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Alcool : des femmes lèvent le tabou

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Anne-Lise, 41 ans, la même que sur la photo de une, après l’alcool

 

L’alcoolisme au féminin est moins socialisé que l’alcoolisme au masculin pour un tas de raisons culturelles, historiques et professionnelles. Aujourd’hui la société lève le voile sur l’alcoolisme des femmes qui a toujours été vécu comme une honte. Honte pour soi, honte pour les siens.

 

On sait que les femmes, plus que les hommes, boivent en cachette. Celles qui ont bien voulu parler dans ce documentaire sont courageuses, parce que cette pathologie a des effets très durs sur leur corps, sans parler de leur esprit. Quand on connaît l’importance du corps pour les femmes, on mesure à quel point l’alcoolisme n’est pas un choix, mais bien une maladie.

 

Comme des garçons

Aujourd’hui, une nouvelle génération de femmes (les 18-35) boivent comme les garçons, c’est-à-dire de manière ouverte. Les quais de Seine ouverts aux piétons à Paris regorgent d’étudiants et même de lycéens qui s’envoient des bières en fin de semaine, et parfois tous les soirs. Pareil sur les quais du canal de La Villette où pullulent les pré-bobos (un jeune ne peut pas encore être bobo, il faut un salaire de droite et un esprit de gauche pour cela).

Nous assistons à un effet de ciseaux : les hommes se sont féminisés et les femmes se sont masculinisées. Chaque groupe emprunte à l’autre des attitudes individuelles et des comportements sociaux. Les filles trinquent ensemble à la terrasse des cafés, elles goûtent aux joies provisoires de l’alcool. Le problème, c’est que le métabolisme des femmes est moins résistant que celui des hommes.

L’OMS (Organisation mondiale de la santé) recommande de ne pas dépasser la consommation « modérée » de 20 grammes d’alcool pour la femme et 30 grammes d’alcool pour l’homme, soit 2,5 verres pour madame et 3,5 pour monsieur. Au-delà commencent les risques. Mais certaines natures supportent mieux l’alcool que les autres : un bûcheron des Vosges pourra encaisser un peu plus d’alcool blanc qu’une crevette vegan du Marais.

 

La santé est le produit de l’information et de la volonté,
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La tentation alcoolique, sur E&R :

 






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67 Commentaires

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  • #2113573
    Le 2 janvier 2019 à 06:10 par paramesh
    Alcool : des femmes lèvent le tabou

    il y a une chose très importante à savoir pour l’Alcool : le véritable alcoolisme est une allergie à l’alcool. j’ai un cousin qui a attendu des années (un demi le midi au bistrot et jamais d’alcool à part çà) pour être dignostiqué alcoolique (auparavant on pensait qu’il avait un problème psychiatrique puisqu’il ne consommait pas d’alcool à part son demi). il a donc arrêté de prendre son demi journalier et il est redevenu tout à fait normal.(il était bien sûr un cas extrème car l’alcoolique en général ne s’arrête pas après le premier verre)
    le vrai alcoolique, le matin à jeun est tout à fait normal (à part parfois un tremblement dû au manque), mais dès le premier verre il commence à partir en couille, comme quoi ce n’est pas la quantité consommée qui fait l’alcoolique mais une allergie à l’alcool qui le pète au premier verre et qui l’empêche de s’arrêter de boire jusqu’à manquer de carburant ou tomber dans le comas. ma deuxième femme était alcoolique , elle se cachait pour boire mais dès le premier verre on savait qu’elle avait bu, elle se tapait au minimum deux litres de rouge par jour plus tout ce qui lui tombait sous la main, tout en niant, bien sûr, avoir bu. diagnostic : allergie alcoolique : le seul remède étant l’arrêt TOTAL et DEFINITIF de toute prise d’alcool. un alcoolique une fois le premier verre ingurgité est INCAPABLE de s’arrêter car il pète les plombs au premier verre.
    après il y a plein de gens qui boivent plus ou car ils aiment çà,et qui en général tiennent bien l’alcool et n’ont aucune addiction compulsive. je les appelerais les bons vivants et je suis fier d’en être, ma mère à 92 ans se boit encore son demi litre de rosé minimum par jour et elle est en pleine forme et dans les soirées arrosées elle tient presque mieux l’alcool que moi. Comme quoi personne n’est égal devant l’alcool qui peut dans certains cas devenir le pire des fléaux sociaux et la pire des drogues et détruire totalement les individus et les familles. mais il ne faut pas oublier que l’alcool est aussi une culture, un mode de vie, un produit tonique, excellent comme désinfectant et convivial. c’est le sang du christ faut quand même pas l’oublier.

     

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  • #2113578
    Le 2 janvier 2019 à 06:56 par Yann59
    Alcool : des femmes lèvent le tabou

    En faite la société a poussée les femmes à faire comme les hommes. Dans les femmes de moins de 40 ans beaucoup fument et boivent.

     

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    • #2113749
      Le Janvier 2019 à 14:28 par H.M.
      Alcool : des femmes lèvent le tabou

      Hein ? La société ? Ah non ! Les "progressistes".Et en particulier les féministes. Et aussi les vendeurs de tabac et d’alcool, grâce à nos amis les publicitaires. Ces agents du "progrès". En même temps, c’est vrai que c’était un scandale : les cancers du poumon et des voies digestives ne frappaient essentiellement que les hommes. Il fallait donc, c’est bien normal, progresser. C’est-à-dire aller vers cette égalité si désirable. Dans les prochaines années, les femmes se mangeront autant de cancers que les hommes. Là, on aura bien progressé.

       
    • #2113954
      Le Janvier 2019 à 20:21 par luff
      Alcool : des femmes lèvent le tabou

      Ce n’est pas Soral qui a dit que le féminisme, c’est imiter l’homme dans ce qu’il y a de pire ? Boire, fumer, consommation de prostitués...

       
  • #2113595
    Le 2 janvier 2019 à 09:29 par Athena
    Alcool : des femmes lèvent le tabou

    A l’origine de la trop forte consommation d’alcool, qui entraîne la dependance,et fait d’ailleurs disparaitre le plaisir, il y a forcément un grand mal-être ou une blessure profonde, en tout cas une fragilité, il y en a qui vont mieux reagir que d’autres,surtout pour une femme, alors qu’un homme va commencer à boire en groupe de potes une femme le fera dans la solitude. Mais ce sont souvent des gens intelligents et à la sensibilité à fleur de peau, des artistes, (Gainsbourg, Duras,une femme, Sagan aussi Ouellebecq... etc) on est moins critiqué dans certains milieux, l’alcool est une drogue autorisée, peu chère et très efficace, chacun a la sienne, là où le ou la pauvre seront représentés comme de minables poivrots , le ou la riche seront considérés autrement, il ne faut pas juger mais comprendre et aider en respectant finalement le choix de chacun si tant est qu’il a le choix, d’autre part il y a bien un aspect culturel c’est pourquoi l ’alcool est mal vu aujourd’hui, le vin notamment étant typiquement français, l’alcool est quand même lié à la fête, à la convivialité, vous croyez que c’est plus glamour le cannabis ou des seringues ou des anxiolytiques ? Il faut garder nos traditions, le problème c’est l’excès, la maladie.

     

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  • #2113599
    Le 2 janvier 2019 à 09:36 par Sev
    Alcool : des femmes lèvent le tabou

    Merci à E&R pour mettre en "une" ce véritable fléau du côté des femmes "libérées" et des plus en plus jeunes...
    Je confirme ici la gravité du phénomène et la réalité de l’augmentation inquiétante de consommation chez les femmes. J’ai travaillé pendant 25 ans pour le 1er cabinet d’alcoologie en France (Hassé Consultants) qui m’a par ailleurs formée sur le terrain et accompagnée de deux grands toubibs alcoologues français (Prs Vachon-France et Barrucan. Le 1er étant décédé).

    J’ai donc pu pendant 25 ans constaté ceci :
    1/ les chiffres de la consommation restent à peu près stables chez les hommes, mais.. ont gravement augmenté chez les femmes,
    2/ les jeunes gens, filles incluses, ainsi que les lycéens en sortie consomment de plus en plus et pratiquent la "binge drinking" (ingurgiter un max d’alcool en un minimum de temps, en groupe de préférence),
    3/ la dépendance est proportionnelle à l’âge de démarrage d’une consommation chronique (plus on commence jeune et plus il sera difficile de décrocher),
    4/ les fabricants d’alcools (gros groupes mondiaux) et les grands distributeurs (grandes surfaces) se donnent bonne conscience en proposant des "formations de sensibilisation à l’alcool" mais continuent bien entendu à vendre autant... profits obligent !
    5/ la notions de "fête" implique systématiquement "conso max d’alcools" pour un jeune en sortie.

    Il faut savoir que les sociétés occidentales ont là encore "démocratisé" une pratique qui, initialement dans toutes les sociétés primitives, était cantonnée à des moments d’initiation précis d’ordre sacré. Au nom de la "liberté" - mantra pathologique de l’Occident décadent - tous les produits qui étaient légiférés, ont été sciemment rendus accessibles à n’importe qui, n’importe quand.

    Il s’agit bien d’un choix de société dont la caractéristique centrale est d’isoler les personnes en les transformant en individu déracinés, désaliénés (au sens de rupture de tous les liens familiaux et historiques) et angoissés. La peur du lendemain (travail, projet, avenir) est ancrée au cœur des nouvelles générations formatées par l’industrie crétinisante du cinéma américain, des séries de propagande de "l’american way of life" qui ne montrent plus d’alooliques mais... véhiculent angoisse, violence et paranoïa à flux continu.

    Anti dépresseurs, somnifères et alcools forts deviennent des produits "normalisés". Ce fléau fait partie d’un plan de zombification global permettant à terme un capitalisme total et des profits pérennes.

     

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  • #2113615
    Le 2 janvier 2019 à 10:40 par Calx
    Alcool : des femmes lèvent le tabou

    Il faut vous reveiller.40 ans ce n’est pas jeune et en particulier pour les femmes d’aujourd’hui.Les femmes des années 50 qui étaient saines bonnes belles,vieillissaient evidemment bien mieux que les demi femmes d’aujourd’hui.
    Qui couchent avec des racailles,rejettent le male blanc sauf pour se marier avec s’il a de l’argent,reclament un parfait partage des taches ménagères et en même temps trouvent normal qu’on leur verse une pension à vie,sont infidèles,se prennent pour des hommes sans en être.Donc cela fait des ravages.
    Ces femmes font leur age et ce reportage ne va pas les aider à se sentir mieux.
    Je ne jette pas la pierre à ces femmes de 40 ans,qui sont victimes de la société actuelle et elles ne sont pas laides.Elles ont une certaine beauté dans leur souffrance et desespoir.C’est parcequ’elles sont sensibles qu’elles boivent.Si elles n’avaient pas de cœur elles ne buvraient pas.La sensibilité si elle ne s’accompagne pas de force est destructrice.

    En revanche on peut constater toute la laideur,la bêtise et la vulgarité en début de reportage de ces femmes de 25 ans.Elles ne sont pas méchantes mais elles sont laches,faibles,elles ont beaucoup trop d’heures de vol,elles sont habituées à se faire sauter par des beaufs ou des racailles "festifs",il y a un univers entre ces femmes et les femmes des années 50 au même age.

    On constate dans ce reportage ce que l’oligarchie financière au pouvoir fait au peuple et ici en particulier aux femmes.

     

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    • #2113650
      Le Janvier 2019 à 11:57 par fanfan1926
      Alcool : des femmes lèvent le tabou

      Et ben dis donc, Calx, les femmes qui ne boivent pas sont moches, insensibles car sans coeur, ne connaissent pas la souffrance ni le désespoir !!
      Bravo, avec ton explication, les femmes alcooliques vont trouver une bonne raison de ne pas arrêter leur consommation !
      il faudrait arrêter de parler pour dire des inepties, tout le monde s’en porterait mieux.

       
    • #2113820
      Le Janvier 2019 à 16:17 par Gentil goy
      Alcool : des femmes lèvent le tabou

      Dès 30 ans pas mal de femmes font vieilles de nos jours..

       
    • #2114009
      Le Janvier 2019 à 21:56 par lilirose
      Alcool : des femmes lèvent le tabou

      Pardon il fallait plutôt écrire : « Si elles n’avaient pas de cœur elles ne boiraient pas.. »
      Voilà c’est mieux, sauf votre respect. De plus c’est un sujet très intéressant qu’on aborde presque jamais.

       
    • #2114158
      Le Janvier 2019 à 03:07 par Calx
      Alcool : des femmes lèvent le tabou

      Ah l’agressivité classique des femmes d’aujourd’hui.Merci d’illustrer ce que j’écris.
      Chère fanfan
      Dire qu’elles boivent parcequ’elles sont sensibles ne veut pas dire que si vous ne buvez pas vous n’êtes pas sensible ou que vous n’avez pas de beauté.Vous faites une erreur de logique primaire ou tentez d’attirer l’attention.

      En fait grossièrement il y a à l’heure actuelle 3 catégories de femmes.
      Les femmes qui ne sont pas sensibles,elles sont de plus en plus nombreuses,immatures,egoistes narcissiques,ultra matérialistes.Qui vont quitter ou être quitté par un conjoint,qui vont changer de travail comme de chemise,et qui ne seront jamais affecté.Elles iront se faire sauter en enchainant les beaufs et les racailles festifs rencontrés en boite ou sur internet après leur séparation quelques temps jusqu’à se poser de nouveau avec quelqu’un qui le veut et qui en a les moyens financiers ou qui semble les avoir.
      Et il y a les femmes sensibles,il en reste evidemment un certain nombre.
      Parmis ces femmes sensibles il y a celles qui sont fortes et celles qui ne le sont pas assez
      pour compenser leur sensibilité.Certaines peuvent evidemment varier d’une catégorie à l’autre durant une vie en changeant.Il y en a un exemple dans cette vidéo.
      Etre fort est une expression floue mais qui signifie en la matière ne pas céder plus que de raison à ses pulsions auto destructrice.
      Ses femmes qui boivent ont une certaine beauté intérieure elles ne font de mal qu’a elles mêmes en général et à leurs enfants parfois qui sont le reflet de leur échec sentimental.

      De nombreuses personnes ne boivent pas ne sont pas en apparence dans l’auto destruction mais sont destructeurs vis à vis d’autrui.Ca peut être un vendeur qui est prêt à tout pour vendre pour l’argent.Ca peut être un macron qui sert ses anciens employeurs au mépris du peuple.Qui fait le plus de mal,macron ou un alcoolique anonyme au chomage ou qui travaille honnêtement par période.Il y a des personnes qui n’ont pas d’addiction visible et qui sont rongées par la haine.Beaucoup de femmes aujourd’hui d’un certain age d’ailleurs.

      Evidemment à toute chose égale,une femme qui ne boit pas sera plus belle extérieurement qu’une femme qui boit.Si on ne boit pas cela ne signifie pas qu’on n’a pas connu la souffrance.Il faut être tolérant avec ceux qui paraissent moins fort que soit.Le plus important ne se voit pas avec les yeux.Et j’ai vu de la beauté dans ces femmes de 40 ans.

       
  • #2113713
    Le 2 janvier 2019 à 13:32 par AПИС
    Alcool : des femmes lèvent le tabou

    C’est’triste car c’est du grand n’importe quoi. Auparavant, la fete etait synonyme de rassemblement , d’amitiés, ...On instaurait des le depart une ambiance qui pouvait nous conduire, non systematiquement d’ailleurs, a etre plus ou moins ivre. C’est donc le rythme dd l’ambiance qui nous dictait les verres et le bien etre. Aujourd’hui, les jeunes generations en sont incapables et donc se bourre la gueule avant tout semblant d’ambiance qu’ils pensent crer avec l’alcool forcé.Il n’y a plus d’ambiances, c’est un cirque qui n’ a aucun sens , c’est du faux, du maquillage..., Deja vulnerables sobres , les filles hautement alcoolisées le sont davantage. La "fete" se résume donc a etre une loque au plus’vite ! Il y a aussi l’arnaque du feminisme qui veut faire croire aux femmes qu’elles sont egales a l’homme en tout point y compris donc dans le seuil de tolerance de consommation de l’alcool. Resultat , ce sont elles qui sont le plus rapidement ravagées n’ajoutanr que laideur et fragilité.

     

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  • #2113714
    Le 2 janvier 2019 à 13:32 par bergamotte
    Alcool : des femmes lèvent le tabou

    Quelle belle initiative de présenter ce reportage, E et R.

    Les campagnes de prévention peuvent être utiles et elles sont particulièrement nécessaires aujourd’hui avec les modes de consommation des jeunes.

    Personellement je me souviens qu’il y avait eu plusieurs campagnes d’information à la fin des années 80 sur l’alcoolisme féminin (notamment pour les femmes tentées de boire pour se donner un petit "coup de fouet" avant d’entamer leur "deuxième journée de travail" , surveillance des devoirs des enfants et tâches ménagères).
    Avec le recul, toutes mes amies et moi-même avons constaté que ces campagnes nous avaient été fort utiles.
    Ces campagnes donnaient quelques petits trucs simples pour éviter les tentations éventuelles en période de fragilité : ne jamais boire d’alcools forts, ne pas avoir de réserves de vin chez soi, ne pas boire en dehors des repas, ne jamais ouvrir une bouteille de vin si l’on est seule (premier signe qui doit inciter à la vigilance).

     

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  • #2113987
    Le 2 janvier 2019 à 21:32 par paysan
    Alcool : des femmes lèvent le tabou

    Je vais dire pourquoi vous vous en sortez pas. C’est tout simple : Centre desintox completement a coter de la plaque, medecins et psy de merde, aide soignantes archi betes et tout ca sous coupole d’un systeme diabolique. Je sais de quoi je parle.
    Pour vous en sortir : construire un centre en haut d’une montagne ou plein milieu d’une foret, sans medicaments chimiques, avec des accompagnants qui connaissent le sujet, qui peuvent aussi etre des anciens intoxiquer reconvertis dans l’aide aux autres, Quelques bon psy c’est a dire des gens de sagesse, en clair un personnel qui a du vecu. Faites faire aux patients des activites liees a la nature (tenir un jardin, reconnaissance des plantes, construction d’une barque, on peut trouver des millions d’idees comme aussi la musique ou la cuisine...). Pas une goutte d’alcool ou autre et garder les pendant au moins 1 an chacun. Ajouter des seance de meditation et de priere. La ils pourrons comprendre et guerir.

     

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  • #2114963
    Le 4 janvier 2019 à 10:50 par Guillaume
    Alcool : des femmes lèvent le tabou

    C’est vraiment triste comme reportage. J’y suis passé à St Cloud pour faire plaisir à mon entourage qui pensait que je buvais trop hors je maîtrisais mais pour les rassurer j’y ai passé 15 jours. J’y suis arrivé je n’avais pas bu depuis 3 jours ce qui est impossible pour un alcoolique j’en ai vu arriver en cure sur des brancards car, comme dans le doc, ils vont boire un "dernier" coup avant la cure. Certaine personne ont besoin de 10 ou 15 passages en cure pour s’en sortir et c’est vraiment triste aussi. J’ai rencontré des gens formidables et de toutes classes sociales mais là-bas les classes ne comptent pas et je peux vous dire que chacun raconte ses histoires de beuverie et franchement on rigolait pas mal, j’ai entendu des choses que personne ne pourrait imaginer. Bref, j’ai beaucoup d’empathie pour ces gens car je sais très bien qu’ils n’ont pas le choix, c’est un cercle vicieux et quand on s’en rend compte il est souvent trop tard. Mais je suis bien d’accord que l’alcool est le meilleur anxiolytique au monde hélas.

     

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  • #2115439
    Le 4 janvier 2019 à 22:54 par sylvie une française
    Alcool : des femmes lèvent le tabou

    On peut parler de l’alcool "mondain", c’est à dire je ne bois que du whisky de qualité, des vins de très bonnes "caves" et du très bon Champagne.
    On en reste pas moins alcoolique mais ça donne meilleure conscience que "picoler" des alcools de mauvaise qualité.
    Il y a des périodes où l’on consomme de l’alcool déraisonnablement, souvent aux environs d’une vingtaine d’années, pour des raisons qui ne sont jamais précises. L’essentiel est qu’après une période "déjantée", il serait préférable de se limiter à boire un peu de vin d’un bon crû et de se le savourer avec un repas équilibré.
    J’ai connu tant de personnes qui ont subi de gros échecs dus à une consommation élevée d’alcool. Perte d’emploi, de sa femme ou de son mari, de ses enfants...
    Il vraiment dommage d’en arriver à ce stade et je crois qu’à un moment donné il faut dire stop et se diriger vers un Centre de désintoxication.
    On sait que bon nombre de chanteurs, acteurs etc sont passés par cette période qui est certainement difficile à vivre mais moins que de perdre son entourage proche.
    Il n’y a évidemment aucune leçon morale à donner ni à recevoir.

     

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