne pas, et tout ce qui touche ou a touché au FN ou au RN de près ou de loin sera non seulement soumis, mais réduit. Il n’y a pas de demi-combat, ou de concession à faire à l’adversaire idéologique du nationalisme français.

Voir ou revoir l’analyse d’Alain Soral sur Publicis et Maurice Lévy en avril 2012

 

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Publicis ou la puissance de soumission, sur E&R :

 






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32 Commentaires

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  • #2341367

    "En revanche, la chaîne TV Libertés, dont les recettes publicitaires comptent dans le modèle économique, est menacée par l’agression mondialiste."



    TVLibertés n’est aucunement menacée puisqu’elle n’a pas de publicité !

    Elle est d’office démonétisée sur You Tube car le site américain n’a pas rouvert le compte censuré qui contenait toutes ses vidéos (on voit déjà ce qui se passe avec d’autres youtubeurs).
    Elle officie désormais sur plusieurs comptes sur You Tube, Vimeo, Dailymotion et son propre serveur.

    TVLibertés est actuellement en pleine campagne pour les dons de fin d’année.

    Elle a tout au plus un partenaire pour les vêtements de ses journalistes qu’elle montre à chaque fin de journal.
    Si vous l’affirmez, dites moi à combien de % en me donnant vos preuves.
    Je serai curieux de voir ça.

     

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    • #2341453

      « TVLibertés n’est aucunement menacée puisqu’elle n’a pas de publicité ! »

      Faux ! La boîte est liée à une marque de vêtements haut de gamme ("made in France" comme ils aiment à dire), vêtements qui habillent leurs journalistes.
      Et certains de leurs programmes promeuvent de par leurs invités soit le savoir-faire français, le patrimoine, les "petits métiers", des expositions à venir etc.

       
    • #2341524

      JG,

      La marque Aquila Paris https://aquilaparis.com/ est un partenaire de TVLibertés, tout comme l’est Au bon sens avec E&R et qui contrairement à Kontre Kulture n’est pas (même en partie) la propriété de Soral.

      On est dans le sujet des groupes de pression politiques aux annonceurs, en l’occurrence les Sleeping Giants qui alertent les entreprises faisant de la publicité dans les journaux de droite en les mettant face aux propos et aux idées qu’ils y développent.

      La marque Aquila Paris que l’on voit au générique depuis la création de TVLibertés (5 ans !) savait parfaitement à qui elle avait affaire bien avant Sleeping Giants (nés au USA après l’élection de Trump) et quelle serait la ligne éditoriale.

      L’antenne de Sleeping Giants en France (tiens, qui les financent d’ailleurs ?) ne peuvent pas exercer de pression sur Aquila Paris et les enverraient balader presto s’ils tentaient de le faire. Ce serait la même chose avec E&R pour Au bon Sens !

      TVLibertés ne pratique pas le publi-reportage des magazines subventionnées dont la technique consiste à insérer une page qui ressemble à un article mais n’est en réalité qu’une publicité déguisée.
      Ce serait d’ailleurs contraire à l’éthique journalistique de le cacher et ça ne passerait pas chez les donateurs.
      Cela n’est nullement comparable à un de leurs reportages sur le salon du Made In France (qui pourrait tout aussi bien être sur le Salon de l’Agriculture ou même le salon de l’érotisme de Berlin) et ne met pas forcément en avant une marque en particulier.

      Bien maintenant, qui fait de la publicité sur TVLibertés ?
      Personne...

      Maintenant, un autre mouvement, celui des Watching Giants https://watchinggiants.fr/ s’est constitué pour rappeler aux annonceurs qui cèdent ou seraient prêtes à céder face aux pressions des Sleeping Giants qu’ils y a aussi des consommateurs de droite, et que se politiser en ne faisant leurs annonces exclusivement dans des journaux corrects n’est pas forcément bon pour eux.

      Le groupe Boulanger a déjà revendiqué la neutralité politique.

       
    • #2341802

      Fac73R bref TVL est tenu par ses donateurs conservateurs et ses nombreux partenaires récurrents qui leur fournissent le contenu, si vous ne voyez pas la différence avec le modèle ER je peux rien pour vous !
      D’ailleurs comme ils sont bouchés comme un pot, vous verrez que ça se vérifiera : on ne peut pas à la fois être dépendant et éviter les infiltrations.

      "Marginalité ou collaboration." Soral
      On en est là, ne pas le reconnaître c’est être à côté de la plaque, du réel, comme le sont leurs donateurs qui vivent dans leur paradigme droite conservatrice contre les vilains islamistes.

      En quoi TVL sont marginaux ? Où prennent-ils des risques ? Ils sont bien alignés sur la ligne "média alternatif" - seule différence : ils sont 100% online.

      Et le magazine Éléments c’est quoi ? c’est pas un support de pub ? Bon réveil.
      D’ailleurs je les envoyé chié : ils m’envoient des courriers pour que je m’abonne ou faire un don, je leur ai renvoyé qu’ils invitent d’abord Soral ou Dieudonné puisqu’on est "démocratie" !

       
  • #2341374

    Relisez les Protocoles de Sion !
    Ici, l’auteur nous donne la recette du robinet à fric sélectif.
    En effet, le système marche sur la tête.

    Il faudrait demander à Levy, Sadoun, Badinter née Bleustein ou Séguéla, combien ça rapporte de jouer les spin-doctors pour le compte des ennemis de la France et mystifier les électeurs comme dans les campagnes présidentielles de 2017, 2012, 2007, 2002, etc jusqu’en 1981 où l’image subliminale d’Hitler a été utilisée par Seguela lors des apparitions de LePen ?

     

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  • #2341405
    Le 12 décembre 2019 à 18:23 par pluie & vent
    Publicis et Sleeping Giants ou le contrôle idéologique par la (...)

    Son groupe de défense privinvest a gagné un procès a new york qui serait une jurisprudence par rapport à l’extraterritorialité.

    https://www.latribune.fr/entreprise...

     

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  • #2341457

    Drumont faisait remarquer que ses livres n’étaient pas diffusés dans les gares, appartenant à la communauté.
    En 2019, c’est la censure totale. Allez dans une librairie, vous n’y rencontrerez que du gauchisme et de la vie bienpensance. Parler avec un boomer ayant reçu 50 ans de propagande quotidienne est impossible. Pour cette raison, le système met le paquet sur les jeunes, devant être contrôlés, par l’école et YouTube.
    Le nerf de la guerre est ici, avoir conscience de l’ennemi, de sa doctrine et de ses moyens de diffusion. Le succès de la " dissidence " passera par les nouvelles technologies et la maîtrise de l’Internet ; et sera le fait d’une minorité, la majorité des jeunes écoutant du rap.
    Pour l’instant aucun jeune youtuber n’a eu les fouilles d’aller au combat. Rappelons que le combat MMA contre Raptor avait pour unique objectif de ramener les 1.5 million de vues à la cause.
    Le jeune est con par nature, un youtuber, à part 2 ou 3, finira forcément dans les poubelles, comme un chanteur des années 1980. Alors que passer dans le camp du mal, offre de belles perspectives.

    En attendant le Napoléon, achetons Rivarol et F&D, structure et superstructure, et diffusons la bonne parole. Jovanovic par exemple est à Sceaux en dédicace Samedi.

     

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  • #2341543
    Le 12 décembre 2019 à 22:28 par reclame àsion
    Publicis et Sleeping Giants ou le contrôle idéologique par la (...)

    La pub c est la plus grande pollution de notre époque , visuelle dans votre espace de vie, auditive dans votre espace sonore, radio et autre, et matériellement dans vos boîtes aux lettres, distribuée par des crèves la faim, et aussi sur votre pare brise de voiture. A qui profite ces distributions sauvages ? Jetez la sur le trottoir , ils finiront par parler de pollution, de gâchis de papier. néfaste pour la planète.
    Créons les bugs dans la matrice !

     

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    • #2341608

      Entièrement d’accord sur ce point. Une petite anecdote à ce sujet pour prendre conscience des effets de cette pollution sur les cerveaux.
      Je fréquente régulièrement une salle de sport dans laquelle sont installés trois téléviseurs qui crachent non stop de la daube musicale entrecoupée de longues plages publicitaires (publicités que n’importe quel œil averti déniche aussi dans les clips...). Nrj, Rfm tv et autres.
      Attendu qu’une salle de sport est avant tout, du moins ce que j’en attends, un lieu calme et serein dans lequel on vient entretenir son corps et reposer son mental, je ne comprends pas que les clients ne remarquent pas, comme je l’ai immédiatement remarqué lors de ma toute première séance, à quel point ces écrans et ce qu’ils diffusent continuellement peuvent être nocifs. Des gens qui pour la plupart viennent perdre des kilos superflus (beaucoup de femmes en surcharge pondérale) se prennent des encarts publicitaires leurs vendant les habituelles saloperies sucrées et grasses à raison de 6 ou 7 par heure dont manifestement l’abus les a précisément conduites ici. Pour essayer de comprendre, j’ai fait ma petite "enquête" auprès de ces femmes, mais des hommes aussi, en leurs demandant si cette musique (dont les titres reviennent en boucle au moins 4 ou 5 fois par jour si ce n’est pas plus) diffusée continuellement dans leurs oreilles, si toute cette publicité pour des produits qui font manifestement grossir exposée à leurs yeux, si le principe même de la présence de ces écrans ne les choquaient pas. Tous sans aucune exception m’ont répondu par la négative. Pire encore, personne ne les voyaient ni ne les entendaient. Comme si cette pollution visuelle et sonore était normale, inévitable. Quel grand moment de solitude j’ai vécu là.
      J’ai essayé d’ouvrir les yeux au jeune coach qui m’a regardé sans visiblement comprendre ce que je lui disais. Lobotomisé vous dis-je !
      Je précise pour tous ceux qui me conseilleraient, à juste titre, de changer de salle de sport ou de pratiquer un autre sport que je n’ai malheureusement pas d’autres salles près de chez moi (je vis à la campagne) et que je suis assez limité dans ma pratique des sports étant handicapé.
      J’en suis donc réduit à mettre des bouchons d’oreilles pour faire mon sport tranquille.

       
  • #2341596

    Votre conclusion est à encadrer et à marteler.

     

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  • #2341752
    Le 13 décembre 2019 à 10:18 par Palm Beach Post : "Cult !"
    Publicis et Sleeping Giants ou le contrôle idéologique par la (...)

    c’est dingue, qu’il y ait encore des gens qui lisent des journeaux, des magazines

    ou qui écoutent la radio, regardent la télé

    c’est fini, tout ça, non ?

    moi, j’étais abonné à Score U.S.
    magazine de modèles à gros nichons

    mais on trouve tout ça sur Internet
    on fait notre choix

     

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  • #2341759
    Le 13 décembre 2019 à 10:35 par Palm Beach Post : "Cult !"
    Publicis et Sleeping Giants ou le contrôle idéologique par la (...)

    la publicité, elle va me dire d’acheter un truc ?

    mais moi, j’achète que de la bière de clodo

    ils sont marrants avec leurs pubs :
    il fait toujours beau soleil
    et puis ils te collent une grognasse avec un sourire de brosse à dents
    mas moi, je veux des gros nichons
    alors, ta pute, tu te la remballe,
    tu la refiles à Harvey

    la pub, c’est vraiment un truc débile
    enfin, je ne sais pas comment pensent la plupart des gens

    essayer de faire acheter un produit inutile
    non

     

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  • #2342033
    Le 13 décembre 2019 à 18:25 par Melchisédech
    Publicis et Sleeping Giants ou le contrôle idéologique par la (...)

    Est-ce que ce sont ces cosmoallogènes qui nous imposent le multiracialisme dans presque toutes les pubs (blacks et arabes) ? l’incitation au métissage ? avec l’appui du CSA.

     

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  • #2342180

    Les "sleeping giants" sont moins à blâmer que le public :
    Qui lui a intégré que la publicité etait normale,nécéssaire, indispensable, et qu’elle se devait d’être éthique.

    A partir de là, l’adversaire à toute les cartes en main, le voilà devenu indispensable,ethique, et même moral... alors qu’il se livre à une des actions les plus perverses.

    Si on avait eu connaissance de la publicité aux premiers temps du christianisme, elle aurait êté probablement condamnée au même titre que l’usure.
    Ce n’est ni moral,ni ethique que d’attaquer les gens par la repetition, jusqu’a en faire une vérité qui va de soi.... c’est l’usure inverse, on vous prête ce sur que vous allez devoir.

    Demander de la publicité ethique, et puis quoi ? Ils ne font (les SG) qu’utiliser à leur compte une réalité..les sites intègres ont beaucoup de mal à s’accomoder de la publicité.

     

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