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Le machisme tue (à retardement) : Jacqueline Sauvage est morte !

Symbole des violences conjugales ou symbole de l’ingénierie féministe victimaire ? Jacqueline Sauvage est décédée mercredi 29 juillet 2020 à l’âge de 72 ans.

 

Selon la presse, elle est morte à son domicile dans le Loiret, « là où s’est noué le drame conjugal » à l’origine de sa condamnation pour le meurtre (trois coups de fusil dans le dos) de son époux Norbert Marot le 10 septembre 2012. Alors qu’elle encourait trente ans de prison pour homicide volontaire, elle est finalement condamnée le 28 octobre 2014 à dix ans de réclusion criminelle pour meurtre sans préméditation. Elle sera graciée par le président de la République François Hollande le 28 décembre 2016 : elle aura donc passé au total trois ans et un mois derrière les barreaux.

Que ce soit par les arguments de la défense (affirmation de violences et abus sexuels subis par l’accusée et ses filles durant plusieurs décennies) ou par les polémiques autour de la notion de légitime défense en cas de violences conjugales, l’affaire Sauvage a marqué les esprits et a été largement médiatisée.

Pour y voir plus clair et remettre les pendules féministes à l’heure, nous vous proposons de relire notre article Victimisation féministe : l’erreur de Muriel Robin qui héroïse Jacqueline Sauvage du 3 octobre 2018.

 

Victimisation féministe :
l’erreur de Muriel Robin qui héroïse Jacqueline Sauvage

 

« Je pense qu’en tant que femme on ne peut pas rester indifférente devant le sort de cette femme qui aujourd’hui mais déjà à l’époque pour moi représentait toutes les femmes dans la même condition... Une femme sur 10 se confronte à la violence conjugale, 225 000 femmes sont réellement touchées par ça, et ces chiffres affreux, pour lesquels d’ailleurs je vais me battre, nous nous battons, nous allons nous battre, tous ensemble j’espère, c’est 150 femmes par an qui meurent, une tous les trois jours. »

 

Muriel Robin, après son interprétation de Jacqueline Sauvage dans le téléfilm dédié sur TF1, qui a connu un grand succès avec 10 millions de téléspectateurs, est l’invitée de Cyril Hanouna dans Touche pas à mon poste mardi 2 octobre 2018. Elle y déroule la parole du Bien, celles des femmes qui souffrent de la violence des hommes, thème central de la fiction, c’est le cas de le dire, de la première chaîne.

On se demande en passant pourquoi Muriel Robin, lesbienne assumée, joue le rôle de défenseur des femmes battues. Quelle est sa légitimité, vu qu’elle ne vit pas avec un homme et qu’elle n’est pas battue ? Question importante, puisque le téléfilm de TF1 laisse lourdement penser à une injustice faite à Jacqueline Sauvage, lorsqu’elle a été condamnée à 10 ans de prison pour le meurtre de son mari le 10 septembre 2012.

 

Car l’histoire de Jacqueline Sauvage, graciée par François Hollande le 28 décembre 2016, n’est pas aussi noir et blanc. Il y a des zones grises, et même sacrément nébuleuses dans sa propre fiction, celle qu’elle a servie aux jurés lors de son procès. Par deux fois, la justice l’a condamnée, et a confirmé qu’elle avait tué de sang-froid et non en légitime défense, ce qui aurait forgé des circonstances atténuantes pour son crime. Ne nous étonnons pas qu’une comédienne, peu au fait des complexités de la justice et des complexités encore plus grandes de la psychologie humaine, se soit fourvoyée dans une fiction qui induit le téléspectateur en erreur. Mais le féminisme avait besoin d’une victoire, d’une Charlie...

 

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Soutien Sauvage en décembre 2016

 

Toute l’affaire, du procès de Jacqueline Sauvage à la fiction de TF1 en passant par la grâce du président de la République, est une affaire politique sociétale, une victoire du féminisme victimaire sur la vérité. La vérité sort diminuée de cette séquence, et un François Hollande, renseigné par la hiérarchie de la Justice, ne pouvait pas l’ignorer. Mais à ce moment-là, il avait besoin de soigner sa popularité dans le public bien-pensant, qui est aussi sous-pensant. Et les stars, dont Muriel Robin, qui ont écrit à Hollande pour obtenir la libération de la criminelle sont tombées dans le panneau et du féminisme, et de Jacqueline Sauvage.

Ce n’est pas nous qui le disons, mais Frédéric Chevallier, l’avocat général lors du procès – le vrai, pas le bidon avec Muriel Robin – de Jacqueline Sauvage. Voici des extraits de sa tribune dans Le Monde, diffusée le 2 octobre. Mais d’abord, l’introduction du quotidien :

« Mais avant de devenir, dans les médias et maintenant sur écran, ce personnage emblématique des victimes de violences conjugales, Jacqueline Sauvage a été une accusée jugée par deux cours d’assises pour avoir abattu son mari, Norbert Marot, de trois coups de fusil, dans le dos, le 10 septembre 2012. En première instance, après un débat au cours duquel l’accusée et les témoins ont été entendus, où l’accusation et la défense se sont exprimées et ont débattu de leurs arguments publiquement, six jurés citoyens et trois magistrats professionnels ont condamné Jacqueline Sauvage à dix ans d’emprisonnement. En appel devant la cour d’assises de Loir-et-Cher, neuf autres jurés citoyens et trois autres magistrats professionnels ont confirmé ce verdict, en suivant les réquisitions de l’avocat général, Frédéric Chevallier. Dans la tribune qu’il nous a adressée, “Lettre à Jacqueline Sauvage”, Frédéric Chevallier dresse d’elle un portrait plus complexe... »

« La vérité judiciaire établit que Madame Sauvage est une meurtrière aggravée. Elle encourait perpétuité pour avoir tué son mari. La cour d’assises, après avoir étudié, analysé, évalué l’ensemble de cette affaire l’a déclarée coupable et l’a condamnée à 10 ans. Madame Sauvage était d’accord avec ce verdict. Elle ne voulait pas faire appel. Et puis surgissent deux avocates qui vont faire appel. » (Chevallier à francetvinfo)

Ou l’intrusion du politique dans un fait divers. Cela rappelle le procès Ilan Halimi dans lequel le politique, aiguillonné par les lobbies, a durci les condamnations.

Dans sa lettre au Monde, Chevallier se fait encore plus précis :

« Vous présenter comme soumise et sous l’emprise de ce “tyran” de Norbert, c’était nier totalement votre personnalité dont la réalité ne correspondait plus en rien à ce que vous avez été pendant quarante-sept ans. Je veux vous en parler de ces quarante-sept ans dont d’aucuns, journalistes, hommes et femmes politiques, artistes, intellectuels, de tout bord, de toute tendance se sont emparés sans en connaître la réalité autre que celle faussement véhiculée par ce gigantesque café du commerce que les réseaux sociaux fabriquent et entretiennent à dessein. Pour en faire un enfer.

Voyez-vous, Madame, ce que je trouve le plus regrettable et le plus dommageable dans cette construction des réseaux qui est devenue la vérité du « peuple virtuel » au détriment de la vérité judiciaire, c’est que cette construction nie et détruit tout ce que vous avez bâti, tout ce que vous avez conçu, tout ce que vous avez créé. Jusqu’à vous faire victime de faits de viol dont vous ne vous êtes jamais plainte. »

Le magistrat, qui se fonde sur une connaissance profonde des faits et de la vie de la criminelle, en vient à retoquer la « légitime défense » de Jacqueline :

« Je n’invente définitivement rien, Madame, lorsque j’évoque enfin la rencontre de Norbert avec Laurence. Cette relation extraconjugale, était-ce pour vous l’occasion de partir, de laisser votre mari aux bras d’une autre ? Manifestement non. Cette dame, vous l’avez harcelée, menacée verbalement et physiquement, frappée et violentée. Je ne vous juge pas pour ce comportement. Je m’interroge simplement pour comprendre ce qui vous a guidée dans cette attitude. Je crois avoir compris. Votre détermination. Madame Sauvage, en 1991, vingt-six ans après votre pari et votre choix de vie de vous lier avec Norbert Marot, vos conditions de vie, celles que vous vous êtes construites, celles que vous avez fondées, celle que vous avez bâtie, vos conditions de vie familiales, professionnelles, sociales vous ont paru devoir être protégées, peut-être avant votre propre personne. Moderne, vous avez pardonné à Norbert. Déterminée, vous ne l’avez pas laissé aux bras d’une autre. Alors, non, cet “enfer depuis quarante-sept ans” véhiculé, relayé, craché, asséné, cette image, ce slogan prompt à enflammer celles et ceux qui l’entretiennent sans savoir, sans même vouloir savoir, il n’est pas celui que la vérité judiciaire de votre histoire établit, Madame. Il n’est pas celui qui vous aurait permis de bénéficier d’un état de légitime défense, dans un acte proportionné, nécessaire et immédiat de riposte à une agression de votre mari. »

L’avocat général, complètement à contre-courant des people qui commandent leurs armées de réserve sur les réseaux sociaux et qui ne connaissaient de l’affaire que son écume médiatique, remet en question les « violences » que Jacqueline Sauvage aurait subies :

« Réduire votre funeste décision à un geste de survie, c’est nier le sens même de votre vie déterminée. Je vous l’ai dit en requérant devant vos juges : Norbert Marot, vous aurait-il frappée une fois, ne serait-ce qu’une seule fois, qu’il serait condamnable et qu’il aurait été condamné. “Quarante-sept ans de violence” : qu’en savons-nous Madame ? Je vous ai crue lorsque vous avez, à plusieurs reprises lors de l’instruction préparatoire, dit que votre mari se montrait violent à votre égard “une fois par mois” puis “plusieurs fois par mois à partir du début de l’année 2012” ; je vous ai encore crue lorsque, vous vous souvenez, je vous ai demandé lors des débats devant la cour si vos deux admissions au centre hospitalier d’Amilly le 25 mai 2005 et le 17 décembre 2007 étaient en rapport avec ces violences alléguées : vous m’aviez répondu “non”.
Alors que reste-t-il de ces violences et de leur existence ? Ce que vous nous en dites, ce que vos filles nous en disent, ce que ce huis clos familial ne peut nous révéler. Il n’y a pas à discuter de cette récurrence macabre ; une fois par jour, une fois par mois, une fois par an ? C’est une fois de trop, une fois inadmissible, une fois que je combats judiciairement tous les jours. Mais ce que vous avez vécu ne peut être cet “enfer” créé par celles et ceux qui vous ont enserrée dans cette image symbole placardée sur leur poitrine “Je suis Jacqueline”. »

On le voit, de Je suis Charlie à Je suis Jacqueline, il n’y a qu’un pas, et une énorme construction médiatique. La première pour raison d’État... profond, la seconde pour raison sociétale : il fallait que le féminisme ait sa martyre... et sa miraculée. Jacqueline, sauvée des griffes d’un patriarcat sanguinaire, est désormais libre. François Hollande, les moutons de Panurge des réseaux sociaux, Hanouna et TF1 ont gagné. La vérité a perdu.
Provisoirement, car la vérité a le temps avec elle.

 

Bonus : la composition grotesque de Muriel Robin

Dans son interview promotionnelle, Muriel Robin revient sur ce rôle « riche » et parle de Jacqueline comme d’une grande copine :

Voir aussi, sur E&R :

 






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46 Commentaires

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  • #2514411
    Le 30 juillet 2020 à 08:20 par Jacouille la fripouille
    Le machisme tue (à retardement) : Jacqueline Sauvage est morte (...)

    j’ai repris des moules une deuxième fois ce soir...je sais j’ai honte
    Mea Culpa !

     

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  • #2514497

    Bientôt au Panthéon.

     

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  • #2514501

    Si il est légitime de tuer quelqu’un, parce que c’est un méchant et un violeur , il n’y a donc pas d’affaire Adama...

    Ah ....on me dit dans l’oreillette que ce sont les mêmes qui soutiennent Adama et Sauvage.

     

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  • #2514518

    Cette affaire illustre toute l’ambiguïté du psychisme des femmes en général (il y a bien entendu des exceptions comme dans toute généralité). Les hommes le savent depuis le début de l’histoire humaine moderne... les femmes sont plus "complexes" que les hommes. Défaut ou qualité, là n’est pas l’essentiel de ces différences difficilement réfutables tant les siècles d’Histoire l’a démontré.

    Bien sûr que la violence envers les femmes est une réalité et elle ne date pas d’hier. C’est même à cet endroit là que réside la contradiction fondamentale des néo féministes qui se gargarisent d’une supposée égalité - au sens équivalence - entre homme et femme ! La différence notoire réside, entre autres, dans la force physique nettement inférieure chez les femmes. Question de masse musculaire, question organique difficilement niable et on le vérifie de plus en plus, avec presque drôlerie, dans les équipes féminines sportives où on a "naturellement" intégré des transexuel(les) ! Les ex-hommes, bien que "transformés" par la chirurgie, baigne toujours dans leurs hormones mâles originelles et malgré les injections d’hormones féminines le fonctionnement têtu du genre d’origine prend le dessus in fine sur l’artifice.

    Le mental féminin sait instinctivement cette différence qui se manifeste par un mental plus complexe, retors diront certains, à juste titre ou non, affirmant que les femmes sont "inconstantes, changeantes et compliquées". A l’inverse d’ailleurs, en pendant à cette perception, les femmes considèrent également que les hommes sont "primaires, directs au sens réactifs, et peu psychologisants". Tout cela est difficilement réfutable sauf pour les déconstructivistes qui inventent des nouvelles lois et normes (le fameux sociétal !) pour tenter de nier ce qu’on appelle le naturel, l’organique.

    Pour ce qui est de Robin et pour comprendre sa position dans cette affaire, il faut savoir que cette comédienne a intériorisé de la part du milieu artistique une immense déception. Robin voulait être reconnue par... le cinéma, bien plus que par le milieu plus restreint du théâtre. Ce dernier ne permet pas vraiment d’obtenir une reconnaissance populaire. Tous les comédiens le savent et tous ceux qui rêvent de notoriété font tout pour être vus à la télé (souvent par le biais du "comique" à sketches) afin de passer plus rapidement au cinéma.

    (suite de ce commentaire dans second post ;-)

     

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  • #2514549

    Partie 2 du précédent commentaire :

    Robin l’a confié plusieurs fois dans les médias et dans son livre autobiographique sorti il y a deux ans.

    Elle voulait, pensait, croyait que sa réussite scénique d’humoriste lui ouvrirait les portes du monde plus "glamour" et mieux rémunérateur du cinéma. Il n’en fut rien et il est exact que pour des raisons d’image et de symbole le cinéma ne l’a effectivement pas vraiment acceptée.

    Robin a donc tenté d’être reconnue - ce qui signifie presque toujours "être aimé" ! - par le biais des "causes féministes". Et l’on remarquera facilement que presque tous les films dans lesquels elle a malgré tout été employée lui ont confié des rôles à cause féministe.

    Bien qu’homosexuelle depuis toujours, Robin a souvent exprimé dans les médias son autre espoir de finir quand même sa vie avec un homme. Mais là encore, les choses ne sont pas si simples à changer. L’homosexualité se construit très tôt dans la petite enfance, c’est la raison pour laquelle il est particulièrement difficile de changer la pulsion affective, qui est bien plus puissante que toute volonté intellectuelle fut-elle totalement sincère et souhaitée.

    Robin a fini par assumer son homosexualité, ce en quoi elle a eut raison, et par obtenir cette fichue notoriété en devenant, selon les occasions, porte-parole des causes féministes. Fourest est dans la même posture lorsqu’elle affirme se battre aussi pour la cause des femmes.

    Pour Robin, le parti pris féministe sert de voie vers cette notoriété tant voulue et pour Fourest il est le moyen de se venger des hommes. Chez Fourest, l’objet de haine qui représente toute sa lutte intime fut Ramadan.

    Ces femmes ont tout simplement un réel problème très girardien : la fonction du bouc émissaire est tenue par les hommes. Si le combat des femmes contre la violence qui leur est faite est nécessaire (je pense, entre autres, aux viols systématiques dans toutes les guerres) ces deux-là ne sont pas honnêtes envers elles-mêmes. Au lieu d’assumer les causes intimes de leur combat, elles se fabriquent tout simplement des masques, des postures de bien-pensance et de "bonnes causes" en surfant sur la tendance dans nos sociétés renversées qui fait la part belle à toutes les jérémiades féministes.

    Robin et Fourest sont tout simplement deux opportunistes.

     

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  • #2514625

    la haine lesbienne contre le christianisme et le prétendu patriarchat est utilisé comme levier de destruction par le pouvoir dont l’ unique projet est de détruire l’ entièreté de notre civilisation et de notre race !
    pareil avec la haine écologiste, la haine noire africaine (avant c’ était l’ arabe) et la haine sioniste bien entendu...qui est maintenant érigée en loi, en histoire et en cap politique !
    tous ceux qui ont la haine des français et de leur valeurs sont plus que BIENVENU par la république franco-israélienne et peuvent exiger ce qu’ils veulent...même des enfants sur mesure.

     

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  • #2514691

    @ Benichou #2514076

    « Nous savons qui ’’ils’’ sont, ces fameux profiteurs du chaos qui murmurent à l’oreille des femmes, des jeunes et des immigrés, leur conseillant de se révolter respectivement contre le mari, le père et la nation. »

    oui, car les femmes, les jeunes, les immigrés et tant d’autres catégories du cheptel sont pris en main, piégés sous la domination de la « nasse de Sion » devenue leur faux-maris, leur faux-pères, autrement dit l’Ogre séduisant au visage d’agneau en réalité un loup dévorant les énergies, les informations pour les revendre comme des mensonges ... des idéologies chimériques qu’ils entretiennent toujours dans l’inversion accusatoire ...

     

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  • #2514768

    Très sombre cette affaire. Le système judiciaire a quand même pesé et tranché cette sordide affaire dans un État de droit hautement féminisé et ce qui explique sa décadence imminente et fatale.

    Sur le mariage actuel du 21e siècle, je dirai que c’est une mauvaise affaire et perdue d’avance pour tout homme. Comment voulez-vous soutenir un système sociétal qui considère toute femme comme un être parfait, ange et grand enfant puisque considérée victime et irresponsable la plupart du temps ?

    Le mariage est une arnaque légalisée de patrimoines avec son mécanisme de divorce qui atteint des sommets. C’est une bonne affaire pr ceux qui s’en enrichissent.
    Comme tout bon investisseur, je choisis de ne pas placer mes billes ds une affaire dont le risque potentiel d’y laisser sa peau est à plus de 60%.

    Tôt ou tard la vérité du mariage (ou de L’AMOUR = Hypergamie cachée) est mis à nu. La biologie humaine naturelle vient à révéler tout ce qui a été caché par des tonnes de maquillage. La femme vieillit comme du lait et l’homme comme du vin. Ce n’est donc pas à son avantage resté confiner avec une épouse féministe que ce soit. Dans la société actuelle féminisée, la femme est devenue une bombe à retardement (le pire, ce q même votre fille peut le devenir aussi), tôt ou tard après s’être frustrée, elle pétera un câble ds son foyer susceptible de griller la vie sociale de son mari et le laisser à la rue.

    Notre société est devenue si misandre et déséquilibrée que cela va se refléter ds nos systèmes de défense étatiques qui vont de plus en plus se fondre.

    Pour ceux qui ont accepté de courir le risque de ce piège, du mariage ou de ce confinement à deux, ils vont devoir s’armer d’outils de défense. Et si vous êtes tombés sur une comète rare, le genre de femmes en extinction en Occident, et bien, je vous félicite et vs dis bonne chance puisq le risque n’est pas nulle, non plus ! ????

    Bref, lorsque l’on préfère un système de justiciers sur les réseaux sociaux au système judiciaire, c’est qu’on a choisi des raccourcis et chemins les plus obscures aux conséquences nébuleuses.

     

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  • #2515238
    Le 30 juillet 2020 à 21:14 par Aldébaran
    Le machisme tue (à retardement) : Jacqueline Sauvage est morte (...)

    Pourquoi le vagin et l’anus sont si proches ? Pour qu’on puisse prendre les femmes comme des packs de bière.
    Je défie quiconque de faire cette blague au boulot.

     

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  • #2516704
    Le 1er août 2020 à 16:03 par Guignolerie excessive
    Le machisme tue (à retardement) : Jacqueline Sauvage est morte (...)

    Trois coups de fusil dans le dos, ceci explique pourquoi ,elle s’appelle Jacqueline Sauvage et pas Jacqueline Concorde ou Jacqueline Altruisme

     

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