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L’avortement comme sacrement fatal

L’avortement constitutionnalisé signe la défaite démographique et spirituelle de l’Occident.

 

Le texte voté par une majorité de députés et de sénateurs, le 28 février 2024

La loi détermine les conditions dans lesquelles s’exerce la liberté garantie à la femme d’avoir recours à l’avortement. 50 sénateurs ont voté contre, sur 339, et parmi eux, 22 sénatrices. Parallèlement, était proposée l’abolition de la clause de conscience qui permet aux médecins de ne pas réaliser d’avortements s’ils ne le souhaitent pas, mais heureusement, cela n’a pas abouti, la clause de conscience est maintenue, grâce à Dieu.

On comprend bien que l’écrasante majorité en faveur de l’inscription dans la Constitution du droit à l’avortement a voté « comme un seul homme » pour avoir la paix, pour ne pas ranimer une guerre de religion. Le Planning familial tenait à l’abolition de la clause de conscience car « la clause de conscience participe à une moralisation indue de l’avortement, l’IVG doit être considérée comme n’importe quel acte médical faisant partie de la vie de milliers de femmes » (comme on se fait arracher une dent). La morale serait donc indue, s’agissant des enfants à naître, et le meurtre des plus innocents ne serait qu’un acte « médical », et qui plus est « banal ».

Mais le Planning familial n’a pas gagné, sur ce terrain. La réflexion morale doit rester à la source des textes constitutionnels, et la médecine doit soigner, non tuer, selon le serment d’Hippocrate. La morale ne saurait se fonder que sur le réel, le terrain où l’on choisit d’exercer le bien ou le mal, les notions universelles qui, comme la vérité et la justice, fondent toute société humaine vivante. Or il se trouve que l’avortement de masse, typique de la société française actuelle, constitue une pathologie collective, et une source de diverses pathologies, et en particulier mentales, ce que voudraient nier les organes de propagande qui veulent imposer la logique surréaliste de l’Occident au monde entier. L’argument de la supposée liberté qui doit être garantie aux femmes n’est qu’un paravent pour des outrages à une échelle inégalée dans l’histoire de l’humanité.

 

Ce qu’on nous cache : l’avortement est une pratique hautement rentable

Le néo-libéralisme a plus que jamais besoin de femmes robotisées, qui se consument dans le travail, la production, les services, la consommation, et le loisir programmé pour être dispendieux. Mais une fois âgées, parvenues au dernier degré envisageable de réalisation de leurs ambitions professionnelles, les femmes, faisant retour sur leur jeunesse, découvrent que la première étape de leur asservissement a eu les charmes de la tentation, du recours à la facilité : le droit à l’avortement, elles l’ont mis en pratique sur le mode de la délivrance d’un fardeau, dans la jeunesse, pour « gagner du temps », pour mieux avancer dans une carrière, pour augmenter leur liberté de mouvement. Une fois grand-mères et/ou grand-mères fantômes d’enfants qui n’ont pas vu le jour, elles reconnaissent dans leur chair que le recours à l’avortement a toujours été une solution bancale acceptée dans l’urgence, un pis-aller, un pseudo-choix dans la précipitation ; ce qu’elles ont pris en 1975 pour une libération et donc un droit est devenu de fait un droit pour certains à encourager le viol de la conscience et de la nature féminine, la négation des droits de l’espèce et des devoirs qui vont avec. Généralement, cette prise de conscience se fait clairvoyance à l’âge de la retraite, quand les regrets remontent à la surface : plus on a avorté, moins on a de petits enfants à aimer, moins on a de part d’âme à transmettre, à faire revivre chez les plus jeunes.

Ce que les femmes ne savent pas, c’est que le capitalisme a besoin du « droit » de certains à pratiquer des avortements sur des femmes dont on attend seulement qu’elles se comportent « de façon consensuelle » en consommatrices d’une prestation « médicale » gratuite. Les fœtus, le produit des avortements chirurgicaux, sont en grande partie récupérés « pour la recherche scientifique », puis revendus dans une grande mesure à l’industrie de la cosmétique ou de techniques curatives innovantes, toujours sur le mode « fontaine de jouvence ».

Comme aux beaux jours de la sorcellerie, les scientifiques savent que les tissus les plus jeunes, à commencer par les cellules souches, se régénèrent et en régénèrent d’autres. Et les nouvelles biotechnologies peuvent développer à l’infini les usages des tissus miraculeux. [Voir ci-dessous l’Annexe sur « le business de l’avortement », un état des lieux en 2020]. Les femmes qui croient choisir une IVG ne savent pas tout cela, elles se disent qu’on les débarrasse d’un déchet, ne se soucient pas, en général, du recyclage bien réel du fruit de leurs entrailles. La PMA a besoin d’embryons conçus in vitro : les femmes qui donnent ou vendent pour cela leurs ovocytes ne savent pas qu’une grande partie finira à la poubelle, comme la majorité des embryons : le tri sélectif est impitoyable, à tous les étages de la procréation artificielle. Et la « mère porteuse » aussi va vivre bien souvent dans son corps le tri entre plusieurs fœtus, qui seront « réduits » pour que ne survive que celui qui correspond au « projet parental » des acheteurs du bébé qu’elle mettra au monde, et ne connaîtra jamais. Rappelons que la légalisation de la GPA, en 2024, est vivement encouragée au niveau des instances européennes, au mépris des lois nationales existantes, et qu’elle n’a cessé de se développer dans certains pays (l’Ukraine est la plus grande usine à bébés du monde), les parents acheteurs parvenant toujours à faire attribuer leur nationalité au bébé enfanté ailleurs.

 

Pourquoi inscrire le « droit à l’avortement » dans la Constitution

Ce n’est pas une lubie du président français pour détourner l’attention des Français d’autres questions plus urgentes. C’est très lourd de conséquences, et dans chaque pays occidental les classes dirigeantes livrent bataille en ce sens. Chaque mise à jour des lois de bioéthique se traduit par une plus grande marge de manœuvre pour l’industrie de la stérilité et de la fertilité, car l’une ne va pas sans l’autre. Le subit engouement du Président pour les familles et une fécondité plus confiante dans l’avenir est la facette complémentaire du projet : l’industrie de la procréation artificielle a besoin d’être stimulée par le fléau de la stérilité angoissante. Or celle-ci, on ne nous le dit jamais, est favorisée par les contraceptifs jusqu’à un âge avancé, et le recours généralisé à l’avortement (actuellement, un enfant sur cinq part à la poubelle en France, un record stable depuis quelques années ; et ceci ne tient pas compte des « pilules du lendemain » consommées avant que l’embryon éventuel soit détectable par les tests de grossesse ; elles sont prises à titre « préventif », mais n’en sont pas moins des mixtures abortives).

La volonté de freiner la banalisation de l’avortement gagne du terrain, même si le vote du 28 février ne permet pas de le percevoir. Il est prévisible qu’un jour, les trafiquants qui vendent et recyclent des fœtus vont être mis en accusation, et pour se défendre, ils invoqueront le principe de l’égalité : si le droit de pratiquer l’IVG est inscrit dans la Constitution pour les femmes, comment ne le serait-il pas pour les hommes ? Un homosexuel, qui achète un bébé fabriqué sur commande, et à qui la loi reconnaît l’autorité parentale, n’aurait pas le droit d’exiger que les « médecins » interrompent la grossesse d’une « mère porteuse » de location pour des fœtus « surnuméraires » ?
Il y a déjà des cas, lorsqu’un couple se sépare, où l’ex-aspirant à devenir père, exige la destruction d’embryons qui ne sont plus désirés par lui. Par ailleurs, inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution implique d’ouvrir un peu plus la voie aux expérimentations pour l’ectogenèse, c’est-à-dire l’utérus artificiel, prochaine tentative de supplantation des femmes et des mères par des machines ; c’est aussi permettre l’essor du clonage thérapeutique, interdit pour le moment entre humains, mais pratiqué depuis des années sur les animaux, tout comme la PMA et la GPA. Cela complèterait la maîtrise par les technocrates de la vie de chacun, en symétrie avec le droit à l’euthanasie et au suicide assisté, déjà en voie d’acceptation, y compris pour les enfants.

Les féministes, en soutenant l’idée d’inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution, ont des raisonnements à très court terme et fallacieux, indéfendables du point de vue de la protection des femmes ; elles se laissent corrompre par les puissantes organisations qui les financent. La gauche institutionnelle choisit de s’aveugler aussi sur les enjeux, faisant ainsi le jeu des industries et mises sur le marché des femmes et des enfants grâce aux biotechnologies de pointe, le grand projet eugéniste et malthusien des instances mondialistes, OMS, Planning familial subventionné dans chaque pays.

Lire l’article entier sur plumenclume.com

Masochisme féministe

Avortons !

 
 






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94 Commentaires

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  • #3329991
    Le 2 mars à 14:21 par Pax Al
    L’avortement comme sacrement fatal

    Et ce sont les mêmes (végans), jubilant à l’entrée de l’avortement (meurtre du foetus) dans la constitution qui fustigent les mangeurs de viande (qui tuent des animaux) !

     

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    • #3330098
      Le 2 mars à 17:50 par anonyme
      L’avortement comme sacrement fatal

      Et combien de viandards qui sont pour l’avortement ? Si les bouffeurs de barbaque, les marcels du barbecue, étaient contre l’avortement ça se saurait !

       
  • #3330013
    Le 2 mars à 14:48 par 4anonyma
    L’avortement comme sacrement fatal

    Tout abord il faut poser LA question à qui rapporte le crime ? La réponse n’est pas aussi évidente et quand vous allez comprendre vous verrez a quel point ils y a des tordus .
    Premier constat depuis les années 70 le contrepouvoir tel que la gauche s’est réduit , à l’opposé le néo-libéralisme ne c’est jamais aussi bien porté .
    Pourquoi ? parce que dès le départ les néo-libéraux ont eut l’idée de faire deux coups en un : réduire la population tout en éliminant l’opposition . Comment ? En faisant croire à la gauche qu’il faillait au nom de la liberté et de la survit de la terre réduire le nombre de personne , résultat depuis la légalisation de l’IVG les futurs représentants de la gauches et ses électeurs ne sont jamais venus au monde .
    Si macron avait mis en avant la relance des naissances , c’est un menteur , il fait de la psychologie inversée pour pousser les personnes ne pas faire d’enfants et à leur faire croire que s’ils en font c’est grace à lui ( en omettant qu’il est un psychopathe ) .

     

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  • #3330030
    Le 2 mars à 15:29 par anonymeXVI
    L’avortement comme sacrement fatal

    Ce régime prépare le peuple à la guerre mais en même temps érige en droit constitutionnel l’avortement :)

     

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    • #3330213
      Le 3 mars à 03:16 par Pierre Albert Espénel
      L’avortement comme sacrement fatal

      L’ex-Yougoslavie fut la première a constitionaliser l’infanticide précoce. Peu de temps après, le déluge de feu s’abattait sur Sarajevo. On doit s’attendre aux mêmes maux. Oremus !

       
    • #3330298
      Le 3 mars à 09:13 par anonyme
      L’avortement comme sacrement fatal

      @ Pierre Albert Espénel.
      Effectivement, faudra pas s’étonner, si Dieu existe, de recevoir quelques missiles nucléaires sur la tronche ! On en prend le chemin direct et cette constitutionnalisation de l’infanticide n’augure rien de bon ! A vos chapelets !

       
  • #3330080
    Le 2 mars à 17:00 par Viktor von Berg
    L’avortement comme sacrement fatal

    Et le complot des élites mondialistes, eugénistes et satanistes est en marche forcée !

    Certains nous accusent ici,catholiques que nous sommes, de ne pas faire du barouf ! Ils feraient mieux de se taire car tout a été fait pour nous faire fermer notre clapet dans l’espace public avec des lois qui nous envoient en taule si nous critiquons l’IVG, comme pour le vaccin bizarrement ! (des messes de la Tradition vont être dites lundi 4 mars pour essayer de fléchir le vote des parlementaires mais surtout pour détourner la colère de Dieu qui inexorablement va tomber sur la France :(

    Maintenant les chose sont plus claires que jamais :
    - l’IVG n’est pas obligatoire ;
    - La clause de conscience pour les médecins est maintenue ;
    Les femmes qui avorteront le feront en leur "âme" et conscience selon la problématique qui les animera : malformation, trisomie, viol, oubli de pilule, drogue, changement d’avis, divorce, instabilité psychologique, etc...
    Donc ces femmes seront entièrement responsables devant leur Créateur au jour du Jugement Dernier et ça ne nous concernera plus.
    Assumer ses conneries est le devoir du chrétien...
    Quant aux abruties de féministes qui ânonnent "mon corps m’appartient", oui, mais le corps du petit innocent qui est en vous ne vous appartient pas, débiles.

    Il ne faudra pas oublier cela quand ils voudront nous vacciner de force : notre corps nous appartient...

     

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    • #3330423
      Le 3 mars à 14:01 par nuance
      L’avortement comme sacrement fatal

      Un bémol : si le futur enfant est un futur handicapé grave (trisomie, paralysie, etc.), selon plusieurs constatations faites par des médecins différents, l’avortement est une solution détestable, mais authentique.
      Car en l’occurrence, ce hadicapé grave et sa charge coûteuse sont reportés sur la société.
      Or la France n’a plus les moyens de créer sa propre progéniture et, en même temps, de prendre soin de celle des autres, plus encore si cette progéniture ne sera jamais autonome.
      Elle devra faire un choix.
      Actuellement, le choix est en faveur de la progéniture des autres, qu’elle soit en bonne santé prénatale ou pas.
      Les Français élèvent les enfants des autres, ce qui est révoltant, inacceptable (par eux bien sûr). Et massacrent littéralement leur lignée par l’avortement et le nomadisme plus ou moins forcé.
      Pour viter l’avortement, le meilleur moyen c’est de ne pas laisser entrer en territoire français des femmes prolifiques, étrangères à la culture française.
      Ensuite, lois décourageant l’avortement et encourageant les naissances, pour les Françaises uniquement. Il en va de la survie élémentaire du peuple français.

       
  • #3330140
    Le 2 mars à 21:06 par Miville
    L’avortement comme sacrement fatal

    La plupart des Francophones blanches que j’entends s’exprimer à ce sujet applaudissent cette décision de Macron, dans la crainte d’un proche backlash nationaliste religieux puritain, ou pour décourager les Islamistes. Elles justifient leurs mains d’applaudissements en expliquant qu’une femme qui n’a pas connu l’expérience de prise de possession sur leur propre corps qu’est l’avortement reste une esclave mentale de l’ordre patriarcal, et qu’elle ne devrait accepter de garçon dans sa vie que s’il consent de bon coeur à ce qu’elle avorte de ses oeuvres tout d’abord, pour prouver avoir un mental aligné dans le sens de l’histoire, et exempt de sentimentalisme morbide rétrograde.

     

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  • #3330149
    Le 2 mars à 21:46 par Anonyme
    L’avortement comme sacrement fatal

    Ces lois, ces manifestations opérées en faveur de ces lois, ces mouvements féministes créés pour faire aboutir ces lois, ces actions répétées, voire mimées, pour démontrer que la majorité des femmes sont pour ce genre de lois,
    Ne sont en réalité que la mise en place d’un agenda élaboré en coulisse, par des cerveaux détraqués que régissent le mal et la volonté satanique de détruire l’humanité.
    Une solution : revenir à Dieu, qui a déjà instauré des lois préservant sa création.

     

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  • #3330189
    Le 2 mars à 23:44 par Melissa
    L’avortement comme sacrement fatal

    Je pense qu’il faudrait avant tout accompagner et aider les mamans ou les futurs mamans pour éviter des actes infanticides tels que l" Affaire Véronique Courjault des bébés congelés. Tout enfant (quelque soit son degré de viabilité) venant au monde ne sera pas toujours accepté (déni de grossesse). Combien d’enfants sont étouffés ou jetés à la poubelle à peine sorti du ventre de leur mère de nos jours. Abandonnés ou Maltraités jusqu’à la mort durant la petite enfance car non désirés. C’est compliqué.
    Il y aura malheureusement toujours des comportements infanticides. Au moins, si la jeune maman ne veux pas ou ne peux pas s’occuper de l’enfant à naître par exemple, pourrait-on mettre en place des structures pour accueillir le ɓébé en pouponnière jusqu’à ce qu’un couple homme-femme vienne l’adopter.
    Concernant les enfants nés en handicap sévère tous ne finissent pas forcément en maisons médicalisées qui sont de véritables prisons où tous les handicaps sont mélangés, de l’infirmité motrices jusqu’au handicap mental mais un bon nombre y atterrissent car les parents n’ont plus la possibilité de s’en occuper...
    Je ne tente pas de justifier l’avortement car c’est une décision terrible mais je ne me permettrai d’apporter un quelconque jugement quand je vois l’état dans lequel sont délaissés jeunes et adultes végétant dans ces structures médicalisées. Mais bon. C’est ainsi. Donnons au moins déjà une chance à chaque enfant de venir au Monde et laissons la Providence faire son œuvre...

     

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  • #3330343
    Le 3 mars à 11:04 par Domino
    L’avortement comme sacrement fatal

    La prochaine étape sera sans doute la suppression de la clause de conscience des médecins qui constitue, dans les faits, une limitation de l’exercice de ce nouveau "droit" inscrit dans notre charte fondamentale. Les médecins ne voient peut-être pas le danger, mais il est pourtant évident

     

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  • #3330356
    Le 3 mars à 11:33 par jacques
    L’avortement comme sacrement fatal

    Imaginez un seul instant que ce soit les hommes qui accouchent et que si c’était eux qui demandaient de telles lois , le tollé que les femmes féministes en feraient

     

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  • #3330618
    Le 3 mars à 22:23 par Eschyle 49
    L’avortement comme sacrement fatal

    En deux lignes, la guerre n’est pas perdue, voici pourquoi et comment : je dis bien, en deux lignes :
    a) pour faire fonctionner une civilisation, il faut un logiciel laïc, d’essence divine : c’est la Règle de Saint Benoit, synthèse du droit romain, de la philosophie grecque et des deux testaments, à la fois manuel de management et précis de procédure pénale ;
    b) pour détruire une civilisation, il faut un logiciel laïc, d’essence satanique : c’est la Franc-Maçonnerie [je l’ai combattue 4 décennies] ;
    Une fois que vous avez compris ceci, vous avez tout compris.

     

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