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L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert

« Sommes-nous si mauvais pour ne pas être capables d’enseigner le respect de l’autre !? Il faut sans cesse travailler pour faire de la France un lieu d’intelligence, de partage, de respect, et combattre contre ceux qui ne veulent pas de cela. »

Le grand rabbin de France, Haïm Korsia

 

Nous nous sommes arrêtés, la semaine dernière, sur la stratégie pédagogique de Najat Vallaud-Belkacem quant à l’enseignement tous azimuts de la théorie du genre au sein même des établissements scolaires, primaires et secondaires. L’école maternelle (qui est une composante de l’école primaire) visée également par cette idéologie mortifère, les experts en lobotomies cognitives, les experts en trépanations virtuelles, étant bien écoutés de la Maghrébine élevée ministre et aux grandes oreilles de fennec bien ouvertes, béantes d’obéissance. Dans son éditorial du même numéro (27 novembre), Jérôme Bourbon mettait en exergue la caractéristique essentielle de la « Shoah » (terme extravagant s’il en est), et du phénomène abortif.

Ces deux phénomènes sont, en France en particulier, sacralisés, et possèdent leurs thuriféraires fanatiques, leurs intellectuels, leurs gardes et leurs tribunaux. Deux religions d’État, deux religions obligatoires. Aussi est-il évident qu’une institution comme l’Éducation nationale constitue une sorte de temple ou une espèce d’immense synagogue où ces deux religions créées ex nihilo pour conforter ici une soumission ou un indigénat, là le vrai génocide du peuple blanc, sont enseignées aux élèves de tout l’Hexagone.

Mais il ne s’agit pas d’un banal enseignement calibré, standard. Il est question ici d’un véritable bourrage de crâne dont les bourreaux en fonction se fichent de la réelle capacité d’absorption du cortex infantile. Ou plutôt ne s’inquiètent que de l’optimisation du message imposé (produit-il l’effet escompté ?) et non des conséquences morbides qu’elles produisent systématiquement sur l’esprit de nos chères têtes blondes.

Flashback : lorsque j’étais à la fin du CM1, mon instituteur au visage triste et flottant exhorta la classe à lire durant les grandes vacances un livre qu’il présenta alors comme un texte magnifique, Le Sac de billes de Joseph Joffo… L’année suivante, l’institutrice de CM2 évoqua en cours le fameux Journal d’Anne Frank ; et en 6e, notre professeur de français au nez saillant nous demanda de le lire. J’ai vu les ravages de cet « enseignement » sur les petites cervelles rabougries des fillettes de ma génération qui devenaient toujours plus bêtes, toujours plus « dindes » au fur et à mesure de l’instillation du poison dans leur tête.

 

Un devoir de mémoire éprouvant

À une époque où SOS Racisme (organisme piloté par des Juifs) était à son firmament médiatique, ces historiettes de Juifs apeurés provoquèrent un effet nerveux des plus détestables chez ces jeunes personnes. Quant à moi, loin de connaître alors la vérité sur ces thèses, je jouissais déjà, cependant, d’un caractère particulier me faisant abhorrer la pleurniche de salon. Je me demandais également à quoi pouvait bien servir cette entreprise consistant à vouloir nous faire pleurer à travers l’histoire de gamins un peu trop innocents à mes yeux. En outre, personne ne nous demandait d’accorder une pensée pour nos Poilus, de verser une larmiche pour nos soldats torturés par les immondes Rouges d’Indochine. Plus fort, les comédiens qui venaient parler de « l’Indicible » insistaient férocement sur l’idée qu’il fallait avoir de la compassion, plus de compassion pour les petits enfants à l’étoile jaune. Davantage de compassion qu’envers n’importe qui d’autre, à cause, évidemment, de l’insondable et de l’inexprimable vendu à leur sauce « pleurniche ».

Aujourd’hui, j’analyse en entomologiste méticuleux les effets de cette propagande sur les adultes de ma génération, et j’observe ce joug lourd et énorme qui écrase leurs épaules et qui les maintient, et les maintiendra, dans le sillon du prêt-à-penser jusqu’à leur dernier soupir de conformisme. Je vois encore dans une désagréable réminiscence Céline Machin-Chose pleurer après son exposé sur Anne Frank devant le professeur attendri ; petite bourgeoise inconsolable qui découvrait le malheur par le truchement d’un livre de propagande… Une remembrance désagréable et finalement triste. Cette adolescente a été manipulée comme des millions d’entre elles pour le profit d’une religion, d’une communauté, et d’une idéologie particulière.

 

Le Petit Garçon étoile ou la Shoah pour la maternelle

Et puis, grâce à la pleurniche « holocaustique », que représentera plus tard le bébé qu’elle avortera à côté d’Anne Frank, cet abcès d’angoisse ? Elle se lamentera toujours pour Anne Frank, même après avoir fait mixer son enfant avant qu’il soit jeté dans un sac-poubelle. Anne Frank, elle ne l’oubliera pas, car c’est aussi son histoire, l’histoire de son enfance, de son adolescence. « Anne Franck, elle m’a construit… Un moment fort de ma vie, snif… » Nous comprenons bien, après, malheureusement, les manipulateurs d’esprits qui nous servent d’élites, que la jeunesse, la verdeur de la cible des mémorialistes shoahtiques, est un atout pour eux. Plus l’enfant est jeune, donc sensible, plus le venin de « l’Indicible » produit son effet en le traumatisant durablement. Et quel troupeau réuni grâce à l’industrie concentrationnaire gérée par l’Éducation nationale !

Plus puissante que la petite lucarne, l’école à ciel ouvert, là où les transmetteurs de l’inénarrable « Mémoire » postillonnent du haut de leur estrade sur nos enfants candides. Ces conteurs de l’Indicible ont carte blanche et entrent dans les établissements publics comme dans un moulin. L’administration ne peut rien leur refuser. La force de la Mémoire (avec une prononciation tremblotante obligatoire) est incoercible. Aussi nos « exterminationnistes » dégoulinants n’ont-ils qu’un seul souci : comment profiter de cette liberté totale, comment malaxer le plus efficacement possible les cervelles roses ? L’ivresse de toutes les possibilités est l’unique danger de leur entreprise diabolique ! Ils doivent savoir se réfréner, se calmer, contrôler leur gigantesque pouvoir propagandiste. Et en effet, force est de constater que leur travail traumatique va crescendo, sans à-coup, s’intensifiant progressivement en quantité comme en qualité. Les voyages à Auschwitz se multiplient, les photos du portrait d’Anne Frank s’agrandissent dans les manuels scolaires chaque année un peu plus. Ou l’extension du domaine de la Shoah par son étirement incessant.

Les témoignages se diversifient, les plus petits gamins sont « sensibilisés » à « leur » « holocauste » et les tout petits, les plus jeunes enfants, désormais, sont « invités » à réfléchir sur « la plus grande méchanceté de tous les temps et pour l’éternité » ! Nous devons ainsi à Rachel Hausfater et à Olivier Latyk un petit ouvrage qui vient de bouleverser les journaleux, Le Petit Garçon étoile. Étoilé, vous l’aurez compris, avec l’étoile jaune, celle de l’enfant juif stigmatisé durant les heures les plus sombres de notre histoire. Le magazine bien nommé Actualité juive a recensé le petit livre à sa manière.

« Comment expliquer la Shoah aux enfants ? Rachel Hausfater et Olivier Latyk nous proposent un album magnifique, usant d’un langage métaphorique et de superbes illustrations, pour faire comprendre ce que fut la Shoah aux plus petits. Les parents – mais aussi les enseignants – doivent l’acquérir au plus vite et mener des lectures commentées avec les enfants. »

Au plus vite ! Immédiatement ! C’est compris !

« Il est évidemment très difficile de réaliser un album sur la Shoah qui puisse s’adresser aux enfants. Il faut à la fois donner à voir l’indicible par le texte et l’image sans que cela traumatise les petits lecteurs ; pourtant, il est également impératif de ne pas être approximatif et de ne pas contourner la vérité. Le Petit Garçon étoile réunit toutes ces qualités d’une façon magistrale. […] Le récit est court, alimenté par des images qui entrent en parfaite résonance avec les mots. À l’aide de phrases ciselées, la Shoah est abordée par la métaphore : les Juifs sont des étoiles ; les nazis sont des “chasseurs d’étoiles”. »

Et nos Juifs de conclure :

« L’objectif des auteurs est en effet moins de raconter que de faire “sentir ou ressentir” les faits. Le pari est tenu d’une façon incroyable. Un album émouvant et pédagogique qui doit néanmoins être lu par tous. »

Un livre bénéficiant d’une si bonne critique a, évidemment, un juste prix, soit 14 euros pour 32 petites pages. Pas grave, c’est l’État (ses bibliothèques et ses écoles maternelles) qui paie.

 

Les plus petits littéralement hypnotisés

L’avenir proche est parfaitement lisible. Ce livre sera bientôt présent dans toutes les écoles maternelles et peut-être sous forme d’extraits divers dans les classes de CP pour l’apprentissage de la lecture, comme ceux à caractère « antiraciste » (en fait violemment antiblanc) qui abrutissent nos enfants pour la plus grande gloriole des allogènes. Bref, dans un premier temps, nos enfants baigneront dans une nouvelle fange culpabilisatrice à des fins d’imprégnation idéologique subconsciente. Dans un second temps, l’initiation officielle à la Mémoire de l’Indicible sera instituée d’une manière relativement discrète au sein des plus petites classes : l’enseignement sera bien sûr métaphorique et donc sans prise pour les parents frustes, frustes mais qui seraient susceptibles de critiquer une telle entreprise si elle était pratiquée d’une manière non métaphorique.

Rappelons, comme le précise d’une manière magistrale le Mémorial de la Shoah, que « les programmes officiels prévoient que la Shoah soit abordée en classe dès l’école élémentaire, puis approfondie à différents stades du parcours secondaire général, technologique et professionnel ». Dès le CE2, l’enfant doit recevoir sa petite dose de poison. L’intérêt du petit livre qui compare les Juifs à des étoiles est de préparer un apprentissage shoahtique plus précoce et donc plus efficace encore. Et pour les exterminationnistes, tout devient prétexte à l’alourdissement continu de cette propagande, de ce modelage ou remodelage psychologique. L’actualité est lue à travers ce prisme monomaniaque et, par exemple, toute agression commise à l’encontre d’un Israélite (le couple braqué il y a une semaine à Créteil est ainsi devenu martyr de la haine antisémite ambiante selon les médias unanimes) devient obligatoirement l’expression d’un préjugé antisémite. Au nom du fameux « vivre ensemble » et de la lutte contre la violence, les historiettes shoahtiques sont donc légitimées par nos pédagogues verruqueux.

 

Les « mémorialistes » font leur cinéma

Le film Les Héritiers, sorti le 3 décembre dernier, résume en définitive toute la niaiserie de cette idéologie de la pleurniche qui paralyse, par la sidération ou par la crainte de paraître irrespectueux envers la chose sacralisée, l’ensemble des commentateurs et des acteurs de la Kulture. Ce film est un symbole d’une idéologie qui rend bête, et renvoie aux réminiscences de ma Céline d’antan qui pleurait irrationnellement durant son exposé sur la « déportation-extermination » vécue par Anne Frank.

Cette idéologie de la Mémoire, loin de rendre gentillets les grands noirs et petites beurettes qui hantent les lycées républicains, abrutit nos enfants blancs, les affaiblit, altère leur caractère. Nous voyons dans cet exercice « mémoriel » un acte de barbarie commis à l’encontre d’enfants innocents qui n’ont pas les moyens de relativiser les métaphores sanglantes, funestes et gores balancées par des éducateurs conformistes payés par une république de vauriens.

Cette idéologie sent la mort, en effet, mais pas celle de millions de Juifs, elle pue le trépas de notre nation et de notre peuple d’ores et déjà moribond. L’accroche emblématique que l’on peut lire sur l’affiche du film Les Héritiers qui révulsera tout Français sain est une ultime provocation :

« En comprenant l’Histoire (avec un H majuscule), ils vont forger la leur. »

Immanquablement, notre Céline aux yeux mouillés réapparaît dans un épouvantable flashback et ses mots d’adolescente souillée résonnent une nouvelle fois dans ce cauchemar : « Cette histoire m’a construite ; elle m’a fait grandir… » « Pauvre laideron ! » crie-t-on pour répondre à ce spectre : cette histoire t’a rendue encore plus stupide que tu ne l’étais auparavant ! Mais elle n’a pas seulement pour effet de rendre les fillettes et les jeunes pubères idiotes, elle influe sur le comportement des jeunes garçons en formation en leur brisant les ailes ; elle bride le cerveau du patriote en gestation, elle introduit en lui d’une manière insidieuse le virus tenace de la culpabilité et de l’ethnomasochisme. Les Héritiers montrent à ce propos, d’une manière caricaturale, le processus cognitif de soumission envers la « grosse pleurniche ». Il constitue en cela, pour les pédagogues à plat ventre, une sortie scolaire idéale, c’est-à-dire répugnante à souhait.

 

Par François-Xavier Rochette

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39 Commentaires

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  • #1061673
    Le 17 décembre 2014 à 12:06 par redsniper06
    L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert

    L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert où les rats sionards qui pullulent en nombre viennent transmettre les germes infectieux de l’imposture et du bourrage de crâne à l’école de nos enfants !!!.

     

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    • #1062530
      Le Décembre 2014 à 07:44 par Leïla
      L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert

      Je prend bien garde quand mes enfants rentrent de l’école, qu’ils n’ont surtout pas "digérés" leur leçon d’histoire, ils me répondent :"oui maman , on sait, mais on veut des bonnes notes, on apprend et après on oublie.

       
  • #1062741
    Le 18 décembre 2014 à 13:22 par Eldoc
    L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert

    Excellent article. Bravo et merci.

    C’est tout cela qui est nauséabond.

    La mémoire brûle les ailes de la conscience, en l’occurrence la conscience de la responsabilité de ceux qui ont financé et récolté les fruits des boucheries des guerres mondiales, ceux-ci jamais évoqués car tout se joue autour du devoir de mémoire, qu’il s’agisse des uns ou des autres. Jouer sur l’émotion plutôt que la réflexion est une technique de contrôle de masse bien connue. Or il est parfaitement possible de ne pas oublier nos martyrs (et je parle bien des hommes et femmes de France sacrifiés) tout en gardant de l’objectivité, celle-ci automatiquement rejetée par les créanciers de la mémoire.
    Puisque tout le monde veut se prêter à la mémoire, avec une forte prédominance communautaire accusatoire et profiteuse, pourquoi ne jamais évoquer les Malgré-Nous ? Pourquoi avoir mis 68 ans pour les "reconnaitre" et ne jamais les avoir indemnisés (indemnisation prévue par la Fondation Entente et non l’État comme pour certain..., de 1387€) ?!
    Y a-t-il compétition victimaire ? C’est moi qui a le plus souffert, pas toi (dit le juif)... On a tous perdu une branche de l’arbre généalogique, et s’en souvenir suffit amplement pour être conscient de nos drames... bref, cette repentance éternelle est inutile, surtout que ce ne sont jamais les responsables qui payent, mais des gens qui n’étaient même pas en l’état de spermatozoïde au moment des faits...

     

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  • #1063451
    Le 19 décembre 2014 à 08:09 par noel
    L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert

    L’enseignement avant 1789

    « Contrairement à ce que l’on veut nous faire croire, l’éducation était bien meilleure sous l’Ancien Régime qu’après la révolution française. Pendant l’exercice de la royauté, l’école était gratuite à Paris comme en province. Ce sont les parlementaires et les philosophes qui ont considéré que « le torrent d’éducation » « entraîne tout », « submerge les chaumières et dépeuple les campagnes ». Ces mêmes philosophes s’élèveront contre le « trop grand nombre de collèges ». Diderot considérait d’ailleurs que les parents avaient tort d’envoyer leurs enfants à l’école pour apprendre le latin plutôt que de manier la charrue ou le marteau…

    L’Ancien Régime apparaît finalement de bonne augure lorsqu’on se plonge un minimum dans l’histoire de notre pays. La révolution française a accouché de l’obscurantisme. Affirmer l’inverse serait faux. La vérité doit être sue, c’est dans le passé qu’elle se situe. Voici la preuve avec un extrait du livre « légendes révolutionnaires » d’Edmond Biré. »

    http://lafrancechretienne.wordpress.com/

     

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  • #1063614
    Le 19 décembre 2014 à 13:19 par Angello
    L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert

    Personnellement j’étudiais encore la shoah en terminale il y a 4 ans ! Dans un lycée professionnel privé et catholique dans les Vosges, le programme d’histoire reposait essentiellement sur la deuxième guerre mondiale, la classe était lassée étant donné que c’est chaque année au programme (depuis la 6ème pour moi, jamais fait en maternelle ni primaire ), et qu’en général les élèves de lycée pro sont là pour apprendre un métier puisque le lycée " classique " ne leur convient pas. Même le professeur de français, a 8h du matin première heure de cours, nous avait directement enmmené dans la salle vidéo pour un documentaire sur Auschwitz, celui où l’on voit les corps ramassés à la pelleteuse, juste après les tartines du ptit déj’ c’est sympathique, puis nous avions dû faire une sorte de dissertation sur ces images (ceci explique un peu mes fautes de français puisque je l’ai très peu étudié au final).

    Au collège déjà, ma professeur d’histoire s’était énervée pour un jeux concours qui permettait au gagnant de visiter le Struthof (c’est pas loin de chez nous) , car personne voulait y participer (y’a mieux pour passer les vacances). Cette dame était assez hystérique, nous obligeant a souligner avec deux traits rouge ( c’était le drame si par malheur c’était d’une autre couleur ou s’il n’y avait qu’un trait) les définitions de Totalitarisme (toujours allemand ou russe ) Diaspora, Shoah, et surtout Devoir De Mémoire, car, je la cite "pour que cela ne se reproduise plus jamais " (apparemment elle trouvait un potentiel nazi en chacun de nous).

    Je pourrais parler aussi de la "prière" faite a saint Jules Ferry puisque j’habite sa ville natale et mon ancien collège porte son nom, son encensement ici, que nous lui sommes éternellement redevable pour le laïcisme, l’école gratuite et obligatoire, que sans lui nous serions encore des enfants obligés de travailler, aujourd’hui je me demande si ça n’aurait pas été mieux. Je ne connais absolument pas l’Histoire de France comme beaucoup de mes amis, je suis donc obligé de l’apprendre par moi même.

    Nous sortons maintenant de l’école sans savoir de vrai métier, écrivant et parlant un français approximatif, sans notions d’histoire, de mathématiques, et je ne parle même pas de langue étrangère ( le président en est un bel exemple ), voila c’était juste pour apporter mon petit témoignage.

     

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    • #1063718
      Le Décembre 2014 à 15:20 par Sebde
      L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert

      Très révelateur, merçi. ces profs sont vraiment des malades mentaux hystériques.

       
    • #1080437
      Le Janvier 2015 à 07:11 par anonyme
      L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert

      Profs, des malades mentaux ? : Et bien, non, pas forcément aux départs, comme tout le monde, ils sont d’abord des enfants puis se scolarisent, étudient durement et longuement dans le "système obligatoirement" et ensuite ils sont OBLIGES de suivre un programme imposé par les gouvernements. Cela veux dire qu’ils ne font pas ce qu’ils veulent, les chefs d’établissement notent leurs enseignants et font trembler dans les chaumières, je peux vous l’assurer. Ensuite, une inspection vient noter et vérifier évidemment que le programme obligatoire à été enseigné avec les bonnes méthodes préconisées, donc ils ne sont pas des malades mentaux mais des compétences aux ordres des politiques, des inspecteurs, des directeurs, des parents d’élèves ainsi qu’aux élèves désormais alors OUI, quand E.R.ou R.N sera au pouvoir nous pourrons changer aussi chaque année le contenu, la méthode et finalité des programmes à souhait. En attendant les profs bossent avec quantité de chefs et d’ordres à respecter et des critiques permanentes.
      Mais il va falloir aller voter les amis.

       
  • #1063661
    Le 19 décembre 2014 à 14:16 par Anne
    L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert

    J’ai deux fls de 11 et 15 ans.
    Ils tombent systèmatiquement malades et restent à la maison quand il s’agit de visiter Oradour-sur-glanes, ou le musée machin chose de la déport’
    C’est comme ça.
    Snif ?

     

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  • #1063960
    Le 19 décembre 2014 à 20:37 par Matthieu01
    L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert

    La mémoire c’est de la me.de, de l’émotion en noir et blanc avec ralentis et violons, le tout grassement saupoudré de subventions et de moraline.
    C’est l’Histoire qui compte, les faits et la réalité, pas la mémoire, les sentiments et les trucs sucrés qu’on nous déverse dessus par wagon entiers...encore un effet indésirable de la féminisation, mettre en avant des histoires individuelles larmoyantes et mensongères plutôt que la rigueur analytique et la recherche réelle. C’est la dictature des eunuques à mouchoirs...

     

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  • #1064085
    Le 19 décembre 2014 à 23:32 par goy
    L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert

    Rassurons-nous comme on peut ; produire des cancres revient à créer de la sauvagerie.

     

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  • #1066332
    Le 23 décembre 2014 à 00:44 par milaitmichoco
    L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert

    Okay mon fils est en CM2 donc je dois surveiller de près afin de l’empêcher d’aller si jamais il y a une sortie. Ensuite il me reste à lui expliquer les documentaires que j’ai vus afin qu’il raisonne devant la propagande hyperbolique.

     

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  • #1069755
    Le 28 décembre 2014 à 16:50 par marek213
    L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert

    Bonjour à tous,
    Je crois que l’école jusqu’au début des années trente s’appelait "instruction nationale" et non pas "éducation nationale". Que les trotskistes éduquent leurs enfants, pas les notres, nous, on veut qu’ils soient instruits.

     

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  • #1073615
    Le 3 janvier 2015 à 19:01 par graziano67
    L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert

    Livrer les enfants en pâture au culte de la shoa est un crime, car donner toute cette tristesse comme enseignement aux enfants n’a comme résultat que de les plonger dans la tristesse et les rendre coupable de quelque chose dont ils sont innocents.
    Leur foutre sur la gueule cette horreur leur provoquera un choc, une très courte mais intense inconscience qui gravera au fer le sentiment de culpabilité au niveau de l’inconscient.
    Il faut être bien plus que salaud pour planifier une monstruosité de ce type, plan qui nous indique clairement de quel genre de salauds nous avons au pouvoir et aussi de quel côté est la HAINE, LA VRAI HAINE.
    Maudit soient les instigateurs de ce crime, ils veulent programmer les enfants à être triste et coupable.

     

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