On sait tous que ce sont les musulmans, et les pires d’entre eux, les zislamistes, qui gouvernent la France, depuis que les Frérots (musulmans) ont pénétré tous les cercles de pouvoir.
Heureusement, des voix courageuses s’élèvent, au risque de la condamnation morale et de l’élimination économique, pour dénoncer cette blessure grave faite au couteau à la république. Rachel Khan, juive, noire et borgne, est de ceux-là. Puisse son exemple et son sacrifice faire des petits ! On écoute Rachel Khon qui s’emporte contre le danger hassaniste :
« On a bien compris qu’elle préférait brandir le keffieh que le drapeau français, et puis toujours avec cette forme de victimocratie, ce palestinisme, cette, ce, cette palestinocratie aussi. C’est-à-dire que plus en fait elle se dit victime, euh, de son impossibilité du retour en Palestine, plus finalement pour l’ensemble de ses followers, puisque c’est une influenceuse de haine en réalité, qui profite du pogrom du 7 Octobre et qui profite de ce qui peut se passer à Gaza pour dorer en fait son aura, notamment au sein de la France insoumise et fracturer la société française. C’est l’histoire d’une trahison. […]
Elle répond aussi finalement à cette logique d’ennemie de la république, de haute trahison. […] C’est terrorisant. […] Et par ailleurs elle utilise véritablement des méthodes pour insuffler de la haine, de la violence au sein de notre société. Elle utilise finalement une méthode 2.0 pour avoir une stratégie du IIIe Reich, de pointer du doigt, de faire des cibles dans le dos des citoyens juifs, de faire des listes... […] C’est une personne dangereuse. »

« @RimaHas traite à la nation française, ennemie de la république, représentante des frères musulmans & du IIIème Reich » @KhanNRachel
Je pense qu’une bonne plainte s’impose cette fois-ci pour de bon ! pic.twitter.com/7prpn4YexJ— Sami Abid (@TwIttNTIN) July 10, 2025
Rachel s’en prend courageusement à Rima Hassan, qui fait de la voile au large de Gaza, en narguant les (colons juifs) affamés avec des denrées alimentaires. En réalité, il est difficile, dans la position sioniste, et donc raciste, de Rachel, de condamner quelqu’un moralement. Cela passe nécessairement par du mensonge à la BHL ou des chemins tordus, via des amalgames douteux, des ciseaux et un pot de colle rapide. En d’autres termes, le narratif israéliste est invendable. Et tous ceux qui tentent de le refourguer de force aux gogos se grillent en trois minutes. On remarque que depuis l’abandon du bouclier magique de la Shoah, les israélistes sont perdus, à l’image des missiles supersoniques iraniens qui ont percé le Dôme de fer. Shoah et Dôme de fer, même destin.
Il y a d’énormes trous dans le narratif génocidaire, et même le dernier des téléspectateurs français, nourri au lait frelaté TF1 ou M6, l’a compris. Les médias peuvent mentir, mais pas autant que leurs maîtres : ils sont obligés, pour survivre dans un monde ultraconcurrentiel, de ne pas trop mentir, d’injecter un peu de vérité, d’où les reportages de TF1, qu’on pourrait croire courageux, sur la destruction totale de Gaza et les avancées juives en Cisjordanie.
Le Maître crie mentez, mentez, mentez encore, la Télé répond : euh, je mens déjà pas mal, là, ça va se voir. Le problème, c’est que même en Israël, on trouve des voix discordantes.
"Ce qu’#Israel fait à #Gaza, est-ce que c’est un #genocide ? Amos Goldberg, titulaire de la chaire d’études sur la #Shoah à l’Université hébraïque de Jérusalem, il dit que c’est un génocide. Daniel Blatman, historien israélien spécialiste de la Shoah à l’Université hébraïque de… pic.twitter.com/twPJLTW6lY
— Thomas Guénolé (@thomas_guenole) July 10, 2025
Gross Israël
On dira qu’il s’agit de juifs de gauche dont la fonction consiste à adoucir la condamnation morale de la colonisation et du génocide, mais quand même... Le barrage a cédé, en France. Plus personne de sensé ne peut soutenir l’israélisme, qui est devenu un fleuve de sang. Certains, condamnés par les médias mainstream et le pouvoir judiciaire, avaient pourtant prévenu. On ne les appelait pas encore lanceurs d’alerte, mais c’est tout comme.
C'était en 2012,
Depuis toujours visionnaire, @officielsoral dans son analyse pertinente nous alerte sur ce qui attend le monde. Une lecture lucide qui annonçait déjà les crises à venir...#StopIsrael #StopIsraeliCrimes #FreePalestine #FreePalestineNow #FREEPALESTINEFROMZIONISM… pic.twitter.com/FglpTTbnJe— E&R Alsace (@er_alsace) July 10, 2025
Tout le monde se demande jusqu’où ira le pouvoir de Tel-Aviv, qui court sur les pierres glissantes, pendant que de nombreux juifs recommencent à lorgner vers la France ou les USA, et Chypre en attendant que le ciel se calme. La contre-alyah, elle se précise. Netanyahou voulait attirer chez lui tous les juifs européens dans les années 2000 à coups de terrorisme islamiste sous faux drapeau ; à l’arrivée, ce sont les juifs d’Israël qui commencent à se carapater de la Terre promise. Certes, il reste encore l’option d’une bombe atomique sur Téhéran, et, pourquoi pas, sur les autres pays, afin de faire taire toute discussion. D’après nos calculs, Shoah 2 risque alors d’être un peu plus pire que Shoah 1.
Où l’on retrouve la situation des (pauvres) juifs russes décrits par Soljenitsyne dans ses deux célèbres tomes, avec des communautés verrouillées à dessein par des rabbins dingos, qui empêcheront toute dilution (ou assimilation) dans la population hôte, et qui monteront à coups de haine talmudo-paranoïaque le bourrichon de leurs ouailles afin de bien garder le troupeau en état de peur permanente et d’obéissance.
Le résultat a été une catastrophe sans nom, une nakba. Le sionisme (de gauche), donc une forme de socialisme à l’orée du XXe siècle, est venu libérer en quelque sorte les juifs de la tenaille religieuse. Aujourd’hui, ce sionisme des origines a été dévoyé par les nationalistes et les religieux, qui depuis la création d’Israël ont remis la main sur une partie des juifs.
Ces derniers, paradoxalement, doivent aujourd’hui s’émanciper du néosionisme, qui prend une très mauvaise tournure : il rend bête, et méchant.