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Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

Et si nous nous étions fourvoyés depuis le départ ? Et si le féminisme était tout autre chose qu’un mouvement de libération de la femme ?

Voici trois vidéos qui apportent un éclairage jamais présenté par les médias de masse :

Alain Soral pose une analyse lumineuse :

Cette lecture philosophique de l’idéologie féministe fait l’effet d’une douche froide. Peut-on y échapper ? Les pièces du puzzle s’ajustent si bien.

***

Edward Bernays : "Comment faire fumer les femmes ?"

Difficile à avaler ? Il n’est pas le seul à avoir montré le mécanisme. Normand Baillargeon explique ici comment Bernays s’y est pris pour faire sauter le tabou social qui interdisait aux femmes de fumer en utilisant l’idéologie féministe. En jouant sur la corde sensible du désir de pouvoir féminin, il est parvenu à doubler le potentiel marchand des fabricants de cigarettes.

Deuxième douche froide. En fait, on se plaît à flatter les femmes d’avoir obtenu le droit de vote de haute lutte, mais ce qu’on ne dit jamais c’est que ce droit de vote pour les femmes ne leur aurait jamais été accordé si les vrais dirigeants (la haute finance), n’avaient pas eu l’assurance qu’on pouvait influencer l’opinion à volonté.

***

Consommation, gratification, dominance, asservissement, lutte de pouvoir, compétition, territoire, punition, inhibition, angoisse, motivation, inconscient, autant de concepts que l’idéologie féministe nous a habitués à comprendre sous l’angle de la lutte des sexes, comme s’il s’agissait d’une lutte de classes.

Essayons un autre éclairage. Henri Laborit présente (dans le film Mon oncle d’Amérique) un assemblage cohérent de ces concepts et illustre comment deux rats en cage soumis à un stress commun vont se battre pour rester en santé.

Henri Laborit : fuite, lutte et inhibition de l’action

Troisième douche froide. L’expérience des deux rats en cage soumis à des chocs électriques présente une analogie frappante avec le couple enfermé dans une société marchande soumis à la propagande féministe. En effet, si on pense que les rats sont le couple, que la cage est la société de consommation et que les chocs électriques sont la propagande féministe, l’analogie n’est-elle pas troublante ?

***

Piégés par la promesse de liberté

Nous ne voyons pas que la guerre des sexes est voulue par une société marchande qui en tire profit parce que, pour un temps, nous en avons été bénéficiaires. L’effondrement économique mondial qui se profile actuellement commence à nous ouvrir les yeux.

Toutes les fonctions familiales ont maintenant été étatisées le couple n’existe plus que pour la bagatelle. Le dernier avatar féministe ― la théorie du genre ― est là pour dissoudre jusqu’au fondement même du couple, égalitariser chacun dans une fonction sociale choisie librement mais toujours au service de la société marchande. Quand le choix nous incite entre acheter ceci ou cela, il se pose toujours en terme d’achat. Où est le choix dans une société libre qui a unidimensionnalisé l’humain à la fonction marchande ?

Depuis l’égalitarisme des années 1970, on a poussé la femme à occuper tous les domaines de la vie professionnelle. Pourtant elle éprouve un malaise constant, croissant. Loin de s’arrêter après l’abolition de la discrimination sexiste, les médias ne cessent de rapporter une escalade de revendications. Même après avoir dépassé l’homme dans de nombreux domaines, notamment à l’université, l’insatisfaction est à son comble.

Pourquoi ? Coupée de ses fonctions naturelles, soumises à un battage idéologique permanent pour la maintenir dans le droit chemin de la consommation, on l’a mise dans une cage qu’elle ne voit pas, et soumise à une compétition pipée qui l’oppose à l’homme ― son collaborateur naturel ― transformé en bouc émissaire de ses malaises contre lequel elle ne cesse de combattre. Mille incitatifs excitent sa convoitise à tout moment.

Véritable endoctrinement religieux, elle prie le dieu monétaire par une pratique rituelle de l’horaire laborieux qui l’a complètement asservie en lui faisant croire qu’elle était plus libre que jamais.

Ainsi donc, Soral, Bernays et Laborit nous aident à comprendre comment le féminisme est devenu un mouvement d’asservissement de la femme. L’histoire nous a maintes fois donné l’exemple d’une révolution qui se transforme en piège pour ses protagonistes.

Il n’y a qu’à penser au triste destin de Robespierre et de ses suivants. Et si le cycle de l’histoire se répète, qui sera le Napoléon du XXIe siècle ?

 






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49 Commentaires

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  • #66978
    Le 20 novembre 2011 à 18:11 par Nicolas
    Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

    brillante analyse de notre ami Soral

     

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  • #67066
    Le 20 novembre 2011 à 20:14 par kkps
    Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

    L’expérience menée avec les rats est extremement interessante !
    Je pense qu’elle va au dela du féminisme et permet de comprendre les réactions humaines à de nombreux problèmes.
    Merci pour cette video que je conseille à tout le monde !

     

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  • #67085
    Le 20 novembre 2011 à 20:52 par sholk
    Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

    J’aime pas l’analogie entre les travaux de Laborit et le féminisme. C’ est extrêmement réducteur puisque ce qui est expliqué va bien au-delà du problème du "féminisme"qui n’est qu’une simple facette de la société libérale...
    A vous lire on croirait que tout se réduit au "féminisme"...N’importe quoi...

     

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    • #67182
      Le Novembre 2011 à 00:40 par geronimoladen
      Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

      Pour ceux qui veulent ettendre leurs cultures generale et en l’occurence du statut de la femme en islam :http://youtu.be/Ugx9NA0fw8Y :http://youtu.be/6P8U_zlaWFE

       
    • #67471
      Le Novembre 2011 à 19:56 par Léonidas Durandal
      Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

      Justement et si les choses importantes ne se réduisaient qu’au féminisme ? Si vous travailliez, vous mariez, ayez des enfants, uniquement pour remplir les poches d’un état féministe ?

       
    • #68257
      Le Novembre 2011 à 22:49 par Le Capitan
      Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

      Ce film (mon oncle d’amérique) dont est présenté un extrait ici est effectivement à voir et revoir (parce que dense et intellectuel). H. Laborit est le père des théories du comportement biologique parce qu’il fût brillant chercheur et chiruirgien, il travailla sur les premiers anesthésiants. Il faut ajouter que Resnais (le réalisateur de ce film) à un peu interprété à sa sauce les théories de H.Laborit (voir les suppléments sur le dvd) mais finalement le Prof. accepta de cautionner cette oeuvre, tout en glissant une petite quenelle à propos de la Vendée ! (au début du film)
      H. Laborit fût également jugé trop subversif et critique qu’en à ses conclusions sur la société de consommation, il dénonça le consumérisme galopant, et pour cela il ne reçu pas le prix nobel, pourtant pionnier dans son domaine, il le méritait bien plus que les 2 anglais qui l’année suivante le reçurent pour... leurs travaux sur les anesthésiants.
      >
      je suis bien d’accord avec sholk ...

       
  • #67142
    Le 20 novembre 2011 à 22:47 par MaxC
    Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

    Pour la cigarette et sa promotion médiatique, on a aussi nos cas Français :

    http://www.dailymotion.com/video/x8...

    Ou aussi Louis de Funes qui vantait les mérites du tabac, mais je ne la trouve plus sur le web. Si quelqu’un à un lien, ça m’intéresse. Merci ;)

    Article intéressant et qui montre bien la machine de domination des esprits. Je me souviens qu’étant jeune c’était encore très mal vu une fille avec une cigarette, au même titre que courir les garçons. Les temps changent trop vite, et brutalement c’est évident.

     

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  • #67525
    Le 21 novembre 2011 à 21:02 par Anon
    Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

    Coupée de son naturel ? Mince, j’oubliais que ma place naturelle de femme, absolument pas dictée par une socialisation sexiste, était aux fourneaux avec un marmot en préparation dans l’utérus. D’ailleurs, ça se voit que c’est naturel, j’ai des spatules à la place des mains, pas un seul muscle dans le corps, et un cerveau déficient qui n’est sans doute pas capable de me permettre de passer le Bac.
    Les discriminations sexuelles ne sont pas du tout abolies. D’un point de vue pénal, déjà d’une, il y a encore de nombreuses différences hommes-femmes, certaines en faveur de l’un, certaines en faveur de l’autre (oui, j’ai pas dit "nous les femmes on a tous les problèmes", parce que le féminisme vise l’égalité, et ça passe par une revalorisation des droits des hommes notamment dans la famille, et plus particulièrement niveau garde des enfants.). Suffit d’aller passer un entretien d’embauche hein, y’a des quotas, et des jobs qui n’ont aucunement besoin d’avoir des couilles ou des ovaires pour lesquels l’un des sexes va être discriminé (combien de jobs m’a-t-on refusé parce que j’étais une fille ? Combien de mecs se sont vus dire "non tu seras pas infirmier, c’est un truc de fille" ?). Arrêtez vos salades deux minutes, la société différencie les sexes à mort, et ce pendant toute la vie d’un individu (fringues roses/bleues, études privilégiées ("non tu devrais pas faire des sciences, t’es une fille, fais secrétariat et gestion"), tout ça.
    Concernant les études, je vais vous éclairer deux minutes. Depuis que je suis toute petite, on me dit "il va falloir que tu fasses deux fois plus d’efforts que les garçons, parce qu’ils sont souvent privilégiés dans le monde du travail". Quelle petite fille n’a pas entendu ça de la bouche de ses parents ? Résultat des courses, les filles bossent. Elles sont également plus attentives parce que, hé, nous, quand on est gamines on nous dit de nous calmer dès qu’on bouge. Les ptits mecs eux ils peuvent être hyperactifs, c’est des mecs, "ils ont besoin de se dépenser". Alors non, les filles et les garçons ne sont pas naturellement faits avec une casserole et un ballon de foot greffés au corps. Tout ça ça passe par la socialisation, parce que, allô la terre, on est dans une société sexiste. Qui différencie les individus via leur genre et leur attribue des rôles bien définis. Et que des gens un peu plus logiques que la moyenne (des femmes ET des hommes) veulent que les différences SOCIALES disparaissent.

     

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    • #67674
      Le Novembre 2011 à 00:37 par kkps
      Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

      Franchement je veux pas te faire de mal mais quand on parle de prédisposition naturelle, on parle évidement de la grossesse, pas de la cuisine ou du ménage... Oui tu as un utérus, et si tu tombes enceinte c’est pas le mec qui t’as engrossé qui va avoir un enfant dans le ventre pendant 9 mois. Jusque la, tout me parait parfaitement naturel.
      De part ce fait et les contraintes qui en découlent, les différentes societés humaines ont toujours établis des "rôles" différents pour les hommes et les femmes. Il faut savoir qu’avant les femmes étaient souvent enceinte à partir de leur 14/15 ans, et que la durée de vie était bien plus courte. La possibilité de carrière professionnelle n’était pas vraiment envisagée !
      .
      La société a évolué et forcement la femme ne veut plus la meme place qu’avant et demande plus. Jusque la rien d’anormal selon moi, c’est meme tres bien ! Mais que la femme veuille devenir l’égal de l’homme, je trouve ca débile. Pourquoi ne pas redéfinir de nouveaux roles pour l’homme et la femme sans forcement les mettre en compétition, sans pour autant détruire la famille mononucléaire et sans forcement masculiniser les femmes et féminiser les hommes. Trouver de nouveaux roles pour la femme qui la valorise et qui la rende plus femme, et de nouveaux roles pour l’homme qui le valorise également et qui lui laisse sa virilité.
      .
      Si le féminisme consiste à demander le droit d’être aussi conne que les hommes, alors franchement vous avez completement raté votre évolution. Maintenant les femmes veulent des chip’n dales, veulent coucher un soir et dire au mec "allé merci pour tout et tchao", bref s’acaparer tous les comportement les plus ignobles de la gente masculine. Bravo les femmes, au nom de la liberté vous êtes devenus de vraies connasses.
      .
      Regarde la théorie du genre que l’ONU a mis en place dans l’école française. Maintenant nos enfants vont apprendre dès le plus jeune age qu’il peuvent choisir d’aimer les hommes ou les femmes de manière indifferenciée et qu’ils peuvent se comporter en société autant en hommes qu’en femmes, selon leur désir...
      .
      Et qui fait la promotion de ce nouveau concept ? La télé réalité poubelle, l’ONU, Lady Gaga... Bref que du lourd. Vive la décadence.
      .
      Et ceci n’est pas un message de haine, mais serieusement femmes, reveillez vous. Pas besoin d’etre féministe ou de faire carrière pour être heureuse. Epanouissez vous autrement bordel ! Et gardez votre noblesse de comportement !

       
    • #67702
      Le Novembre 2011 à 02:15 par avrelarmor
      Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

      Bonsoir Anon,
      Il est vrai que la prédominance masculine est un privilège des mammifères (à quelques exceptions près, y compris dans les groupements humains).
      Les sociétés d’insectes sont, elles, quasi-exclusivement féminines et cruellement totalitaires.
      Le socialisme poussé jusque dans ses contradictions profondes.
      (j’ai jamais compris la différence entre un type qui visse des boulons pour la gloire de la Révolution Rouge ou pour Mr Ford)
      Je te conseille humblement de réfléchir à la nuance qui sépare égalité et complémentarité.

       
    • #67723
      Le Novembre 2011 à 05:22 par nononop
      Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

      L’eternel speech féministe est de retour.
      Ouais et alors si les gens veulent éduquer LEURS enfants de cette façon qui va les en empêcher toi ? moi ?
      T’es juste en train de faire une fixation sur une époque révolue il y a de ça allez 10 ans. Allô réveille toi on est en 2011 bientôt 2012, c’est terminé tout ça, les femmes ont autant de considération que les hommes désormais, alors tes salades raconte les à un forum vieux de 15 ans !!!

       
    • #67857
      Le Novembre 2011 à 14:45 par Anon
      Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

      kkps => Ah. Alors apparemment, je devrais renoncer à mon avenir parce que "je peux être heureuse aussi en faisant des gosses". Ok cool. Sauf que non. Je demande une société dans laquelle j’aurais les mêmes choix que les hommes, non pas pour devenir businesswoman ou autre, mais juste pour avoir le choix, pour ne pas avoir cette pression en permanence, "tu es une femme donc il faudrait viser plus bas". Je veux avoir la possibilité d’orienter ma vie dans le sens que j’aurais choisi sans avoir de barrières. La contraception aide déjà, niveau professionnel c’est pas encore ça.
      Oui, il y a des différences biologiques, oui. Jusqu’à preuve du contraire, pas d’utérus, pas de marmot. Sauf que c’est pas pour autant que j’ai pas envie d’avoir une vie digne d’un être humain normal, et donc ne pas être catégorisée comme "pondeuse".
      Et au risque de vous décevoir, je ne suis pas une connasse. Les gens dont vous parlez, oui, "gens", pas hommes ou femmes puisque les deux sexes sont concernés, sont des cons. Ils ne respectent pas les autres. Ce n’est pas du tout une question de couilles ou d’ovaires, mais de respect. Moi j’en ai pour les gens, j’ai une vie sexuelle normale, tandis que des amies et amis enchaînent les coups d’un soir, chose que je n’apprécie pas. Alors oui, certaines filles enchaînent aussi, ce n’est pas se comporter comme des hommes mais comme des salauds/salopes. C’est assimilé à un comportement masculin puisque la femme n’avait pas de réelle propriété sur son corps pendant des siècles.
      Je suis hétérosexuelle, mais tout à fait d’accord avec l’homosexualité. Les gens s’aiment, pourquoi ne pas les laisser faire ? Vaut mieux qu’ils soient heureux avec quelqu’un du même sexe, ou qu’ils se considèrent comme des déviants toute leur vie, culpabilisent de ne pas être "normaux", et finissent par en devenir dingue ? Tu préfèrerais qu’un de tes enfants souffre toute sa vie, ou qu’il soit heureux ?
      @Avrelarmor Les sociétés insectes n’ont pas exactement le même cerveau, hein. Le féminisme c’est pas "aha on va buter tous les hommes", pour ma part je recherche une égalité de traitement homme/femme, qu’on arrête de les catégoriser "toi t’es violent" "toi t’es douce". Le comportement se développe dans une société. Si je répétais à mon potentiel enfant "le ciel est vert, si on te dit le contraire on te ment", tu penses qu’il irait douter de moi ? C’est la même chose quand on répète aux petits garçons et filles la façon dont ils doivent se comporter.

       
    • #67970
      Le Novembre 2011 à 21:34 par kkps
      Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

      Je vois que tu es de bonne volonté et que tu as de bonnes valeurs morales.
      .
      Mais concernant l’homosexualité, il faut que tu comprennes qu’il y en a plusieurs formes. Celle qui est pour moi "naturelle", une sorte de comportement instinctif dès le plus jeune age qui ne fait concevoir le désir qu’avec les gens du meme sexe. Je n’ai rien contre cela.
      Mais il y a aussi des causes sociologiques à l’homosexualité.
      On retrouve plus d’homo dans tel ou tel corps de métier (l’armée, la marine) du au manque de femme.
      Le féminisme est aussi une cause de la montée de l’homosexualité. Soral en parle très bien d’ailleurs.
      .
      Mais le problème majeur est pour moi la mise sur une pied d’égalité de l’homosexualité avec l’hétérosexualité. L’hétérosexualité est le fonctionnement "naturel", alors que l’homosexualité, la pédophilie, la zoophilie, la nécrophilie, etc. sont des déviances, plus ou moins bizarre et plus ou moins acceptées selon les civilisations (les grecs de l’antiquité tolèraient completement l’homosexualité et la pédophilie par exemple).
      .
      Jusqu’à encore peu, c’était la morale chrétienne qui tranchait sur ces sujets. Maintenant, tout est potentiellement acceptable au nom de la "liberté" (merci la franc maçonnerie) et on commence a voir des plédoiries PRO pédophile à la télé avec Maitre LEVY chez taddei par exemple ! Et pourquoi pas ? Si tu acceptes l’homosexualité pourquoi ne tolèrerais tu pas la pédophilie ? Et la zoophilie et tout le reste ! Si les deux parties sont heureux ?
      .
      En ce qui concerne le role de la femme, j’ai dit qu’il fallait définir des rôles NOUVEAUX pour la femme ET l’homme. Alors ne me ressert pas ton discours de l’horreur d’etre une femme au foyer, je n’ai jamais dit ca.
      Par contre si une femme peut s’épanouir intellectuellement, culturellement, financièrement, sexuellement, etc. tout en ayant des "privilèges" pour être mère (et ne pas refuser le role de la nature car c’est injuste, blablabla... comme disent les féministes pures et dures), j’en serais ravi. Cela n’inclut pas la cuisine, la vaisselle ou le ménage bien entendu.
      .
      Selon moi le but est que chacun s’épanouisse, qu’il y ai un environnement favorable à la vie, à l’éducation et à l’amour. Et surtout qu’on ne soit pas obnubilé par notre liberté, le fait de donner la vie et de consacrer la sienne à ses enfants, à sa femme ou à son mari, est souvent bien plus merveilleux que de croire en la jeunesse éternelle. Encore faut-il tomber sur quelqu’un qui a compris tout ca !

       
    • #67992
      Le Novembre 2011 à 22:59 par avrelarmor
      Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

      Bonsoir Anon,
      Le cerveau collectif des sociétés d’insectes est évidemment bien plus développé que le nôtre. Il suffit de constater leurs organisations et leurs facultés d’adaptation.




      "Si je répétais à mon potentiel enfant "le ciel est vert, si on te dit le contraire on te ment", tu penses qu’il irait douter de moi ?"
      S’il ne doute pas rapidement de toi, c’est qu’il est con ou daltonien.




      Personnellement, je me fous pas mal de savoir si quelqu’un est homosexuel ou pas ; ce qui me gonfle ce sont les revendications communautaires, quasiment toujours manipulées, voire orchestrées.
      Toujours dans le même but : éloigner la masse des véritables problèmes pour mieux l’entuber.




      Je te souhaite sincèrement de ne pas te réveiller à 40 piges en te disant : "mais si j’ai un enfant aujourd’hui, j’aurais 60 ans lorsqu’il en aura 20 !". Ben ouais, t’as une horloge dans le ventre, et c’est très bien comme ça.
      Mais manifestement tu t’obstines dans la recherche d’une égalité qui n’existe pas. Je me permets de te renouveler mon conseil : réfléchis à la nuance qui sépare égalité et complémentarité.
      cordialement.
      PS : l’égalité de traitement face à l’exploitant est bien sûr légitime...si on a envie de se faire exploiter...

       
    • #68211
      Le Novembre 2011 à 20:39 par Anon
      Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

      @kkps
      L’homosexualité n’est franchement pas un mal. Okay, un homme une femme, c’est le naturel. Toujours est-il qu’on est 7 milliards sur terre, et que quelques millions de couples qui ne se reproduisent pas, je doute que ça ait une influence pas possible. D’autant plus que les couples homosexuels peuvent (pourraient, selon les pays) adopter des enfants qui auraient alors la chance d’avoir une famille (tant qu’elle est équilibrée et chaleureuse, cn’est pas une question de rôle parental mais de morale des parents) plutôt que d’être en orphelinat.
      La morale religieuse ? Justement, c’est ça le problème. Le message des religions, à la base, il est cool. Soyez heureux, aimez vous les uns les autres, soyez cools avec les autres, tout le monde il est content. Sauf que les textes religieux ont évolué en fonction des besoins de la société, dans une idéologie de contrôle sur les êtres humains. Pour ma part, je ne crois pas en Dieu. Mais s’il existait, je pense qu’il préfèrerait dire "soyez heureux" que "je vais te dire qui tu dois aimer sinon tu vas être torturé pour l’éternité". La peur pour contrôler les foules, c’est très efficace, surtout à des époques où la médecine n’était pas efficace, où la durée de vie était très limitée.
      L’homosexualité a existé de tous temps. Elle n’est pas due à la montée du féminisme, oh non. C’est juste que dans le temps, s’avouer homosexuel était juste l’équivalent d’un "lapidez moi", une invitation à se faire lyncher, une maladie mentale, et j’en passe. C’est pas particulièrement bien accepté maintenant, mais ils peuvent au moins affirmer leur préférence sans se faire tuer.
      Les "privilèges" d’une mère, eh bien, c’est dû à la socialisation. On les considère plus à même de s’occuper des enfants parce que comme on le répète tant, "les filles sont douces", "les hommes violents". Changer ces rôles sociaux, modifier la socialisation sexiste permettrait une revalorisation des droits des hommes vis-à-vis des gosses. C’est également une des raisons pour lesquelles je refuse totalement la théorie des genres. Cadrer les individus dans des rôles définis les privent de libertés et de droits.

      @Avretruc
      Oui, parce que bien sûr, il voit le ciel, il sait directement que c’est "bleu". C’est inné, les couleurs, les noms, oui oui...pour ta gouverne, j’ai 19 ans, le jour où je me réveillerais avec une envie d’avoir des enfants est bien loin. J’en aurais quand j’en aurais envie. Pas par obligation. Perpétuer l’espèce passe après mes envies.

       
    • #68217
      Le Novembre 2011 à 20:55 par Anon
      Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

      @kkps
      (J’avais plus assez de caractères disponibles.)
      Concernant la pédophilie, c’est non. Un enfant n’a pas la maturité physique mais surtout morale pour prétendre avoir une relation avec un adulte. L’enfant ne peut pas être consentant. Y’a une limite officielle, toujours est-il qu’elle devrait être fixée selon les individus puisqu’on acquiert pas tous la maturité de la même façon.
      Bref, l’enfant, jusqu’à un certain âge, est particulièrement "flexible". Les copains fument ? Je vais essayer la clope. Les copains se droguent ? Je vais essayer aussi. On me parle de sexe ? Je vais vouloir essayer aussi. Personnellement, je me suis considérée comme sortie de la période influençable de l’enfance assez tôt, et ai observé mes petits camarades (la sociabilité n’a jamais été mon fort au collège, rapport à un problème de santé, également responsable de cet état d’esprit). C’est bien simple, ils sont tous cons. Mais cons ! Sous couvert de curiosité, ils sont prêts à se mettre dans des situations sérieusement embarrassantes. Rencontrer des pédophiles en est une. D’autant plus que ceux-ci ont un côté bien plus manipulateur que leurs copains-copines. Sous couvert de "pédagogie", d’"apprentissage de la vie", ils s’approprient le corps d’enfants manipulables pour satisfaire leurs propres désirs. Ca n’a rien à voir avec une relation saine et équilibrée, ce ne sera jamais accepté. La manipulation, c’est déjà moche lorsque c’est entre adultes, mais sur un enfant, c’est totalement illégal et doit être systématiquement puni.
      La zoophilie ? Encore faudrait-il que les animaux puissent exprimer leur consentement. Pour certains c’est...relativement visuel, mais dans l’autre sens, non.

       
    • #68231
      Le Novembre 2011 à 21:40 par Marion
      Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

      "C’est juste que dans le temps, s’avouer homosexuel était juste l’équivalent d’un "lapidez moi", une invitation à se faire lyncher, une maladie mentale, et j’en passe. "
      C’était quand, ce temps où on lapidait les homos ? Vous connaissez beaucoup de cas d’homosexuels mis à mort pour cause d’homosexualité ?

       
    • #68235
      Le Novembre 2011 à 21:46 par avrelarmor
      Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

      @ ânnesse,
      finalement, tu as raison, évite de faire des gosses, tu rendras service à tout le monde.

       
    • #68278
      Le Novembre 2011 à 00:05 par kkps
      Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

      @Anon
      .
      Tu es bien naïve ma pauvre ! Je dis ca en toute amitié bien sur :)
      .
      Jack Lang le pédophile :
      "La sexualité puérile est encore un continent interdit, aux découvreurs du XXIe siècle d’en aborder les rivages."
      .
      Cohn Bendit le pédophile :
      "La sexualité d’un gosse c’est absolument fantastique." "Vous savez quand une petite fille de 5 ans commence à vous deshabiller, c’est fantastique."
      .
      Plus tous les autres ! Doustes Blasy, etc...
      .
      Tu ne te rends meme pas compte de qui font les moeurs aujourd’hui. Je sais que la religion n’est pas parfaite et qu’il y a eu beaucoup de problèmes à cause d’elle, mais ce qui nous attend est largement pire.
      .
      Pour le féminisme qui est une des causes de l’augmentation de l’homosexualité, oui lit Soral il l’explique très bien. Ca ne veut pas dire que l’homosexualité n’existait pas avant bien sur !
      .
      Tiens pour te montrer le monde dans lequel on vit :
      .
      http://www.youtube.com/watch?v=bcsB...
      Plus la théorie du gender enseignée maintenant dans les lycées ! Rensigne toi dessus, peut etre que tu vas trouver ca normal qui sait...
      .
      Si tu veux etre prolibertaire, pas de soucis, chacun ses choix ! Mais comprends que certaines personnes (comme moi) on envie d’elever des enfants dans un contexte idéologique "à l’ancienne". Parce que la excuse moi, mais en ce moment, ca part en sucette... !

       
  • #68083
    Le 23 novembre 2011 à 09:14 par nano
    Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

    @MaxC, Muku

    Je ne partage pas les mêmes valeur on dirait,du tout même...Et je ne colle pas de valeurs sur tel ou tel sexe.Les valeurs c’est nous qui nous les collons,on ne naît pas avec alors que l’on dise telle ou telle valeur est masculine/féminine me semble absurde.
    Le divorce,permet de quitter celui ou celle avec le/laquelle on doit passer sa vie,et quand la personne se révèle ne pas être ce que l’on croyait (une imbécile ou un type violent) c’est gênant.après il y a le problème des pensions je vous l’accorde...Le mieux c’est encore de pas se marier ET de passer sa vie ensemble.

    Quand à l’avortement,je suis à 100% pour,c’est leur corps,c’est elles qui en bavent quand elles accouchent,c’est à elles de décider de subir celà ou pas.
    On est les seuls animaux à avoir une telle conscience,en supprimer un futur "individu" alors qu’il n’en à pas et qu’il est de notre propre espèce (ça joue aussi beaucoup pour moi ça...ça me gêne bien plus quand on emmène une bête à l’abattoir) ne me cause pas de problème...

     

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    • #68104
      Le Novembre 2011 à 11:34 par muku
      Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

      Pour partager des valeurs, encore faut-il en avoir.

      1) Le mariage est non seulement un engagement (censément) définitif entre deux individus, mais aussi l’association immuable de deux familles ; c’est pourquoi ce n’est pas une décision à prendre à la légère. En prenant une décision mûrement réfléchie , une peut éviter de se marier avec un imbécile ou un type violent. D’ailleurs la plupart des divorces se font pour des motifs beaucoup plus futiles (baisse de désir sexuel, disputes, difficultés financières...). Un élément capital que vous ne prenez pas en compte d’ailleurs (et c’est dire votre niveau de moralité) ; ce sont les enfants, qui seront privés de vie familiale par les caprices égoïstes de leurs parents (notez que dans 75% des cas le divorce est demandé par la femme).

      2) "C’est leur corps, c’est à elles de décider, le foetus n’est pas encore un individu " : toujours les même arguments faux, égoïstes et cruels ! Ce n’est pas le corps de la femme qui est tué lors de l’avortement, mais celui d’un bébé en devenir. Je vous conseille de regarder la vidéo d’un avortement pour voir la réaction du foetus lorsque son corps est violemment aspiré et se détache de sa tête, vous pourrez alors vous faire une idée de la souffrance endurée par cet être (qui selon vous "n’en est pas un"). Par ailleurs, l’accouchement n’est pas quelque chose que les femmes "subissent", mais le privilège immense que Dieu (ou la nature si vous préférez) leur a accordé de pouvoir donner la vie. Encore selon, vous il est plus gênant de tuer un animal que de tuer un individu "de notre propre espèce"... On aura tout vu !

       
    • #68135
      Le Novembre 2011 à 14:36 par MaxC
      Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

      @Nano

      Quand à l’avortement,je suis à 100% pour,c’est leur corps,c’est elles qui en bavent quand elles accouchent,c’est à elles de décider de subir celà ou pas.

      Oui, c’est bien ce que je te disais, le tout consommable. Réfléchie à cette phrase. Je ne cherche pas à t’imposer quoi que ce soit, je dis juste que la vie n’est pas un produit de consommation.

      On est les seuls animaux à avoir une telle conscience,en supprimer un futur "individu" alors qu’il n’en à pas

      Attention, photographie choquante (âme sensible évitez l’ouvrir le lien) ... Le fœtus d’un bébé avorté à 10 semaines : http://gaelle.hautetfort.com/media/...

      Un futur "individu" qui n’en est pas dis tu. Permet moi d’en douter. Certaines cultures considère l’âge à partir de la procréation, pas la naissance.

      Ceci dit, je ne te juge pas, tu est probablement une bonne personne, je ne te connais pas. Et tu est loin d’être la seule à penser comme ça, tu fait même partie de la majorité.

      Bonne journée.

       
    • #68139
      Le Novembre 2011 à 14:52 par kkps
      Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

      @Muku
      .
      Tout à fait d’accord.
      .
      Je rajouterai que le mariage est un acte à caractère RELIGIEUX et que le mariage civil à la mairie n’est que l’extension du mariage catholique. Jusqu’au beau jour ou une personne athée est arrivée à la mairie en disant "je ne veux pas me marier à l’église, juste à la mairie !". On a créé ce jour la le mariage athée maçonnique républicain qui n’a strictement aucun sens. Soit on suit le dogme religieux et on est monogamme car dieu nous l’a ordonné, soit on suis le dogme maçonnique libertaire et je ne vois pas en quoi se limiter à un seul partenaire sexuel à un sens. En effet, l’un ou l’autre des partenaires choisira bien un jour que sa liberté est entravée par le mariage et qu’il a grand besoin d’aller voir ailleurs !
      Bref le mariage n’est pas une partie de plaisir, la monogammie non plus et sans spiritualité je ne vois pas leurs interets.

       
  • #68097
    Le 23 novembre 2011 à 10:49 par muku
    Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

    La rhétorique débile des féministes sert uniquement à justifier l’individualisme (carriérisme, sexualité débridée, renoncement aux rôles de mère et de maîtresse de maison...), et cela au détriment du dévouement et de l’abnégation nécessaires au bon fonctionnement de la famille.

    Ainsi, les générations d’enfants - élevés par l’éducation nationale, la télévision, la "Nintendo" et les nounous ; nourris au McDo et aux surgelés "Findus" - n’ont aucune notion de solidarité ni aucun attachement à leurs racines. Il me semble que c’est une des causes principales de la spectaculaire crise sociale et culturelle que traverse l’occident "féministisé".

     

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  • #68137
    Le 23 novembre 2011 à 14:39 par nano
    Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

    Déformez pas ce que je dis.
    Ouais,je donne pas de priorité dans les especes et je le maintiens.Y’a pas à se mêler et les mêler à nos valeurs.

    Quand ça nous regarde nous et seulement nous,c’est autre chose.
    C’est nous même que ça regarde et c’est de l’autorégulation consciente (et légale),avec un mal contre un autre,regretable si douleur il y a ,j’en sais rien et auquel cas il faudait effectivement l’empêcher en l’anesthesiant,mais justifié.
    Et en devenir,ça veut dire ce que ça veut dire.

    Euh,non je n’appelle pas ça un privilège que de donner la vie,ni même une malédiction d’ailleurs,ça peut faire peur,ça leur fait mal,et on peut en mourir et c’est les premières concernées,c’est elles qui décident donc.

    Quant-au divorce,j’entends bien ce que vous voulez dire,j’ai pas dit qu’il n’y avait pas de défaut,j’en parlais comme du fait que c’était quasiment interdit et passible d’une réputation de sorcière auparavant et que le fait de ne plus l’être était un progrès.Et,non,les enfants ne sont pas toujours malheureux si l’on fait le nécessaire après un divorce.(encore faut-il le faire)
    Divorcer pour des prétextes futiles est minable,autant ne pas se marier donc,puisqu’en effet c’est toujours des arguments minables qui sont invoqués.

    Je viens de voir qu’il y a marqué "droite des valeurs" en haut...Ca explique beaucoup de chose,je suis venu ici attiré par le titre...

     

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    • #68173
      Le Novembre 2011 à 17:31 par MaxC
      Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

      @nano

      Quant-au divorce,[...],non,les enfants ne sont pas toujours malheureux si l’on fait le nécessaire après un divorce.

      Tout à fait d’accord. En compensant avec beaucoup de matériel (cadeaux) et une sur-protection affective (transfert) qui ne remplacera jamais la stabilité d’une famille composée (vraie maman, vrai papa). Tu sais, j’en ai vu des gamins trimbaler leur sac de sport toutes les deux semaines, des enfants qui ne revoient plus leur père (car la faute n’incombe pas toujours à la mère c’est certain) et la tristesse dans les yeux ne ment pas.

      Toutes les familles recomposées (si tant est qu’elle se recompose des deux côtés) n’ont pas la capacité financière de fournir tout en double. Ça c’est ce que la publicité essaye de nous mettre dans le crâne pour vendre ses monospace.

      Je viens de voir qu’il y a marqué "droite des valeurs" en haut...Ça explique beaucoup de chose,je suis venu ici attiré par le titre...

       :) Je m’en doutais un peu. Mais c’est bien aussi de débattre avec des gens d’opinion différente.

       
    • #68356
      Le Novembre 2011 à 10:12 par muku
      Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

      Je te cite : "supprimer un futur "individu" alors qu’il n’en à pas et qu’il est de notre propre espèce (ça joue aussi beaucoup pour moi ça...ça me gêne bien plus quand on emmène une bête à l’abattoir) ne me cause pas de problème". Je ne déforme rien.

      "c’est de l’autorégulation consciente (...) justifié"
      Et si j’extermine toute ta famille, étant donné que nous appartenons à la même espèce, je peux appeler ça de l’autorégulation consciente. Il ne reste plus qu’à demander la légalisation du meurtre en série, et on sera bon. Et anesthésier le foetus avant de le trucider sauvagement n’enlève rien à la barbarie du geste.

      "c’est elles qui décident donc". Certes, mais à partir du moment où elles sont enceintes, le choix est déjà fait.

      Je ne me reconnais pas dans la distinction illusoire "gauche/droite", mais je pense avoir des valeurs morales : à la différence des moutons individualistes de ton espèce je respecte la vie.

       
  • #68238
    Le 23 novembre 2011 à 22:00 par guignman
    Le féminisme comme mouvement d’asservissement de la femme

    “Même après avoir dépassé l’homme dans de nombreux domaines, notamment à l’université, l’insatisfaction est à son comble.”

    C’est ce que je me tue à répéter dans plusieurs fils mais j’en obtiens de me faire traiter de macho, rétrograde et autres individus archaique. Sauf que ces gens là qui nous traitent de vieux jeu, ne se rendent pas compte qu’ils sont piégés par ce progressisme que la bien pensance a voulu nous faire croire. Or échanger les rôles dans une famille : par exemple père au foyer et mère carriériste n’est ni plus ni moins qu’un néo-totalitarisme.
    C’est ça le problème chez certains inverser les rôles est une forme de progrès mais en réalité c’est de la foutaise.
    De toute façon dans une société de plus en plus individualiste et carriériste, c’est utopique de penser à l’avenir des couples. Surtout si on prend en compte l’explosion des divorces.

    Merci le néo-libéralisme

     

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