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Juillet 2010Source : fr.rian.ru
L’Union européenne envisage d’examiner conjointement avec les Six médiateurs pour le dossier nucléaire iranien la proposition de Téhéran visant à intégrer la Turquie et le Brésil aux négociations, a rapporté mardi la porte-parole de la chef de la diplomatie de l’UE, Catherine Ashton, Maja Kocijancic.
"Cette décision ne dépend pas de nous seuls, il faudrait consulter tous les partenaires", a-t-elle indiqué. Le ministre iranien des Affaires étrangères Manouchehr Mottaki a annoncé mi-juillet que sur l’initiative de Téhéran, la Turquie et le Brésil devraient prendre part aux négociations sur le programme nucléaire iranien en plus des Six médiateurs (Russie, USA, Grande-Bretagne, France, Chine et Allemagne). Toutefois, la réponse de l’Occident n’a pas encore été formulée.
Téhéran a adressé lundi au directeur général de l’AIEA Yukiya Amano une lettre attestant le désir des autorités iraniennes de reprendre sans préalables les négociations sur l’échange d’uranium faiblement enrichi contre du combustible pour le réacteur de Téhéran. En mai 2010 l’Iran, le Brésil et la Turquie ont signé un accord au terme duquel Téhéran doit envoyer en Turquie 1.200 kg d’uranium enrichi à 3,5% et recevoir au cours d’une année 120 kg de combustible nucléaire enrichi à 20%.
L’Iran avait auparavant rejeté une offre internationale visant à transformer ses stocks d’uranium faiblement enrichi en combustible, et lancé en février 2010 la production d’uranium enrichi à 20% ce qui avait suscité la préoccupation des grandes puissances qui redoutent que Téhéran, malgré ses démentis, ne cherche en réalité à se doter de l’arme nucléaire.