Le mouvement idéologique visant à mettre les enfants sur le marché de la rentabilité totale par l’exploitation sans limite semble être amorcé en France.
On le constate avec la fameuse loi quelque peu tordue dans sa formulation de l’hystérique et irresponsable Schiappa à propos de la "conscience sexuelle" des enfants censés être en capacité psychique de distinguer le viol de l’acte consenti.
On va voir débouler d’autres vidéos et surtout des films visant à convaincre les esprits poreux de la post modernité pourrissante que les enfants peuvent "décider" d’être homo, drag queen, trans ou autres joyeusetés dès leur plus jeune âge.
L’enfant, on le sait, ne fait qu’imiter les parents puis son entourage. C’est ainsi que les modernes croient que parce que leurs enfants s’expriment plus aisément que ceux d’antan, ils seraient par conséquent plus "intelligents et vifs" que dans les années 40, 50, 60.
Rien de plus faux lorsqu’on sait d’une part qu’en réalité, les enfants parlent plus effrontément qu’avant, oui, mais que leur vocabulaire est largement plus pauvre que ceux d’antan. D’autre part, l’enfant imite, singe ceux qui l’éduquent. Ecouter parler les enfants permet toujours de savoir ce que pensent les parents et leurs orientations de valeurs.
Ce pauvre môme de cirque fait plutôt pitié qu’autre chose. Il singe ce qu’on lui a montré, il adopte exactement par imitation les comportements déviants de ses parents et proches qui à l’évidence soutiennent les délires identitaires de notre époque malade.
L’objectif est à n’en pas douter d’user progressivement les résistances des parents qui veulent maintenir un épanouissement de leurs enfants par le truchement des étapes fondamentales universelles d’un parcours qui respecte le développement de la maturité normale.
Allez donc expliquer ça à des tordus come Cohn-Bendit et autres idéologues de "l’enfant libéré". Jusqu’où boirons nous la coupe ? Jusqu’à la lie et même au-delà, ce n’est plus une question mais une évidence...