Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Conférence d’Alain Soral à Genève : débat avec le public

 






Alerter

22 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

Afficher les commentaires précédents
  • #122407
    Le 23 mars 2012 à 09:56 par eremogos
    Conférence d’Alain Soral à Genève : débat avec le public

    Je crois en effet julien que c’est là la question de base au niveau politique, et qui en fait revient à se poser la question de la possibilité du politique. La légitimité du pouvoir tenait théoriquement de ce qu’elle protège et unifie un territoire, mais l’histoire montre que ça ne marche jamais, que tout finit toujours en bain de sang et collusions de puissants contre le peuple. J’en conclue depuis longtemps que la solution politique, morale donc, des conditions de possibilité d’organisation collective du bien commun, n’est possible qu’au sein de tribus à effectif réduit, comme le montre l’ethnologie, et comme cela est complexe à réaliser aujourd’hui, j’en conclue que la politique n’est possible que si chacun reprend sa part de pouvoir allouée à l’état, et en fait quelque chose d’harmonieux, c’est çà dire comprend qu’aucun abus envers autrui ne peut fonder sa singularité sur le long terme, comprend l’interdépendance quantique de toutes choses et êtres, et pose l’individu dans un lien inextricable avec son environnement, hors de son ego, dans une démarche spirituelle donc. J’analyse depuis longtemps les conditions de possibilité d’un sain collectif, et aucune norme, aucune philosophie, aucune morale abstraite n’a de valeur si elle n’est pas fondée par des humains qui l’on en amont déjà intégrée à leur être, ont visité les limites de leurs représentations illusoires. Donc, en quelque sorte, la solution du commun réside dans le transcendement intérieur de ses intérêts propre limités. La singularité restera une illusion, nos idées sur les choses resteront des opinions, tant que nous n’aurons pas intégrer autrui dans notre propre définition personnelle.

     

    Répondre à ce message

    • #122428
      Le Mars 2012 à 10:39 par Julien Gunzinger
      Conférence d’Alain Soral à Genève : débat avec le public

      je partage votre avis sur certains points. une société ne peut être dite libre que si les membres qui la composent disposent à l’échelle locale du maximum de pouvoir. c’est exactement là la doctrine de l’Eglise catholique qui fait du principe de subsidiarité la clé de voûte de tout l’édifice social : tout ce qui peut se résoudre à l’échelle locale doit l’être. reste que tout ne peut pas être résolu à cette échelle, ne serait-ce que la défense d’un territoire face à un ennemi puissant, raison pour laquelle les tribus se sont historiquement associées pour se donner plus de moyens de défense. la Suisse est à ce titre un cas d’école. le génie suisse est d’avoir su conserver, à travers les siècles, l’essentiel de la structure institutionnelle issue de la chrétienté via le principe de subsidiarité qui reconnaît le pouvoir des entités locales. ce qui institue une multitude de contre-pouvoirs ( celui des cantons d’abord) contre toute tentative de captation et de centralisation du pouvoir ( officiellement selon une doctrine jacobine ou officieusement selon le mode opératoire des réseaux maçonniques). de plus avec les institutions comme l’initiative populaire ou le referendum d’autres marges de manoeuvres sont offertes. mais cela n’empêche pas, via le travail de sape idéologique et la puissance de l’argent, à obtenir des citoyens qu’ils consentent également souvent à des choix éminemment favorables au mondialisme ( par exemple les législations sur la famille qui ont détruit la stabilité de la famille traditionnelle, des législations sur l’avortement, des législations sur la drogue etc) reste que le processus de normalisation de la suisse est plus lent en raison de ses institutions héritées du moyen et qui survivent encore largement dans la démocratie directe.

      www.eschaton.ch

       
  • #122409
    Le 23 mars 2012 à 09:59 par eremogos
    Conférence d’Alain Soral à Genève : débat avec le public

    Francky, permet moi de te contredire, mais la démocratie athénienne, c’est des foutaises, ça concernait une caste de vingt mil hommes sur deux cent mil, plus ou moins, une large aristocratie dominée de surcroit par des stratèges élus manipulant ce petit nombre de citoyens grâce à la perverse rhétorique, dans un contexte de débauche sociale proche du notre. Y’a rien à envier à cette époque, il suffit de lire Platon. Le grand problème de notre analyse des grecs, c’est qu’on a un a priori positif à cause du mot démocratie, sans voir le monde dans lequel ce système s’intégrait, un monde en déréliction comme le notre, fondé sur la spéculation économique et l’expropriation des terres des paysans, dans un cosmopolitisme hellénique qu’on pourrait qualifier de mondialiste, matérialiste et techniciste, avec en filigrane un empire en formation qui attendait son heure, Rome, son décalque d’aujourd’hui étant les états-unis.
    Quand on parle de démocratie pour l’époque, il faudrait voir ce qu’il est advenu des peuples qui l’ont fièrement portée, avec la même inconscience que nous d’ailleurs. Ce système les a mené à leur perte, jusqu’à, par exemple, tuer un de leur plus grand sage, Socrate ; il les a conduit dans une irrémédiable division avec des alliances de circonstance et des trahisons permanentes, comme notre chère Europe d’aujourd’hui, dans un athéisme destructeur, une amoralité contagieuse, et pour finir, se faire engloutir par un terrible empire au sang froid, ce qui nous attend, nous les grecs d’aujourd’hui.

     

    Répondre à ce message

    • #122439
      Le Mars 2012 à 10:54 par Julien Gunzinger
      Conférence d’Alain Soral à Genève : débat avec le public

      parfaitement d’accord avec vous, la démocratie athénienne c’est de la foutaise.
      à Athènes jamais le peuple ne gouverna : Platon qualifie la démocratie de «  gouvernement de l’élite avec l’approbation du peuple  » Thucydide parlant de Périclès explique : " il tenait la foule quoique libre, bien en main, et, au lieu de se laisser diriger par elle, il la dirigeait » sous le nom de démocratie «  c’était en fait le premier citoyen qui gouvernait.  »
      Jacqueline de Romilly dans son livre les Problèmes de la Démocratie grecque montre que dès le début les faiblesses inhérentes à la démocratie ont été comprises. elle écrit "Elle ( la démocrtaie) commence sur le plan théorique , avec l’idée que peuple est ignorant, et s’aggrave avec l’expérience qui révèle en lui des passions violentes", il y avait danger que le peuple non seulement se laisse mener comme un caniche par des démagogues, mais que de plus, l’assemblée même du peuple, avec la psychologie de foule qui lui est propre, empêcha toute décision sereine. Il en fut ainsi dans le vote de l’expédition en Sicile fatale à la démocratie Thucydide explique en effet " cet engouement du grand nombre faisait que ceux-là mêmes qui n’approuvaient pas criagnaient, en votant contre, de passer pour mauvais patriote et se tenaient coi. » Et Aristophane enfonce le clou ain«  O démos(…) tu es facile à mener par le nez : tu aimes à être flatté et dupé, toujours écoutant les parleurs bouche bée ; et ton esprit, tout en étant au logis, voyage au loin.  »

       
    • #123916

      Je regrette que lorsqu’une personne découvre la non-infaillibilité de tout outil sociétal humain (car comme sa structure humaine, il est vivant , mouvant , instable de fait) , elle se projette bien trop facilement dans la caricature de celui-ci.
      Même si c’est forme légitime pour pousser plus avant dans le débat et la confrontation d’idées, cela reste une maladresse car le parti pris en découlant n’implique pas que l’on fit une réelle part des choses, une réelle synthèse des acquis propre à chaque différente approche, mais bien que l’on s’arrête alors aux carcans de la polémique. Car au final , après ces analyses , qu’est-on alors en position de proposer ?

      Je pense qu’il est bien de déceler les failles d’un système d’autant qu’en réalité elle portent en elles-mêmes la source des solutions, reste à perfectionner toujours tant que possible celles-ci , car à trop vouloir analyser les défauts d’une charpente qui fera que la maison ne durera pas mille ans mais deux cents , qu’il faudra en plus s’enquérir des fuites du toit et des invasions régulières des rats par la cave (etc etc) : Alors on ne construit plus rien.

      Aucune des inventions ou bien découvertes que les humains ont pu faire n’est parfaite, et toujours il faut les travailler et les retravailler, c’est pourquoi je donne à Chouard le crédit d’essayer, et ce de manière sérieuse.
      Quand bien même l’exemple principal auquel il se réfère a été lui aussi faillible jusqu’à avoir disparu, rien n’empêche de reprendre les travaux et de s’y atteler, améliorer , enrichir , optimiser (je suppose que cela nécessite plus d’efforts et de temps concernant l’optimisation et l’harmonisation de la société humaine que pour améliorer toujours le fonctionnement du fil à couper le beurre, à la vue des paramètres en jeu).

      Le chemin vers notre propre émancipation est sans fin, c’est pourquoi le débat y étant lié le sera de même.

      Mais précieux sont ceux qui travaillent vraiment aux solutions , d’autant qu’ils sont très notablement plus rares que ceux qui travaillent à la critique pourtant pertinente.

       
  • #122427
    Le 23 mars 2012 à 10:35 par Grindsel Tirédunevi
    Conférence d’Alain Soral à Genève : débat avec le public

    Sarkozy est une opération monark, je ne me l’explique pas autrement...

     

    Répondre à ce message

  • #122483

    Excellent !
    Surtout sur les salauds de Science Po... l’autre jour je passais devant la Fac de Sciences Po Poitiers, un troupeau d’étudiants en tenu cravatée étaient sur le point d’entrer dans leur bus ... Jamais dans ma vie je n’ai croisé de jeunes aussi méprisant qui fumant cigare, qui arborant leur manteau sur un costume ’3 pièces parfois" ... J’étais hors du temps, avec une impression bizarre de retour aux années où faire des études était réservé à une élite ! alors qu’aujourd’hui la majorité des gens on minimum Bac+3 ...

    Bonne suite...

     

    Répondre à ce message

    • #124053

      Desole Jean mais tu te trompes, les etudes sont encore un privilege aujourdhui, et plus que jamais...
      certe maintenant tout le monde ou presque va jusqu’au bac puis a la fac, mais ce sont pour des etudes sans debouche ou les jeunes passent 5 ans pour avoir un deug, et peuvent ainsi etre endoctrines pas des syndicats et autres broyeurs de pensee libre...et c’est bien ca le plus terrible. non seulement les jeunes prolots ont moins que jamais acces aux filieres de l’elite (regarde l’origine sociale des eleves de polytechniques aujourdhui compare aux annees 60...), mais en plus, ils auront ete deracines socialement...les jeunes se prennent pour des bourgeois qu’ils ne sont pas, ont du mepris pour leurs parents qui n’ont pas fait d’etude, et n’ont meme pas conscience, comme toi, que leurs etudes ne leur donnent acces a rien.
      C’est un peu comme la theorie que decrivait Aaron Russo et que lui avait appris Nick Rockeferller : les combats feministes ont ete finances par les grands financiers pour 1) detruire la cellule familiale et que les enfants soient embrigades des leur plus jeune age dans les ecoles vantant "les droits de l’homme"et 2) pour que les femmes aient un salaire, (faible ce qui a fait du dumping social sur le salaire des hommes), et donc qu’elles puissent consommer. L’idee de la justice sociale n’etait pas leur objectif.
      Quand on regarde les resultats produits, on peut se demander si l’idee de la democratisation des etudes n’a pas ete faite pour detruire la conscience de classe des enfants de prolot.

       
  • #122595
    Le 23 mars 2012 à 14:49 par Le petit reporter
    Conférence d’Alain Soral à Genève : débat avec le public

    Le Jean Luc Méchancon annonce vouloir , s’il est élu prézident de la ripoublique, se rendre en Algérie présenter ses excuses au peuple algérien et bla…..bla……bla. Démagogie chimiquement pure que tout cela . Que le Méchancon commence par balayer devant sa loge pour le discours(1) raciste, suprémaciste de l’un de ses illustres « frère » qu’ était le sinistre Jules Ferry , affameur du peuple de Paris assiégé en 1870 par les Prussiens (2) et l’un des bourreaux de la Commune de Paris (Il réprime les mouvements populaires du 31 octobre 1870 et du 22 janvier 1871).

    Notes : (1) Races supérieures et races inférieures.

    " Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! Il faut dire ouvertement que les races supérieures ont un droit sur les races inférieures. (...) Je répète qu’il y a pour les races supérieures un droit, parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures.(...) ». (Débats parlementaires, 28 juillet 1885).
    ** Petit rappel au Méchancon : lors des manifestations en faveur du Tibet, au printemps 2008, on a vu les représentants du républicanisme français (le sénateur Mélenchon en tête), fustiger les manifestants. Ceux-ci nous ont expliqué que, le Tibet étant un pays moyen-âgeux, il était tout à fait naturel que les Chinois l’envahissent et le dirigent.

    (2) Jules Ferry était préfet de la Seine, puis maire de Paris. Les Parisiens le surnomment " Ferry Famine ". Dès 1871, Karl Marx l’avait repéré, et trace de lui un portrait en quelques lignes, dans "La guerre civile en France" : « Jules Ferry, avocat sans le sou avant le 4 Septembre, réussit comme de Paris pendant le siège, à tirer par escroquerie une fortune de la famine. Le jour où il aurait à rendre compte de sa mauvaise administration serait celui aussi de sa condamnation ».
    Source : http://www.contreculture.org/AG%20F...

     

    Répondre à ce message

  • #122642
    Le 23 mars 2012 à 16:26 par chahb Mohamed Toumert
    Conférence d’Alain Soral à Genève : débat avec le public

    Bravo pour ceux debat en public,de plus en plus de musulmans écoute Mr Soral autour de moi.
    Les femministes maghrebine sont les plus difficile a convaincre, je sais pas pourquoi lol.

    Vive Egalité Reconciliation !
    Vive la France !

     

    Répondre à ce message

  • #123786
    Le 24 mars 2012 à 16:41 par petit_poney
    Conférence d’Alain Soral à Genève : débat avec le public

    Le mot "proficit" n’existe pas en Français. De toute façon, on n’est pas prêt d’avoir l’occasion de l’employer...

     

    Répondre à ce message

  • #123853
    Le 24 mars 2012 à 18:56 par petit_poney
    Conférence d’Alain Soral à Genève : débat avec le public

    "Nous Français savons aujourd’hui que l’absolutisme royal n’est pas tout à fait l’absolutisme royal."

    Non.
    Nous on sait, pas "les Français". Les Français ne savent même pas ce qu’est l’absolutisme royal. Même dans la dissidence, il y a Chouard et Jovanovic qui sont encore dans le roman national français. Alors le français moyen n’en parlons pas. Il sait qu’il y a eu la Shoah et que Hitler c’était un méchant. D’ailleurs ce serait plutôt ça notre dernier roman national en date avec lequel il serait juste de comparer plutôt qu’avec des événements d’il y a deux siècles.

    Donc Soral peut parler en Suisse et en France (et encore...) et Faurisson peut parler en Algérie.

    Ca ne m’empêche pas d’être d’accord pour condamner la repentance et ce vicelard de Mélenchon pour le bien de la France et de l’Algérie. Mais je pense qu’on ne vaut pas mieux qu’eux.

     

    Répondre à ce message

  • #124111

    POUR CEUX QUI VEULENT AIDER LE DESTIN ET RENDRE PUBLIQUE LA RANCUNE CONTRE NOTRE DESPOTE C’EST ICI = Pétition Plainte contre M. Nicolas SARKOZY devant la Cour Pénale Internationale (CPI) >>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> http://www.petitionpublique.fr/?pi=P2012N21656 Je ne suis pas du tout fan des pétitions d’habitude mais là je suis trop énervé par les interventions en Côte d’Ivoire et en Libye. 800 000 euros la bombe de 200 kilos ; 800 Smics...ingérence outrancière et dégueulasse. Je mets mon nom en jeu et je me fous si j’ai des pb avec les impôts ou les RG avec ça. Messieurs des RG, réfléchissez bien à ce que vous faites et pour qui vous travaillez. Merci.

     

    Répondre à ce message

  • #128188
    Le 1er avril 2012 à 22:53 par Sindhbad
    Conférence d’Alain Soral à Genève : débat avec le public

    Cher Alain,
    Super débat et exellente première partie ou tu fais intervenir le jeune du public !
    Tu devrais ajouter (min 32) que la France n’est pas uniquement un marche pied géostratégique mais aussi un faire-valoir idéologique compte tenue de l’image dont elle jouit auprès du grand public et notamment sur le plan international.L’empire doit faire capituler l’esprit d’analyse Français que vantait Nietzsche de façon à ce que les décisions prises à Wall-Street bénéficient de cet aura d’avant garde intellectuelle ,de sophistication culturelle et de patrie de la liberté ,de la lumière etc..La mythologie "shoaésque" et dichotomique de la lutte du bien républicain contre l’obscurantisme . En ce sens Sarkozy est effectivement un élément central de ce phénomène de domination.Lors de ses interventions millitaires punitives et de prédation,comme celle de Lybie ou la très imminente guerre d’Iran,l’empire ne veut plus d’une voix diplomatique Française discordante.Le refus de Chirac sur la guerre du golfe ne doit plus se reproduire. La France à historiquement une capacité de conviction diplomatique sur les citoyens de tous les pays. C’est un fait bien connu dans les salons feutrés ou les infectes cancrelats de l’hyperclasse décident,entre une pute et un cigare, de la stratégie à mettre en place pour arriver à leurs fins. Je crois que les thèmes cruciaux sont pour nous :l’encrage et le voyage ;la destruction et la sauvegarde du bien commun ;ce qui est "donné " comme le précise la kabale...
    Ouvrir l’oeil critique du public sur les médias et le cinema est une noble cause.Je suis d’accord avec le constat :l’ensemble des médias ainsi qu’ holywood sont une subtile entreprise de conditionnement et de mystification...Le fait que tu voies dans le phénomène "the Artist" un rapprochement au niveau de l’inconscient collectif ,entre la France et les states, voulu par l’oligarchie, me parait très cohèrent.Cette écriture des consciences et des événements (les deux étants liés comme pour le 11/09) doit être mise en lumière ;c’est le principal outil de la domination. Amicalement

     

    Répondre à ce message

Afficher les commentaires précédents