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Royaume-Uni : Augmentation de 1000 % en 5 ans des enfants "transgenres" soignés

Le tabloïd britannique The Sun affirmait il y a quelques jours que le nombre d’enfants soignés aux frais de la NHS (la National Health Service) pour « dysphorie de genre » au Royaume-Uni a fait un bond de 1 000 % en cinq ans. Ils sont faciles à dénombrer, puisque seules deux cliniques, Tavistock et Portman, reçoivent des mineurs « transgenre ». En 2010, 97 mineurs y ont consulté avec leurs parents ; en 2015, ils étaient 1 013. Cette multiplication par dix est-elle le signe d’une sorte d’épidémie ? Et alors, pourquoi ? En tout cas, les responsables des cliniques se disent incapables de dire si l’augmentation va se poursuivre.

 

Mais il n’y a en vérité pas de raison qu’elle s’arrête, puisque l’idéologie du genre veille au grain. Les « droits transgenre » sont maintenant prêchés aussi bien dans les écoles que dans les médias et les divertissements ; jamais les jeunes n’auront été à ce point exposés à l’idée que leur « genre » n’est pas forcément celui qu’ils pensent.

L’affaire n’est pas neutre sur le plan financier, puisque le coût des consultations et traitements proposés a atteint, pour la seule année 2015, exactement 2 674 791 livres sterling. Pas assez, tempête Bernard Reed de la Gender Identity Research and Education Society, puisque selon lui la NHS n’est pas suffisamment avertie et préparée pour faire face à la demande. Elle rembourse pourtant aussi bien séances de conseil que traitements hormonaux pour préparer le « changement de sexe » que le jeune pourra demander à sa majorité.

Avec ou sans traitements invasifs, les centres encouragent le confusion des genres. L’an dernier, dans le Nottinghamshire, un garçon de 5 ans a ainsi, après consultation sans doute, repris le chemin de l’école en tant que « fille ».

Une autre étude évoquée par le Telegraph révélait l’an dernier que le nombre d’enfants de moins de 11 ans ayant consulté pour « dysphorie de genre » était passé de 19 à 77 par an de 2010 à 2014. On sait aussi que 32 jeunes ayant reçu des bloqueurs hormonaux aux frais de la NHS ont d’ores et déjà subi des interventions chirurgicales pour ôter ou ajouter des organes sexuels ou des seins.

Des décisions prises à un âge immature, que ces jeunes regretteront peut-être plus tard… Au lieu de recevoir une aide alors qu’ils sont dans la confusion, note Andrea Williams de Christian Concern, ils sont poussés à passer à l’acte : « Nous devrions affirmer l’identité que Dieu leur a donnée et les aider à comprendre leur genre de naissance… De nombreux enfants ne font que suivre l’exemple donné par d’autres, sans vraiment en comprendre les implications ».

 

 

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La dynamique est mondiale, voir sur E&R :

Couper tous les repères au profit du Marché et au mépris des enfants,
un processus analysé par les auteurs Kontre Kulture :

 






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29 Commentaires

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  • depuis les années 80 les homos ont été mis au gout du jour résultat : on le voit aujourd’hui , depuis 2010 on met les transgenre au gout du jour le même résultat , et demain ? et bien ce sont les pédophiles qui en recherchent de légitimité ,sont déjà dans les coulisses ils n’attendent plus qu’on les appellent avec "standing ovation " sous les projecteurs d’émission comme un certain "A..isson" en présente . Société pourrie qui ne demande rien d’autre que de mourir de ses tares

     

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  • #1424603

    Partir du fait que l’esprit est un tout et pas juste le cerveau. L’esprit, ce n’est pas de la science, c’est aussi la religion. Science de la religion aux chiottes ! Que se passe-t’il ? https://fr.wikipedia.org/wiki/Probl...

     

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  • #1424609

    Je laisserais les religions officielles s’occuper de cette question et les autres se taisent.

     

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  • Comment juge t’on de la confusion de genre chez un enfant de 5 ans !!! 5 ans bordel !! A 5 tu ne sais pas ce qu’est une fille ou un garçon !! C’est normal d’être confus, de ne pas savoir ou même de se dire l’inverse de ce qu’on est naturellement ! Moi aussi quand j’étais gamine je voulais devenir un garçon, je refusais catégoriquement de devenir une fille, je m’habillais comme un garçon, je portai les cheveux courts, je n’avais que des amis garçons, Et pourquoi ? A cause de mon environnement. Ma mère m’a terrifié à l’idée d’avoir mes règles un jour, elle me racontait que les hommes dominaient le monde et que les femmes étaient mal traitées ! Alors forcément, moi fille c’était pas possible dans ma tête ! Et pourtant avec les années , je suis parfaitement heureuse en tant que femme, et suis maintenant bien dans ma peau ! Moi aussi je voulais terriblement changer de sexe, et si j’étais de leur age maintenant, on me ferrait certainement prendre ces traitements sans savoir que se serait inutile, et peut etre même une terrible erreur...

     

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  • Traitements hormonaux et mutilations sur des enfants ? Ils sont malades !

     

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  • Je m’en remets à la religion (chrétienne) parce que j’ai l’impression qu’il n’y a plus que ça qui puisse nous sauver de tout ce délire... Jusqu’où ça va aller... Et combien d’entre nous avons envie de voir jusqu’où ça va aller... ? Moi ça me dégoûte et ça me terrifie.

     

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  • Des abominations...
    A 5 ans, dans la tête d’un enfant, on est surtout enfant... on est garcon ou fille sans trop savoir pourquoi car c’est ensuite que cela prend tout son sens, quand on devient homme ou femme.
    Au niveau du corps en revanche, la paire de chromosomes sexuels est comme gravée dans le granit : rien ne changera cet attribut sexuel primaire.
    Là encore on les voit torturer des jeunes avec des questions qui n’ont pas à être posées.
    On est ce qu’on est, c’est tout.
    Pourquoi la question du choix devrait-elle se poser :
    réponse évidente et prévisible du Dr Frankenstein : "parce qu’on sait le faire."

     

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  • La confusion des genres n’est qu’une des nombreuses campagnes de modification de la nature humaine.
    Les jeunes d’aujourd’hui (jeunes adultes et ados), ainsi que les générations futures (comme le montre cet article) sont FOUTUS !
    Nous avons perdu la guerre idéologique et informationnelle concernant ces générations là ! Nos enfants sont nos ennemis de demain !!! Ceux au pouvoir font ça depuis un siècle, mais je pense qu’on est arrivé à une période critique.
    Si les gens de 30 ans et plus ne se soulèvent pas cette année, on ne pourra plus faire machine arrière. Ça ne sera pas une question de pourcentage de population mais d’impossibilité technique, un chaos qui détruira toute humanité sur Terre pendant très, très longtemps.
    Regardez les prévisions de voyance et d’astrologie, 2016 correspond à la fin d’un cycle et donc le début d’un nouveau cycle. Ce qui va se passer ou pas se passer cette année déterminera notre futur.

    Nos ennemis sont connus, il n’y a plus qu’à s’occuper d’eux. Ça doit être la mission personnelle de chacun d’entre nous.

     

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  • #1425158

    Ben oui, "seule l’âme compte"...

     

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  • Si mes parents avaient cédé à tous mes caprices d’enfants, je serais peut-être mort aujourd’hui. En tout cas je regretterai amèrement tous les choix irréversibles. Je suis heureux qu’ils ne m’aient transformé en garçon efféminé (et non pas en fille, on ne change que l’emballage) dès que je me suis demande si c’était pas mieux d’être une fille (pour changer rapidement d’avis).

     

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