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Vers la reconnaissance de la personnalité juridique des animaux ?

C’est un épais ouvrage bleu qui devrait de plus en plus accompagner les robes noires des prétoires. Un code de l’animal, rassemblant sur plus de 1 000 pages toutes les législations en vigueur concernant les animaux, sera publié jeudi 22 mars aux éditions LexisNexis, par une équipe de spécialistes du droit animalier et la Fondation 30 millions d’amis. Une première en France, mais aussi en Europe.

 

[...]

Personnalité juridique des animaux

Surtout, aux yeux du directeur de la revue semestrielle de droit animalier, cette réforme prépare la voie à une prochaine étape : la reconnaissance de la personnalité juridique des animaux, qui passerait par une nouvelle évolution du code civil. « Elle pourrait être calquée sur celle des personnes morales, comme les associations ou les syndicats, ce qui permettrait aux animaux d’être représentés en leur nom et démultiplierait l’efficacité de leur protection », détaille Jean-Pierre Marguénaud, qui rappelle que le tribunal de Mendoza, en Argentine, a reconnu le statut de personne juridique non humaine à un chimpanzé femelle, fin octobre.

« Ce basculement n’irait pas à l’encontre de leur exploitation, reconnaît-il, mais permettrait par exemple de respecter les droits édictés par la Convention européenne sur la protection des animaux dans les élevages, qui doivent leur éviter de souffrir inutilement. »

Protéger les animaux tout en les tuant : c’est le paradoxe « qui traverse tout le droit animalier », soulevé par la philosophe Florence Burgat dans sa préface du code animal. « Nous avons d’un côté une loi qui prévoit des peines très élevées contre la maltraitance animale, et de l’autre tout un ensemble de règles qui permettent la mise à mort des animaux pour la boucherie, la fourrure, la chasse ou l’expérimentation, grâce à la saignée, l’électrocution ou encore le gazage », relève-t-elle.

Pour la directrice de recherches à l’Institut national de la recherche agronomique, la reconnaissance des animaux au rang d’êtres sensibles participe d’un « changement de regard », mais il faudra d’autres évolutions, comme la sensibilisation des jeunes, l’apprentissage à l’école ou l’instauration d’un menu végétarien dans les lieux de restauration « pour arrêter de voir les animaux sous un angle commercial ».

Lire l’intégralité de l’article sur lemonde.fr

Voir aussi, sur E&R :

Droit et civilisation, lire chez Kontre Kulture :

 






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  • #1929739

    Les méthodes de l’oligarchie mondialiste sont connues. Elles commencent comme ça,par de"petites réformes",apparemment bénignes,histoire de tester la réaction des peuples.Puis,en l’absence de toute riposte tranchante,on avance à grands pas vers la phase finale pour frapper le grand coup. L’histoire tumultueuse des"droits de la femme"est éloquente en la matière. Ces droits ont démarré avec des évidences,puis on a forcé,délicatement,la porte de"l’égalité des femmes avec les hommes".Là aussi on y allé prudemment par"petits pas". Et puis,le grand coup nous est asséné ;le passage en force pour nous mettre devant le fait accompli : "le mariage pour tous".
    Cette démarche diabolique,maintenant que son efficacité est prouvée et éprouvée,est mobilisée dans le règne animal. L’oligarchie,fidèle à ses
    méthodes biaisées,s’introduit dans la bergerie par l’interstice de"la défense des animaux contre la cruauté",défense incontestée et
    incontestable. Évidemment ce qui est visé par la suite,ce n’est pas
    l’amélioration de la condition ani,mais bien le rabaissement de l’être humain plus bas que le plus négligeable des bestiaux.
    Aujourd’hui que notre pauvre identité humaine est bafouée dans toutes
    ses composantes morales et physiques,et que notre système immunitaire contre toutes les formes d’humiliation est détruit,il ne reste plus qu’à nous donner le coup de grâce.

     

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  • #1929762

    Vers la reconnaissance de la zoophilie ?
    Remarquez, on ne voit plus bien la différence entre un mouton et le peuple, donc... autant leurs conférer les mêmes "droits", et surtout devoirs, qu’à nous autres.

     

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  • #1929772

    titus : " Non, un animal n’est pas doué de conscience, ni de langage articulé ni de pensée. C’est un fait scientifiquement établi. Les animaux qui parlent n’existent que dans les contes, fables et dessins animés. " Donc je vous rappelle que les scientifiques ont dit à une certaine époque de la voiture, que tout corps projeté à plus de 60 km/h se désintégrerait !!! Donc, oui les animaux sont doués de conscience, meilleure que la nôtre souvent, pas besoin de langage articulé, ils se comprennent, et évidemment qu’ils pensent. vous devriez les côtoyer plus souvent pour comprendre qu’ils sont tout à fait conscients des dangers, de la vie, de la mort, ils souffrent et contrairement à l’humain, ils ne sont pas cupides, et toute la panoplie de travers bien spécifiques à l’humain ! ils sont parfois tristes, gais, etc.... Et puis, quand on sait qu’il a fallu des années pour que des architectes arrivent à concevoir des maisons fraiches l’été et chaude l’hiver, alors que les termites par exemple savent faire ça depuis des siècles ! Moralité : un humain est plus c... qu’une termite.

     

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    • #1929904

      Votre comparaison avec la voiture n’est pas pertinente. Le constat de Titus est d’ordre philosophique, rationnel. On ne détecte pas la conscience avec des expériences de laboratoire !

      Les animaux n’ont ni conscience, ni esprit, ni libre-arbitre.
      Il n’y a pas de culture animale. Même pas en germe. Pas de philosophes animaux, pas d’universitaires, d’avocats, de chirurgiens, de poètes, d’architectes, de prêtres, d’écoliers... tout cela ne se trouve que chez les hommes.

      N’étant pas libres et conscients, ce ne sont pas des personnes et par conséquent pas des êtres moraux.

      Car qui dit droits, dit devoirs.
      Va-t-on verbaliser le chien qui ne fait pas ses besoins au bon endroit ? Non bien sur, c’est le propriétaire qui va l’être, le chien ne saurait être tenu de respecter des conventions dont il n’a aucune conscience.
      Aucun lion ne sera jamais jugé pour meurtre de gazelle.

      L’animal est déterminé par ses instincts, il ne saurait en dévier volontairement puisqu’il n’a pas de volonté.

      Il est temps d’arrêter de tout confondre, notamment avec ces documentaires idiots sur "l’intelligence" animale, où l’on ne voit jamais rien d’autre que des animaux résolvant des problèmes d’ordre sensible (jamais intellectuel) pour récupérer une caresse ou une friandise (parce que seul un homme peut être motivé à résoudre un problème uniquement par attrait intellectuel).

      Qu’on ne m’oppose pas ces spectacles de chiens matheux, ce n’est que du dressage : le chien n’effectue aucune opération mathématique, il en est incapable car dénué de faculté d’abstraction : il associe des sons et des images, et donne la bonne réponse sans avoir rien compris au sens des signes.

      Pareil pour le cacatoès qui distingue formes et couleurs (clé verte, balle rouge...) et ramène l’objet correspondant : ce ne sont que des perceptions et associations de type sensible et non intellectuel.

      Les animaux ne sont pas et ne seront jamais des personnes, il est donc parfaitement absurde de vouloir leur conférer une personnalité juridique et des droits.

       
    • #1930198

      Votre analyse est d’une rare bêtise, @ Olivier !
      Qui penserait à comparer toutou à un avocat ou à un chirurgien ?
      Le problème n’est bien-sur pas la !
      Ce qu’on vous explique c’est que l’animal à une forme d’intelligence et de sensibilité différente, mais qui doit être prise en compte..
      Oui , l’animal est doué d’émotion, oui l’animal est capable de comprendre des situations complexes , oui l’animal est capable d’anticiper et .... en plus , l’animal est doté d’un 6ieme sens
      Et oui , ça vous sidére, hein !
      A propos , ce 6ieme sens , vous ne l’avez meme pas , vous qui résolvez des équations mathématiques !
      Ah , il vous en manque des choses , n’est ce pas ?
      Vous êtes finalement bien limité !
      Quand mon voisin de 86 ans est mort , sa vieille ’’zita’’ de 16 ans qui le suivait partout a disparu 2 jours . On l’a cherchée partout . Introuvable. Zita etait allee mourir sur la tombe de son vieux maître pour ne jamais etre separee de lui
      Inclinez vous devant la leçon.

       
    • #1930434

      titus : "Non, un animal n’est pas doué de conscience, ni de langage articulé ni de pensée. C’est un fait scientifiquement établi".

      Faux. Jane Goodall : "les chimpanzés sont capables d’apprendre un langage humain, notamment le langage des signes. Maintenant, nous devons redéfinir la notion d’homme, la notion d’outil, ou alors accepter le chimpanzé comme humain".

      Wikipédia : "Washoe est connue pour avoir été le premier primate non-humain à acquérir un langage humain (la langue des signes américaine) (...) Washoe utilisait environ 250 signes qui formaient son lexigramme (...) On peut démontrer grâce à des vidéos que, dans certains cas, elle initiait elle-même la conversation. Ainsi, en 1979, Washoe avait eu un bébé Sequoyah mais il mourut dans les semaines qui suivirent. Quand les éducateurs lui retirèrent son bébé des bras, Washoe signa et signa encore pour qu’on le lui rende. Elle ressentait un grand désarroi. Washoe fit même une dépression le jour où on lui apprit que son bébé était mort".

       
    • @pleinouest

      Non, on ne peut pas déduire de ces expériences que les chimpanzés pensent ou sont doués du langage articulé. Il s’agit d’apprentissage réflexe de type réflexe conditionné ou action-récompense avec un individu domestique soigneusement sélectionné pour ses habiletés extraordinaires. Ça ne veut pas dire qu’il comprend ce qu’il "dit" en langage des signes.

      Il va faire ce qu’il faut pour avoir sa banane, mais il ne va pas te parler du temps qu’il fait ou te demander de lui donner sa liberté ! lol.

       
    • #1930492

      @pleinouest, pour de la primatologie sérieuse, il faut lire Nicolas herenshimdt. Jane Goodal et Diane Fossey c’est de l’anthropomorphisme dégoulinant de bons sentiments, bref de la lecture pour adolescentes.

       
    • #1931555

      Ce qu’on vous explique c’est que l’animal à une forme d’intelligence et de sensibilité différente



      Ce qu’on vous explique à notre tour, c’est que le mot "intelligence" n’est pas approprié car il désigne la capacité de comprendre, de saisir le sens des choses, en formant des concepts abstraits à partir des expériences sensibles.

      Lorsque vous lisez ces mots, l’expérience sensible de vos yeux est analysée par votre esprit qui n’y voit pas que des taches noires sur fond blanc, mais y reconnait des signes porteurs de sens.

      L’animal, lui, ne voit que des taches.

      Si les animaux étaient capables d’abstraction, de former des concepts, cela se traduirait en œuvres intellectuelles et par suite, en culture.
      Or ce n’est pas le cas. Seuls les hommes montrent des signes d’activité intellectuelle.

      Dire cela, ce n’est pas diminuer l’animal. Je ne conteste pas qu’un chien est un être sensible, doué d’une mémoire, capable d’affection. Mais aucun n’est véritablement intelligent.

      Et à confondre intelligence authentique et "intelligence animale", vous vous privez d’une clé de compréhension essentielle quant à l’homme et sa place dans l’univers.

       
  • #1929782

    La souffrance animale est bien réelle et il ne faut pas prendre ce problème à la légère.Les éleveurs d’autrefois étaient très liés à leurs animaux et ce n’est pas de gaîté de cœur qu’ils les emmenaient à l’abattoir local ou qu’ils les tuaient eux-mêmes pour vendre leur viande au marché du village.Ils n’étaient ni des bourreaux et encore moins des sadiques.Ceux qui bossent aujourd’hui dans les abattoirs industriels ne sont pas non plus des sadiques à la base, mais leurs conditions de travail sont tellement insupportables qu’ils finissent par se construire une armure d’insensibilité.
    Oui, nous vivons dans un monde de merde, et ce depuis longtemps maintenant.Le diagnostic est fait et n’est plus à faire, le pronostic vital est engagé.

     

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  • #1929826

    Tous en première année de droit pour suivre un sérieux apprentissage avec de vrais profs et juristes (dont les fils se touchent encore chez certains, Dieu merci) et recevoir un peu de lumière sur ce qu’est la personnalité morale (avec conditions et conséquences). Ca évitera de raconter n’importe quoi et d’imaginer que son chien/chat/cacatoès peut ester en justice...Certains commentaires, certes plein de bonne volonté et de bons sentiments, mélangent tout et n’importe quoi...

     

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  • #1929990

    Y aura t’il un âge de consentement pour enculer une poule ?

     

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    • Ce qui est sûr c’est que l’enculage de mouche est déjà inscrit dans la constitution, et que le consentement ne se pose même pas (pervers !!)

       
    • #1930374
      Le Mars 2018 à 08:26 par Las Vegan Parano
      Vers la reconnaissance de la personnalité juridique des animaux (...)

      @Maarchk
      Tout dépend de la poule, si elle a du rouge au bec aguichant ou des talons haut , là oui ,même si c’est une poule naine de 11 ans
      Par-contre une poule pondeuse de 15 ans qui aurait fait cours Serges Gainsbourg à la Sorbonne , là tu peux avoir des problèmes, surtout si son coq de père est un magistrat de gauche du syndicat de la Magistrature
      Tu vois c’est un peu au cas par cas , n’oublie pas qu’on est en Poupoulecratie

       
  • #1930065

    ..."respecter les droits édictés par la Convention européenne sur la protection des animaux dans les élevages, qui doivent leur éviter de souffrir inutilement"

    La souffrance animale est bien réelle, ce serait un grand progrès que les animaux retrouvent la nature au lieu d’être parqués dans des espaces confinés. Peut être que cela ne changera pas grand chose mais il est positif à mon sens de se pencher sur leur cas. Stupide d’évoquer ici l’enculage et la zoophilie, ce n’est pas le propos.

     

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  • #1930206

    Sans rentrer dans une discussion sans fin (et pour moi sans grand intérêt) sur ce que pense un animal ou autres billevesées, c’est une chose qui s’inscrit dans la grande marche du "progrès", avec l’IVG, le mariage gay, la GPA, la reconnaissance du genre neutre, l’écriture inclusive, le harcèlement sur les chasseurs, etc... Tout le logiciel mondialiste du "progrès" et de la religion des droits de l’homme. Encore une idée qui vise à déconstruire le monde de l’humanité enracinée, traditionnelle, aux valeurs saines. Dans 20 ans pourra-t-on encore manger une sardine ou un steak ? Bref ça pue.

     

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    • Je ne sais pas si des milliers de poules entassées dans des cages, dans l’obscurité et pondant au milieu des cadavres de leurs copines, c’est sain.

      Après, oui, on a tous bien compris que la machinerie actuelle recycle ses propres excréments pour éliminer toute opposition. On l’a vu avec les "droits de l’homme" détournés pour tuer l’homme.

      Cependant, essayons de voir le bon côté des choses : chaque pas que fait l’adversaire reste une occasion de le faire trébucher. Le pire serait donc qu’il s’arrête.

       
  • #1930247

    Quel contraste.
    Nous, les humains, sommes à l’abattoir sur cette planète. Du bétail pour le 1 % obscène. Nous sommes de la viande élevée pour consommer (l’Occident + les franges aisées des BRICS), et/ou accomplir les basses tâches que les robots n’accomplissent pas encore (le monde entier). Les chômeurs inutiles, de plus en plus nombreux, sont tenus en laisse par des allocs (j’en suis un).
    Gazés par épandages secrets, mais manifestes, de haute altitude, nourris au fluor pour fabriquer plus de consentement si jamais les medias ne suffisaient pas.

    Il n’en reste pas moins que la planète n’est pas infinie.
    On compte tous les animaux d’élevage ; et les mammifères sauvages (une paille dans la quantité de la diversité du vivant) ; les cétacés et la famille des pieuvres, grands candidats au titre d’espèces sentientes et intelligentes (à égalité, mais différemment, avec les grands primates) ; les espèces sous-marines - toutes celles non découvertes - ; les insectes - et tous ceux non encore découverts - ; le règne végétal - oui, toi aussi petit brin d’herbe arrogant - ; et même nos poteaux extraterrestres, ni végétal, ni animal : les champignons, dont on se demande toujours ce qu’ils sont venus faire ici ?

    Alors oui, l’homme est incapable de protéger son semblable et l’exploite comme un esclave. Techniques de domination, torture, oppression, lavage de cerveau.

    Mais, il serait beau et utile à tous, justement pour freiner les prédateurs capitalistes privatisateurs de tout, de l’air et de l’eau, que tout le monde prenne conscience qu’ils sont dans la même galère que tout ce qui vit sur cette planète.
    Et qu’un poulpe mérite autant de respect qu’une belle Montbéliarde (mes regrets à Marlène Schiappa), une mouche auatnat qu’un chapon de l’Ain.
    Et je suis un défenseur de la blanquette de veau. Je voudrais juste que, puisque c’est désormais possible, il soit traité comme un animal, pas comme une paire de Nike.

     

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  • #1930337
    Le 27 mars 2018 à 06:25 par Robespierre le Petit
    Vers la reconnaissance de la personnalité juridique des animaux (...)

    Y’a-t-il des animaux transgenres ?

     

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    • #1930376

      Vers la reconnaissance de la personnalité juridique des animaux ?
      Et est-ce que le nom du cochon, sera écrit sur le jambon sous-vide Herta ou sur le poulet Fleury Michon ??
      Ainsi les parents pourront dire à table , tiens fiston un peu de Régis et une aile de Jean-Luc
      Ca risque pas de donner de mauvaises intentions ?
      Parce-que le jour de rédaction écrite à l’école ,ça va un peu être schizophrénique pour nos gamins
      Aujourd’hui sortez vos copies, rédaction sur vos vacances



      Hier j’ai mangé avec mon parent 1 après la gay-pride un peu de Régis en tranche et des nuggets de Jean-Luc, puis ma frère-e-es transgenre Kévinette , m’a prêté-es son livre sur la sodomie d’allogènes de son cours de SVT et de vivre ensemble entre Charlie
      C’était une belle journée, j’étais déguisé en Poney et en Latex, bailloné et à 4 pattes et tenu en laisse, par les ami-e-es de mon parent 2
      Apres on a regarder des films la vie d’Adèle & comme un frère du réalisateur « Babar » puis on a lu la vilaine Lulu avec le bébé des ami-e-es de mon parent 2




      Je plains les profs ça va etre dur de suivre

       
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