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Le 10 septembre 1977, à 4h40, Hamida Djandoubi est guillotiné aux Baumettes

Voici le résumé de l’affaire Djandoubi par Wikipédia :

Un soir de 1973, Djandoubi contraint Élisabeth à avoir des relations sexuelles tarifées avec huit autres hommes. La jeune femme porte plainte pour proxénétisme en mai 1973. Après avoir été convoqué au commissariat de police, Djandoubi jure de se venger. La plainte est classée sans suite. Il rencontre la même année deux adolescentes, Annie et Amaria, auxquelles il promet, à l’une et à l’autre, le mariage. Commence alors une relation à trois, dans laquelle progressivement la violence vient s’immiscer.

Djandoubi retrouve Élisabeth presque par hasard. Il l’invite à son domicile, où elle se rend le 3 juillet 1974. Élisabeth y subit une longue séance de torture en présence d’Anna et Amaria ; elle est frappée à coups de bâton et de ceinture et brûlée sur certaines parties du corps. Elle est ensuite transportée, nue et sans connaissance, dans la campagne, près de Salon-de-Provence, à une quarantaine de kilomètres de Marseille. Djandoubi l’entraîne dans un cabanon de pierres, où il l’achève en l’étranglant. Le corps non identifiable est retrouvé par des enfants quelques jours plus tard. Le 28 juillet 1974, il recueille une adolescente en fugue âgée de quinze ans, Houria, la séquestre et la viole.

Le 9 août 1974, Amaria et Houria, qui ont pu fuir, portent plainte au commissariat du VIe arrondissement de Marseille pour viol aggravé sur une adolescente de quinze ans, séquestration, coups et blessures et menaces de mort. Deux jours plus tard, Djandoubi est arrêté. Il reconnaît les faits et accepte de collaborer avec les autorités, notamment lors d’une reconstitution le 8 novembre 1974, espérant ainsi obtenir la clémence. Lors de son discours de 1981, Robert Badinter voit en Hamida Djandoubi un « unijambiste […] qui, quelle que soit l’horreur – et le terme n’est pas trop fort – de ses crimes, présentait tous les signes d’un déséquilibré ». Le procureur général Chauvy parle à l’époque d’« une âme démoniaque », les experts psychiatres considérant qu’il avait « une intelligence supérieure à la normale mais constituait un colossal danger social ».

 

Le Monde a diffusé le dossier remis à Me Badinter par la juge Monique Mabelly, commise d’office pour assister à l’exécution à l’époque, sur les derniers moments du condamné.

« On ouvre la porte de la cellule. J’entends dire que le condamné sommeillait, mais ne dormait pas. On le "prépare". C’est assez long, car il a une jambe artificielle et il faut la lui placer. Nous attendons. Personne ne parle. Ce silence, et la docilité apparente du condamné, soulagent, je crois, les assistants. On n’aurait pas aimé entendre des cris ou des protestations. Le cortège se reforme, et nous refaisons le chemin en sens inverse. Les couvertures, à terre, sont un peu déplacées, et l’attention est moins grande à éviter le bruit des pas.

Le cortège s’arrête auprès d’une des tables. On assied le condamné sur une chaise. Il a les mains entravées derrière le dos par des menottes. Un gardien lui donne une cigarette à bout filtrant. Il commence à fumer sans dire un mot. Il est jeune. Les cheveux très noirs, bien coiffés. Le visage est assez beau, des traits réguliers, mais le teint livide, et des cernes sous les yeux. Il n’a rien d’un débile, ni d’une brute. C’est plutôt un beau garçon. Il fume, et se plaint tout de suite que ses menottes sont trop serrées. Un gardien s’approche et tente de les desserrer. Il se plaint encore. À ce moment, je vois entre les mains du bourreau, qui se tient derrière lui flanqué de ses deux aides, une cordelette.

Pendant un instant, il est question de remplacer les menottes par la cordelette, mais on se contente de lui enlever les menottes, et le bourreau a ce mot horrible et tragique : "Vous voyez, vous êtes libre !…" Ça donne un frisson… Il fume sa cigarette, qui est presque terminée, et on lui en donne une autre. Il a les mains libres et fume lentement. C’est à ce moment que je vois qu’il commence vraiment à réaliser que c’est fini – qu’il ne peut plus échapper –, que c’est là que sa vie, que les instants qui lui restent à vivre dureront tant que durera cette cigarette. »

Djandoubi demandera une deuxième, puis une troisième cigarette, qui lui sera refusée. Il sera alors conduit sur le lieu de son exécution.

« La demande de cette dernière cigarette redonne sa réalité, son "identité" au temps qui vient de s’écouler. On a été patients, on a attendu vingt minutes debout, alors que le condamné, assis, exprime des désirs qu’on a aussitôt satisfaits. On l’avait laissé maître du contenu de ce temps. C’était sa chose. Maintenant, une autre réalité se substitue à ce temps qui lui était donné. On le lui reprend. La dernière cigarette est refusée, et, pour en finir, on le presse de terminer son verre. Il boit la dernière gorgée. Tend le verre au gardien. Aussitôt, l’un des aides du bourreau sort prestement une paire de ciseaux de la poche de sa veste et commence à découper le col de la chemise bleue du condamné. Le bourreau fait signe que l’échancrure n’est pas assez large. Alors, l’aide donne deux grands coups de ciseaux dans le dos de la chemise et, pour simplifier, dénude tout le haut du dos.

Rapidement (avant de découper le col) on lui a lié les mains derrière le dos avec la cordelette. On met le condamné debout. Les gardiens ouvrent une porte dans le couloir. La guillotine apparaît, face à la porte. Presque sans hésiter, je suis les gardiens qui poussent le condamné et j’entre dans la pièce (ou, peut-être, une cour intérieure ?) où se trouve la "machine". À côté, ouvert, un panier en osier brun. Tout va très vite. Le corps est presque jeté à plat ventre mais, à ce moment-là, je me tourne, non par crainte de "flancher", mais par une sorte de pudeur (je ne trouve pas d’autre mot) instinctive, viscérale. »

Robert Badinter, devenu garde des Sceaux en 1981 sous François Mitterrand, témoignera dans Le Monde en 2016 de cette exécution.

« Entre l’exécution d’Hamida Djandoubi et l’abolition de la peine de mort, le 9 octobre 1981, il y a eu de nouvelles condamnations à mort, mais plus aucune exécution. En effet, ces verdicts de mort ont tous été cassés par la chambre criminelle de la Cour de cassation. A l’époque, il n’y avait pas d’appel des arrêts de Cour d’assises. C’était donc le seul moyen de susciter un nouveau procès. J’ai été appelé à défendre ainsi, pendant cette période, cinq accusés qui avaient été condamnés à mort et dont la condamnation avait été cassée. Les cinq fois, la Cour d’assises de renvoi a refusé de prononcer à nouveau la peine de mort. »

Badinter revient sur le débat qui a agité la France en 1980-1981 :

« Ainsi la peine de mort était devenue l’un des grands sujets de la bataille électorale de 1981. François Mitterrand a eu le courage de dire qu’il était abolitionniste. Le président Giscard d’Estaing déclarait qu’il fallait attendre que le sentiment d’insécurité s’apaise. Autant dire qu’on aurait encore la peine de mort aujourd’hui… »

Un point important de cette interview, c’est l’affirmation de l’inutilité – selon Badinter – de la guillotine dans la lutte contre la criminalité.

« À cette époque, l’opinion publique n’était pas du tout favorable à l’abolition…

Le jour du débat sur l’abolition à l’Assemblée nationale, Le Figaro avait fait un sondage : 62 % des personnes interrogées se déclaraient en faveur de la peine de mort, 33 % contre. Pour les crimes "atroces", les opinions favorables atteignaient 73 %. Je savais qu’il fallait attendre une nouvelle génération pour que les esprits changent et que les Français mesurent qu’ils pouvaient vivre sans la guillotine, qui s’est révélée comme dans tous les Etats abolitionnistes inutile dans la lutte contre la criminalité. Il a fallu attendre vingt ans pour que soit commémorée l’abolition, et qu’elle soit considérée comme un honneur pour la gauche. Pour moi, c’est un grand privilège d’avoir servi cette cause en France et de l’avoir vue triompher de mon vivant. »

Aujourd’hui, il n’y a plus de peine de mort, quasiment plus de peine de prison à perpétuité, quant aux peines de sûreté, elles se font rares. Les peines de prison longues sont souvent divisées par deux, et les petites peines, inférieures à deux ans, carrément annulées. L’insécurité a littéralement explosé, qu’elle soit de basse ou de haute intensité.

Sur ce terreau, le nombre d’homicides a lui aussi augmenté (970 en 2020, le nombre le plus élevé depuis 1972). La dissuasion ne fonctionne plus et la peine de mort, qui n’est peut-être pas utile du point de vue de la dissuasion des grands crimes ou des crimes horribles, souvent le fait de psychopathes, était en fait la dernière pierre sur la pyramide des peines. En l’enlevant, c’est tout le système dissuasif qui s’est écroulé. Deux exemples parmi tant d’autres :

 

 

 

 

 

 

La décapitation, pour horrible soit-elle, avait une puissance symbolique que la Justice a volontairement abandonnée. Elle a perdu sa force. En face, la violence n’a plus de retenue dans notre société et Badinter, en tranchant la tête de la dissuasion, a laissé se déchaîner les forces asociales, criminelles et délictuelles.

On le sait, en coupant la tête d’un Roi, la France s’est coupée de ses traditions, de son passé profond, de sa colonne vertébrale catholique et monarchique. De sa force.

Badinter, sur E&R :

 






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104 Commentaires

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  • Fourniret et sa salope de femme sont bien vivants après avoir enlevé violé et massacre 7 jeunes filles...

     

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    • #2518526

      Sept petites filles ou fillettes. Le crime est pire encore.
      La "jeune fille" étant au minimum une adolescente, ou une femme jeune, non pourvue de compagnon, jusqu’à 22-23 ans, environ (de nos jours). Ensuite, c’est une jeune femme.
      La jeune fille, à l’origine, c’est une presque-femme : pubère, mais vierge. Les nouvelles mariées appréciaient qu’on les appelle encore "mademoiselle". Les femmes célibataires, passé 26 ans, appréciaient qu’on leur dise "madame".
      En allemand, le vocable jeune fille (Mädchen) est précédé d’un article ni féminin, ni masculin, mais neutre, comme l’enfant.
      En français, nous distinguons la qualité féminine de cette jeune personne, qui n’est plus un(e) enfant.
      Epstein ou Maxwell corrompait des jeunes filles, Fourniret tuait des enfants.

       
  • #2518537

    "Je savais qu’il fallait attendre une nouvelle génération pour que les esprits changent et que les Français mesurent qu’ils pouvaient vivre sans la guillotine"

    On mesure désormais à quel prix, et les dernières lignes de cet article le montrent.

     

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  • #2518545
    Le 4 août 2020 à 10:31 par La Grèce Antique
    Le 10 septembre 1977, à 4h40, Hamida Djandoubi est guillotiné aux (...)

    Maintenant, c’est la France qui perd la tête...

     

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  • #2518565

    Il est édifiant de voir à quel point les acharnés de la peine de mort pour une poignée d’assassins, détournent leur regard des 500.000 enfants morts en Irak, des 20.000 morts à cause du confinement et de l’interdiction de la Chloroquine, de Macron qui fait passer la distance des pesticides de 50 m à 1 m, des 11 millions de morts annuels de la malbouffe, des 9 millions de gens qui meurent de faim chaque année, car plus le crime est important et vaste, et plus la conscience se refuse à le regarder.
    Les producteurs du tabac assassinent 75.000 crétins en France chaque année, l’État en ses ministres et préfets devrait donc passer par la guillotine ! Couic pour tous ! .

     

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  • #2518656

    Restauration de la peine de mort pour deux types de crime :
    1/ meurtre de moins de 16 ans
    2/ actes de terrorisme entraînant des morts .

     

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    • #2519907

      Et crimes horribles de flagrant délit comme celui de la jeune femme traînée sur plusieurs centaines de mètres.

       
    • #2522738

      J’en ajouterai 4 autres :
      3) meurtre avec violence sur la personne d’une femme ou d’une personne âgée
      4) meurtre sur tout policier (homme ou femme), enseignant, soignant et militaire
      5) actes liés à l’organisation et la direction d’un trafic de drogue
      6) actes liés à l’organisation et la direction de trafic d’êtres humains et de proxénetisme

      J’ajoute que tant que nos politiques, journalistes et législateurs ne subiront pas dans leurs chairs et dans leurs âmes tout ce que nous-mêmes ou nos enfants devons subir tous les jours, les salauds, dépravés et assassins auront la belle vie en France.

       
  • #2518674

    et dire que ce sont les mêmes Francs-Maçons
    à qui leurs aïeuls révolutionnaires de 1789
    qui ont guillotiné à la chaine des milliers d’innocents Français
    Catholiques, royalistes en faisant rouler leurs têtes
    quand celles-ci n’étaient pas plantées sur des pics
    et qui aujourd’hui ont fait abolir la peine de mort
    et qui sont pour la plupart des avocats du diable du type Acquittator
    et des défenseurs des droits de l’homme qui vole, viole et assassine
    et qui pour la plupart sont les pires ennemis de l’intérieur de la France
    que sont la plèbe et la fange de la pire vermine allogène
    que sont ces spécialistes et ces experts du parasitisme et du vampirisme !

     

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  • Moi j aurais remplacé la guillotine par la sulfateuse, à chacun son époque...

     

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  • #2518881

    Je ne connaissais pas cette histoire sordide. si j’étais juré d’assise, j’hésiterais entre la prison à vie (la vraie, pas avec aménagement-de-peine) ou la peine capitale.

    Et que certains anti-peine de mort ne viennent pas me gonfler : vous voudriez ce genre d’individu comme voisin ? Vous me direz qu’on peut commuer la peine en bannissement à vie. Certes, mais alors il faut d’abord des frontières dignes de ce nom. Quant aux erreurs judiciaires....

     

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  • #2519049

    Je ne peux cautionner cette violence, cette sauvagerie, parfois même cette barbarie...
    Mais le français d’origine algérienne que je suis peut parler du racisme, des discriminations à l’embauche, au logement, lors de contrôles innombrables au faciès non motivés, les insultes, sale bicot, sale bougnoule, tu vas finir dans la Seine (époque Parisienne...), dans le Rhône (...époque lyonnaise...), dans la Garonne (...époque toulousaine...), et toujours cet incapacité à accepter l’inacceptable, l’humiliation publique et répétée....
    Que crée cette humiliation quotidienne, ces violences institutionnelles devenues la norme, à l’image, mais dans une moindre mesure, de l’humiliation quotidienne subie par les palestiniens...
    Une bombe à retardement sur laquelle nous sommes assis...
    3ème loi de Newton...
    Toute action entraine une réaction...
    Cette loi concerne les corps physiques en mouvement, mais ne pourrait elle pas s’appliquer aux phénomènes sociaux ?

    Alors tous les policiers ne sont pas indigne de porter l’insigne, mais beaucoup, de plus en plus même, le deviennent, tout comme de plus en plus de jeunes "banlieusards" s’ensauvageonnent...
    Mais à quoi d’autres pouvions-nous nous attendre ?
    50 ans de politique de la Ville...vaste fumisterie...les zones franches où se sont installées des entreprises, bénéficiaires d’allégements de charges et sensées embaucher, ont-elles joué le jeux ?
    Oui, pour faire bosser des femmes de ménages et des agents de sécurité la nuit...
    Les causes de la situation actuelle sont multifactorielles, vouloir les rendre simplistes est trop facile, énumérer les innombrables raisons ici serait trop long...
    Sans me faire l’avocat du diable, beaucoup ici savent que cette ingénierie sociale a été savamment orchestrée par des gens cyniques...À qui profite le crime... ?
    Dans la situation qu’est celle de ces jeunes sans avenir, que feriez-vous ?
    Du trafic et de l’économie souterraine comme tout bon capitaliste d’aujourd’hui...
    Si chaque jour dans une cité entièrement blanche, des petits maghrébins venaient vous demander si vous n’avez pas de produits ? Combien de temps faudrait-il à un plus malin que les autres pour répondre à cette demande ?
    Cette argent est réinjecté dans l’économie, évite l’explosion sociale et double effet kiss cool, les stups (cannabis et herbe) en endorment certains. Concernant la coke, elle est devenue banale et elle ravage désormais toute notre jeunesse...
    Ne tombons pas dans le piège de "guerre civile" ...

     

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    • Je ne peux cautionner cette violence, cette sauvagerie, parfois même cette barbarie...
      Mais le français d’origine algérienne que je suis peut parler du racisme, des discriminations à l’embauche, au logement, lors de contrôles innombrables au faciès non motivés, les insultes, sale bicot, sale bougnoule, tu vas finir dans la Seine (époque Parisienne...), dans le Rhône (...époque lyonnaise...), dans la Garonne (...époque toulousaine...), et toujours cet incapacité à accepter l’inacceptable, l’humiliation publique et répétée....
      Que crée cette humiliation quotidienne, ces violences institutionnelles devenues la norme, à l’image, mais dans une moindre mesure, de l’humiliation quotidienne subie par les palestiniens...
      Une bombe à retardement sur laquelle nous sommes assis...
      3ème loi de Newton...
      Toute action entraine une réaction...
      Cette loi concerne les corps physiques en mouvement, mais ne pourrait elle pas s’appliquer aux phénomènes sociaux ?



      Ben voyons ! Qu’es ce que vous faites chez nous ? , l immigration arabo-islamique est la première action hostile qui entraine la comprehensible reaction raciste des indigènes gaulois .

       
    • #2522747

      @ Camel-Léon :
      Je veux bien essayer de comprendre votre ressentiment, mais vous devez absolument réaliser une chose : vous faites, et j’en suis désolé pour vous, partie de cette immigration qui occasionne trop de problèmes en France, et je ne vois jamais les gens se plaindre des agissements des autres immigrations...

      Le général de Gaulle l’avait déjà très bien dit en son temps : ceux qui se plaignent le plus de racisme en France sont également ceux qui nous causent le plus de soucis !

      Tout est une question d’attitude et de comportement...

       
  • Je suis contre la guillotine,
    car elle incarne la république maconnique mère de tous nos maux.
    Donc, je dis oui à la pendaison.
    C’est sûr qu’au niveau quantité industrielle d’execution sommaire, la guillotine est parfaite, mais au niveau spectacle c’est nul car trop rapide.
    Esthétiquement on peux exposer un pendu un certain temps, et c’est moins salissant que le sang qui gicle d’un étêté.
    Enfin bon, les gouts et les couleurs, s’il faut vraiment en passer par le retour de la guillotine tant pis, tant qu’on sort de la république.
    Plus sérieusement, le seul moyen d’eviter la peine de mort est d’avoir une peine à perpétuité réelle.

     

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    • #2519597

      abolition de la peine de mort ! soit
      mais alors rétablissement du bagne de Cayenne
      avec constructions de prisons à haute sécurité
      sur l’ile du diable pour les condamnés à la prison à perpétué
      avec applications réelles et immédiates des peines incompressibles
      et sans grâce ni réduction de la condamnation à la perpétuité !
      aux bagnards ad vitam aeternam

       
    • #2522749

      Si on ose pas rétablir la peine capitale, alors rétablissons le bagne ! et pas à Cayenne, la taubira serait capable de le faire démonter, mais sur les îles Kerguelenn, avec la pluie, le froid, les vents et la mer glacée !

      Une garantie de non retour...

       
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