Le 12 juillet 1998, la France remportait la Coupe du monde de football. 22 ans plus tard, la France gagne haut la main la Coupe du monde du régime démocratique le plus pourri. La flèche de Notre-Dame va être reconstruite à l’identique, nous rassure Manu-le-malin, mais le mal est fait. Les satanistes ont voulu brûler notre âme, malheureusement, la plupart de nos concitoyens n’ont plus trop d’âme. Elle leur a été enlevée par décret !

Au milieu des injonctions aussi absurdes que sadiques des satanistes du gouvernement, de la direction de la Santé et du Conseil scientifique, les Français essayent tant bien que mal de retrouver un équilibre, sonnés qu’ils ont été par les attaques terroristes du confinement et du déconfinement homéopathique. L’oligarchie a posé son énorme cul sur la cocotte-minute sociale et si elle lève la moindre fesse, ça pète.

Et pour mettre encore plus de baume dans les yeux des Français, voici qu’on apprend que nos dirigeants ont accordé 112 000 nationalités françaises en 2019 à des étrangers (ben oui, pas à des Français), contre, tenez-vous bien, 75 refus ! On prend aussitôt notre calculette, et on fait 75 divisés par 112 000 et multipliés par 100, ce qui donne 0,067 % ! Autant dire que la porte de notre pays est grande ouverte à tous les demandeurs, même sortis de l’asile.

Heureusement, nous ne prenons que les plus amoureux de la France dans le tas, par exemple cet homme de 53 ans qui a battu l’octogénaire qu’il cambriolait et qui lui a chié sur la tête, lui couvrant le visage de merde en criant « Allah Akbar, je vais revenir avec une voiture, tout défoncer, faire un carnage ». Non non, c’est pas une vanne, la preuve par France Bleu :

« Les faits remontent au 29 mai dernier. En plein après-midi, parce qu’il a vu une fenêtre ouverte et qu’il n’avait pas d’argent, le prévenu entre dans la maison de l’octogénaire au Croisic. Il y dérobe des vêtements, un téléphone et trois couteaux. Il s’en va mais revient car il a oublié ses chaussures. Entre-temps, le retraité a appelé la gendarmerie. L’ancien responsable du cinéma du Croisic essaie alors de coincer le cambrioleur avec son déambulateur, lui attrape le bras. Mais le quinquagénaire le fait chuter.

Le retraité essuie de nombreux coups, notamment à la tête. Des coups que conteste le prévenu sans convaincre le tribunal correctionnel de Saint-Nazaire qui le juge ce jeudi. Puis quand le vieil homme est au sol, il défèque sur lui et lui macule la tête avec ses excréments. "Il a été souillé littéralement" insiste l’avocat de la victime Me Frignat qui estime qu’il "n’a dû son salut qu’à l’arrivée de la police municipale". »

On apprend que le défécateur a déjà été condamné à 19 reprises, dont une fois pour assassinat. Question : pourquoi est-ce qu’on ne se débarrasse pas définitivement de cette merde ? Mais la presse a des ordres : elle n’a pas le droit de nommer les racailles.

Mais ça, c’est facile de le dire. Sputnik nous explique :

« Dans un rapport publié le 9 juillet, le Sénat alerte sur la propagation de l’islam politique en France. 44 propositions ambitionnent de l’endiguer. “Trop tard”, estime Alain Marsaud, ancien juge antiterroriste et député, qui doute de la portée de ce document. Sans langue de bois, il fustige le clientélisme des élus et la lâcheté des Français. »

Le rapport du Sénat dit notamment que les « tenants de l’islamisme tentent aujourd’hui de prendre le contrôle de l’islam en France ». On a entendu carrément, de la bouche de Zineb El Rhazoui, que l’islam voulait prendre le pouvoir, rien que ça. Mais alors, que dire du sionisme, qui a déjà pris ce pouvoir et que nos amis sénateurs marsaudistes ne dénoncent pas ?
On veut bien dénoncer l’islamisme – et surtout l’impunité de la racaille – mais il faut alors dénoncer le pouvoir incommensurable de l’OSF, l’Organisation sioniste en France, sinon ce genre de travail – le rapport sénatorial – va objectivement dans le sens du sionisme, encore une fois. Allez, reprenez votre copie, corrigez-la et rendez-la-nous, messieurs.

Eh oh !, il a dit messieurs pour les sénateurs alors qu’il y a des meufs dedans (118 sur 348) ! Et le Sénat, il est tout blanc ! Oui mais ça on s’en fout, nous. Les femmes et les racisés n’ont qu’à se faire élire, et après on en reparle, pour citer Didier Super. Là où on donne raison à Marsaud, c’est sur la lâcheté française :

« Dans l’affaire Traoré […] tous ces pauvres petits blancs, en passe d’être dissous dans ce communautarisme, qui sont allés applaudir devant le Palais de justice de Paris […] quelle honte, quel peuple perdu. Ce peuple français est un peuple perdu ».

Pas si vite, Marsaud. D’abord, ce sont les élites qui ont trahi, qui ont ouvert les portes de ce pays à tous les vents mauvais, pendant que le peuple était désarmé, car qui s’opposait à cette déferlante et cette violence était taxé de « raciste », puis condamné. Merci BHL, merci Finkielkraut, vous avez fait un bien fou à notre pays. On saura s’en souvenir.

Cependant, cette rubrique se devant d’être divertissante, nous vous devons de faire baisser la tension. Ce sera fait avec un décrochage par le naturisme, ou le nudisme. La différence ? Le nudisme c’est pour les viandards.

Attendez, on a oublié un truc sur les 112 000 nouveaux Français !

« Le “défaut d’assimilation autre que linguistique”, c’est “le mari polygame, par exemple, ou bien un parent pratiquant l’excision, ou encore un prosélytisme au mode de vie sectaire”, explique-t-on à Beauvau. » (Le Figaro)

Donc, si on a bien compris – ou alors on est complètement cons, ce qui est possible –, c’est qu’un mari polygame qui demande la nationalité française ne peut pas l’obtenir, c’est bien ça ? Bien. Mais alors, la famille Traoré ?
Un homme, 4 femmes, 17 enfants dont 5 délinquants, c’est quoi ? Qu’est-ce qu’ils foutent en France si la polygamie est un critère suffisant pour être considéré comme un « défaut d’assimilation » ? Plus largement, que vaut la Loi si cette loi fondamentale n’est pas appliquée ? Et pourquoi les Français s’en prennent-ils plein la gueule alors que le tapis rouge est déroulé aux étrangers ? Pourquoi les Français doivent-ils payer pour des étrangers qui ne travaillent pas et dont certains deviennent du coup des délinquants ? Pourquoi la famille Traoré est-elle protégée (par le pouvoir médiatico-politique) avec que les Gilets jaunes de chez nous ne le sont pas ?

Là, c’est pas quatre heures qu’il faut, c’est 4000, comme la cité du même nom. On va repartir sur les viandards, c’est plus rigolo.

Il paraît que bander est mal vu dans les camps naturistes. Mais si cette dame se sent bien, c’est l’essentiel. France Info a rencontré les bite-nique :

« Alain développe : "Le naturisme, c’est une philosophie ; le nudisme, c’est une posture, une attitude." [...]
Il n’existe pas non plus de naturisme sans sérénité. "Ici, ce n’est pas Palavas-les-Flots, prévient Georges, peu adepte des campings où les tentes s’alignent les unes après les autres sans espace. Pour les enfants, c’est féerique, ils peuvent aller partout et tous les adultes veillent sur eux. S’il y en a un de perdu, il y aura toujours quelqu’un pour le récupérer." De la même façon, "si quelqu’un a un comportement étrange, on se passe le message et on le surveille". Car s’il y a bien une chose que les naturistes détestent, c’est d’être confondus avec les "nudistes" ou les "exhibitionnistes". "Ici, ce n’est pas le Cap d’Agde", lance Alain, en référence à la célèbre station balnéaire de l’Hérault, connue pour ses plages échangistes. "Quand j’y suis allé, j’ai vu des pratiques sado-masochistes, un homme tenir sa femme en laisse... Chacun fait ce qu’il veut, mais pour moi ce n’est pas du naturisme." »

On l’a compris, le nudisme, c’est les cochons ; le naturisme, c’est la liberté. C’est aussi la tolérance, d’après Nadine :

« On voit des personnes handicapées, des femmes qui n’ont qu’un sein ou des hommes avec une prothèse. Il y a une vraie acceptation des autres. »

Voilà, ça c’est fait, on va passer rapidement à Louis Aliot qui a fait une petite bêtise :

« Élu officiellement maire de Perpignan le vendredi 3 juillet lors du conseil municipal d’installation, Louis Aliot a présidé son premier conseil municipal à Perpignan ce vendredi. À l’ordre du jour, entre autres, l’indemnité du nouveau maire.
L’un des moments forts de cette première séance, c’est la proposition d’augmenter de 17% l’indemnité du nouveau maire, ce que n’approuve pas du tout l’opposition.
"Ce sera votre Fouquet’s" prévient Bruno Nougayrede membre de l’opposition avant d’ajouter, "ça représente 60 000 euros sur l’intégralité du mandat. Vous avez promis une ville plus juste. Vous devez renoncer. Vous devez être exemplaire", insiste le conseiller de l’opposition. »

Aussitôt, la vigie anti-RN du Système lui est tombée dessus :

60 000 euros sur 6 ans, la durée d’un mandat de maire, ça fait 10 000 euros d’augmentation par an, soit 833 par mois. On a arrondi pour pas s’emmerder avec les virgules. On n’est pas là pour défendre Louis, mais si on était lui, on renverrait dans la tête du petit commissaire politique bénévole (il ne fait pas partie de la Tribu mais il l’aide avec une obséquiosité surprenante) qu’à l’époque où il avait son jeton de présence au Grand Journal de Canal+ (de 2006 à 2015), Jean-Michel se faisait 2500 euros par émission, soit 50 000 par mois. Et on ne compte pas ses émoluments de RTL où il officiait pour la matinale et les interviewes. Wikipédia parle de 21 000 euros mensuels chez Denisot. Décidément, l’encyclopédie bien-pensante qui raye les comptes des dissidents est loin du compte, il faut lire E&R pour avoir les vrais chiffres.
Donc Aphatie se faisait en un mois largement plus qu’Aliot s’est augmenté sur six ans. Toujours se méfier des juges qui dénoncent très vite les autres, ils ont généralement une casserole sale à cacher. De notre côté, pour égaler les presque 100 000 euros de revenus d’Aphatie par mois période « Canal+RTL », il nous faudrait carrément 50 mois de boulot ! Mais pour rien au monde on ne voudrait du pari faustien, qui finit toujours mal.

Les cochons, c’est fait, Aphatie/Aliot aussi, on raye au fur et à mesure, on zappe les transitions et de toute façon tout le monde s’en fout. Ah, il nous reste la truande des élites à l’école ! On a parlé récemment des classements douteux à l’intégration de Sciences Po ; là quelqu’un vient de lever un joli lièvre qui illustre notre article sur les discriminations positives en faveur du haut (les élites) et du bas (les racisés), le tout au détriment du milieu (la classe moyenne qui bosse dur). Toujours ce sandwich sociologique au détriment de la vraie France.

On a conscience que ce genre d’info en particulier et de rubrique en général peut alimenter la colère du peuple contre ses élites, dont elle ne se sent plus familière. Mais dans ce cas on dit plus rien.

Avant, l’élite, c’était le petit prodige d’une famille de 8 enfants qui devenait polytechnicien, le gosse de pauvre qui devenait officier de la Marine, la fillette un peu autiste qui devenait violoniste à l’opéra de Paris, le fraiseur qui devenait Premier ministre.

Aujourd’hui, tout ça c’est fini : les postes juteux sont trustés par les rejetons de l’élite qui se communautarise à la vitesse grand « C » (celle de la colonisation) et le peuple reste en bas. C’est pour ça que les nouvelles élites qui surgissent naturellement sont fondamentalement opposées aux élites qui ont coupé tout lien avec le peuple, et qui tentent d’anéantir les nouvelles.

C’est exactement la situation d’un pays en phase pré-révolutionnaire. Notre petit doigt nous dit que les élites vont tomber, car elles sont tout simplement pourries.