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je trouve étonnant, frappant, qu’au fond Soral et Finkielkraut disent la même chose :
Soral définit l’identité juive, dans les passages cités, comme opposition au logos, à la raison comme à ce qui vaut universellement : le peuple qui se vivrait comme exception, comme singularité, qui met en échec l’universel ;
Finkielkraut définit l’identité juive comme opposition à l’histoire (interprétée, depuis Hegel jusqu’à Max Weber, quoiqu’en des sens divers, comme procès de ’rationalisation’). Sans doute, il refuserait d’interpréter l’histoire comme déploiement de la raison ou réalisation de l’universel (négation de toute particularité qui se prend pour le sens et la raison d’être du tout), et il jouerait la raison contre l’histoire ("l’historicisme" comme origine du relativisme, de la perte de l’universalité des vérités découvertes par la raison), mais il faudrait qu’il explicite ce point.
Chez l’un et chez l’autre il me semble qu’on n’a pas clairement tous les présupposés de leur position :
pour Soral, quel sens y a-t-il à être nationaliste, quand on se revendique de l’universalisme ? (La nation étant définie bien souvent comme un ensemble de valeurs auquel on est "charnellement", c-à-d irrationnellement, attachée ; la République étant le contraire de la nation ainsi définie, puisqu’elle s’établit par des principes qui, parce qu’ils ne sont pas des valeurs, peuvent être acceptés par des communautés d’attachement diverses : il n’y a pas de "valeurs" de la République, et la nation républicaine n’est pas une communauté)
pour Finkielkraut, quel sens y a-t-il à se revendiquer de la raison, quand on l’identifie à la fidélité à une singularité, que celle-ci soit celle d’une communauté supposée ou d’un événement révélateur, et qu’on l’oppose au travail de l’histoire ? Plus simplement : peut-on se revendiquer de l’universel, quand on pense celui-ci comme porté par une histoire particulière ?
Par contre, les deux hommes s’opposent sur le jugement de valeur qu’ils portent sur cette ’identité’ : pour le premier, le rejet de l’universel (et de sa réalisation dans l’histoire) vaut comme "mentalité primitive" ; pour le second, elle signifie à l’évidence le respect véritable de la loi (ici raison et révélation se distinguent mal, si la raison s’incarne dans un moment originel par rapport auquel l’histoire ne peut être qu’une errance).
Pour le reste, je vois surtout des différences de style, même si elles sont significatives aussi...
la deuxieme plus grande ignominie du dernier siècle fut la shoah
le plus grande fut l exploitation de la shoah par les juifs survivants et leur descendants pour asservir le monde.
Je ne vois pas bien la distinction que tu fais entre la "Shoah" et "l’exploitation de la Shoah" - la "Shoah" n’étant que l’exploitation à des fins politiques et stratégiques de faits historiques inventés ou outrageusement exagérés.
cela me rappelle l’enquete corse.
"nous condamnons la violence, mais pas les auteurs de la violence"
dans le genre rethorique talmudique c’est du top niveau.
en gros ça l’emmerde philosophiquement...mais dans le réel il cautionne. la pensée de salon...au top.
Ce Finkelkraut m’énerve beaucoup sur la forme , sa manière de parler lentement et de saccader les phrases et les mots . Le peuple Juif est un peuple éternel , alors connais t’il ce qu’est vraiment un génocide ? D’aprés lui , il n’y a pas eu génocide puisque le peuple élu corrompu sur une fausse lecture de leur religion désobéissante de Dieu existe encore et est très puissant .
Pardonnez moi peuple élu puni par Dieu , peuple élu qui déforme la Torah par le Talmud et qui écrivent de leur mains humaine des textes qui normalement sont offert par des prophéte de Dieu (les rabbins de Babylone qui falsifie les Ecrit Saint pour encore et toujours détourné le Juif du droit chemin que Dieu lui a ordonner) . Alors Soral a raison , depuis 2500 ans , les juifs se font toujours chasser de partout , particulièrement de la terre Sainte (punissions de Dieu contre eux) , et pourtant ils y reviennent . Ils se plaignent toujours alors qu’ils sont des opprésseur et qu’ils ne court aucun risque en France , ce sont eux les violents raciste et fou . Paix .
J’ai l’impression que la video a duré a 2h30..., et les dernieres videos d’Alain 10minutes !!
Il doit etre dingue devant le succes d’Alain le pauvre finki..ça doit plus bien se vendre le papier toilette(auteur de cabinet, je lui en donnerais moi !)incroyablement chiant et insupportable a ecouter, tout le contraire d’Alain Soral finalement !
J’ai essayé tant que j’ai pus de déceler un propos antisémite parmi les citations de Alain. S. par Alain F. Je n’ai pas trouvé. Serais-je contaminé par la bête immonde ? Il y a t’il un vaccin ? A l’haide.
Comment cet avorton ose-t-il s’attaquer au Grand Maître Monsieur Soral ? Mes connaissances en informatique m’ont permis de le localiser. Il s’agirait d’un certain Alain Finkielkraut et il habiterait Paris
Alain Soral : Un Superman antisémite.
Que dire... Ca fait maintenant plus de cinq ans (je crois) que je m’intéresse à Alain Soral et à son travail. Je pense avoir vu 90% des vidéos dans lesquelles il apparait ; j’ai également 5 de ses livres. J’ai la prétention de dire que je suis suffisamment intelligent pour comprendre la plupart des choses (la plupart, car je n’ai pas une culture politique assez solide) expliquées par Alain Soral, que ce soit dans ses bouquins ou lors de ses interventions audio/vidéo. Et je dois dire qu’il faut être débile pour ne pas le comprendre quand il parle... je doute fortement que monsieur finkielkraut soit débile, je penche plutôt du côté de la mauvaise foie.. ce qui n’est pas une vertu lorsqu’on se dit philosophe. C’est loin d’être un sadhu ce type :) , tellement habitué à mentir qu’il ne s’en rend même plus compte...
J’ai relevé quelques petites choses (pourquoi pas étoffer la fiche Wikipédia d’AS avec :) :
AS est un antisémite virulent et obsessionnel
AS est dégoutant (!) (?)
AS et sa prose vulgaire qui lui a valu un rond de serviette à l’émission TLMEP
AS se raconte des histoires (scénarios de western)
AS est un auteur de cabinet (dans ce cas là, longue vie aux auteurs de cabinet !!!)
AS glisse vers la simplification et la dérive (simplification, AS... ?)
AS risque de basculer dans la bêtise absolue (AS, basculer du coté de Finkielkraut ? J’éspère pas, ça craindrait un max)
J’aime bien quand il dit à 6min48 : "[...]comprendre, ça doit nous emmener encore un peu plus loin, dans l’intelligence du phénomène[...]". Ça prouve bien qu’il a rien compris Finky. Mise à part une chose : Alain Soral est bel et bien un phénomène.
Et quand il dit qu’AS se prend pour un vengeur... je ne sais pas si Alain Soral se prend pour un vengeur, mais moi ça ne me déplait pas cette image, ça lui va plutôt bien et ça sonne mieux que super héros je trouve. Surtout qu’il est même pas masqué le vengeur, trop la classe !
Je connaissais cette intervention, mais je suis étonné, avec le recul, de l’incroyable exagération de Fincky à propos de Soral, le traitant de monstre et le qualifiant de super-ultra-antisémite, le déshumanisant complètement, avec une haine hallucinante, tout en lisant des passages qui certe, ne sont pas philosémites, mais ne sont pas non plus d’un antisémitisme extrème et gras.
La perception de Fincki est complêtement biaisée par son judaïsme, il se montre incapable d’analyser le discours de Soral, ça part complètement dans l’hystérie. Chose pas très grave si Fincky était autre chose qu’un "penseur", payé par nos impôts pour analyser l’actu sur la radio publique. Le minimum qu’on puisse demander à un "penseur", c’est qu’il ne laisse pas sa pensée être parasité de la sorte. L’analyse est complètement biaisée, et je pense que ce genre d’analyse est indigne d’un essayiste. Ce genre d’intervention, dans un amphi ou dans une classe de cours de philo donne directement un zéro pointé à son auteur.