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Isabelle Balkany invente une histoire de spoliation familiale pour se défendre

Le « maire par intérim » de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) devrait encore justifier, ce lundi, ses « fautes fiscales » par l’héritage familial qu’elle a reçu dans les années 1990. En l’absence de Patrick, incarcéré à la prison de la Santé et affaibli par des troubles intestinaux, elle devrait être seule à défendre son couple devant la cour d’appel de Paris qui va le juger pour « blanchiment aggravé de fraude fiscale ».

 

 

L’occasion de replonger à pieds joints dans les méandres de famille. Car Isabelle Balkany compte encore expliquer que c’est son frère, Jean-Claude, et sa sœur, Danièle, qui l’ont contrainte à acquérir la villa Pamplemousse, sur l’île antillaise de Saint-Martin. Une propriété, parmi d’autres, que la justice lui reproche, justement, d’avoir dissimulé au fisc dans le but d’alléger la feuille d’impôts d’environ quatre millions d’euros…

 

Les parts de la société familiale en question

Pour bien comprendre, il faut remonter à l’enfance d’Isabelle Balkany. Issue d’une famille de commerçants tunisiens – les Smadja – elle a profité très jeune de la fortune que son père avait faite dans l’import-export de caoutchouc. Ainsi, dans les années 1950, c’est en Rolls Royce qu’elle se rendait à l’école depuis un hôtel particulier de 3.000 m² situé dans le 16e arrondissement de Paris. « Je n’y suis pour rien... », lâchait-elle à ce propos dans Le Journal du dimanche, dès 2015.

[...]

À la mort de son père, en 1982, Isabelle Balkany décide, avec Patrick, de partir à l’assaut de la mairie de Levallois et de revendre ses parts de la société familiale. Exilés en Suisse, son frère et sa sœur les lui rachètent pour quatre millions de francs. Mais, selon son récit, ils revendent la même société, six ans plus tard, pour la somme de… 750 millions de francs. « Autrement dit, j’ai été spoliée ! », résume encore aujourd’hui l’élue de 72 ans.

Elle en veut pour preuve la « rallonge » de dix millions de francs que son frère et sa sœur, « pris de remords », ont accepté de lui octroyer en 1995. À la seule condition, toujours selon elle, que cet argent ne soit pas versé sur un compte en France. « Il faut une force d’âme pour refuser de l’argent qui, quelque part, vous appartient... », expliquait-elle à ce propos, en décembre, lors de son passage devant la cour d’appel de Paris pour « fraude fiscale ».

[...]

Entendu par les enquêteurs à Genève le 9 juillet 2015, Jean-Claude Smadja explique que c’est, à l’inverse, Isabelle Balkany qui « a désigné le compte » sur lequel lui faire un virement. Et donc elle qui a décidé que ce ne serait « pas un compte en France », selon son procès-verbal que 20 Minutes a pu consulter.

 

 

Lire l’article entier sur 20minutes.fr

La saga des menteurs, sur E&R :

 






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