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"Le sionisme tire sa puissance des banques anglo-saxonnes"

Entretien avec Aline de Diéguez

Algeriepatriotique.com : Comment qualifieriez-vous la réaction des pays arabes, et de la Ligue qui les regroupe, face aux agressions répétées d’Israël contre le peuple palestinien ?

Aline de Diéguez : Blablabla. Réunionite à effet nul.

AP : Les Israéliens s’apprêtent à voter le 22 janvier prochain, dans le cadre des législatives anticipées décidées par le Likoud. Ce parti présidé par Netanyahou est donné favori par les sondages locaux. Pensez-vous que l’agression contre Ghaza entre dans ce contexte électoral ou visait-elle plutôt à saboter le projet de résolution qui conférerait à la Palestine le statut d’État observateur à l’ONU ?

AdD : Oui, certainement. Benjamin Netanyahou espérait un surcroît de popularité en vue des élections à venir. Il comptait offrir à ses électeurs un plat, dont ils sont friands, de destructions spectaculaires, de ruines fumantes, de cadavres et d’enfants ensanglantés. En dessert, il se serait vanté d’assassinats « ciblés » de redoutables « terroristes ». Apparemment, les images sanguinolentes d’enfants massacrés ont jusqu’à présent représenté un efficace dopant électoral. Il avait peut-être prévu que la « communauté internationale » clamerait comme d’habitude que sa réaction est disproportionnée et qu’on en resterait là, comme d’habitude.

Or, dans un régime qui se dit « démocratique », la ligne d’un gouvernement est, globalement, le reflet du sentiment général des électeurs. La violence de l’armée, acceptée et soutenue par la société israélienne tout entière, n’est donc que le reflet de la violence des sentiments des Israéliens eux-mêmes. En effet, non seulement, et à une immense majorité, la société israélienne applaudit les bombardements de civils, mais elle en redemande, comme le montraient les signatures et les mots doux des fillettes israéliennes sur les missiles qui allaient pulvériser des fillettes libanaises en 2006.

Les emprisonnements arbitraires, les tortures que subissent des milliers de détenus qui croupissent dans leurs geôles – y compris des femmes et des enfants –, les humiliations, les spoliations, les assassinats, loin de provoquer une indignation, ou au moins une empathie naturelle envers des victimes carbonisées par des bombes au phosphore, étaient accueillis par des hourrah et des danses…

Benjamin Netanyahou était donc fondé à tabler sur un gain électoral. De plus, il semble que le héros de « Plomb durci » venait de se débarrasser des accusations de magouilles financières qui ont glissé sur lui sans laisser de traces. Il s’agissait donc de prendre de vitesse un rival qui avait fait ses preuves en matière de barbarie. Un troisième argument était d’obliger un Barack Obama, dont l’animosité à l’égard de Benjamin Netanyahou est notoire, à proclamer publiquement son soutien indéfectible à l’État sioniste et à accuser le Hamas et « toutes les organisations terroriste » d’exercer une « violence injustifiable » contre « le peuple d’Israël », ce que son porte-parole s’est empressé de clamer. Sauf que les nouveaux missiles à plus longue portée de la résistance ont changé la donne.

De plus, cette fois, les images de ce nouveau massacre et des destructions, alors que la reconstruction n’était pas achevée après les dévastations de « Plomb durci » en 2008, ont soulevé une indignation mondiale qu’Israël n’avait pas prévue, si bien que des États hésitants – la France, l’Espagne, la Belgique, entre autres – n’ont pas osé aller contre les sentiments de la majorité de leurs populations. Leur vote positif a provoqué la colère des groupes de pression sionistes habituels.

AP : Les États-Unis soutiennent l’État sioniste et le protègent envers et contre tous. Comment expliquez-vous ce soutien acharné ? Est-ce seulement une affaire de lobby sioniste ou y a-t-il des raisons inconnues ?

AdD : J’ai traité ce sujet en détail dans mon dernier texte. Les lobbies sionistes sont certes nombreux et puissants aux États-Unis et il existe également un courant plus nombreux encore, même s’ils sont moins fortunés, de protestants fondamentalistes, plus virulents et plus fanatiques que les juifs et qui soutiennent l’État sioniste pour des motifs théologiques. Ils sont appelés « chrétiens sionistes ». Ils professent que la judaïsation de toute la Palestine est une étape nécessaire avant le retour du Messie, lequel triomphera définitivement du mal sur la terre et convertira les juifs au christianisme. On devine que cette dernière perspective est loin de plaire aux Israéliens mais, en attendant, ce soutien bruyant est précieux.

Mais il s’agit là de la partie émergée de l’iceberg. C’est dans les grandes banques anglo-saxonnes et les puissantes multinationales d’outre-Atlantique qu’il faut chercher la source jaillissante de ce qui devint le puissant fleuve sioniste. C’est grâce à une manne financière, quasiment sans limites, que cette idéologie messianico-colonialiste a trouvé la force de concrétiser son rêve. Des hommes comme le rabbin Stephen S. Wise, premier président du congrès juif américain, puis mondial ou le colonel House, évoqué ci-dessus et éminence grise farouchement pro-sioniste du président Woodrow Wilson, ont joué un rôle déterminant dans la concrétisation de ce fantasme à partir du début du XXe siècle, puis durant les préparatifs des deux guerres mondiales. D’ailleurs, dans son gros ouvrage intitulé Les Juifs, le monde et l’argent, Jacques Attali se glorifie de la puissance que les institutions bancaires ont donnée et continuent de donner à ses coreligionnaires.

Certes, le rêve sioniste d’inspiration proprement biblique a germé dans les plaines de Russie, d’Ukraine et de Pologne et y a été préparé de longue main. Cependant, c’est grâce à la fabuleuse manne financière de groupes puissamment organisés et agissant dans les coulisses des pouvoirs politiques, et qui sont parvenus à tordre, dès l’origine, la politique de l’Angleterre et des États-Unis dans le sens des intérêts sionistes, que cette idéologie a pu se concrétiser. Les intérêts de l’idéologie sioniste et ceux de l’empire américain naissant ont donc, dans les débuts, semblé coïncider parfaitement.

Les groupes financiers, économiques et médiatiques qui venaient de se constituer outre-Atlantique grâce à des méthodes qu’on peut qualifier de mafieuses – leurs richissimes propriétaires sont désormais désignés sous le nom de « barons voleurs » – étaient, pour un très grand nombre d’entre eux, entre les mains de mouvements favorables à l’idéologie sioniste quand ils n’en étaient pas des membres agissants. Ils ont accompagné et favorisé la montée en force du nouvel empire qui allait, comme tous les empires qui l’avaient précédé, s’emparer progressivement des rênes du pouvoir mondial, faire main basse sur les richesses de la planète et devenir ouvertement, et le plus naturellement du monde, le protecteur et le financier de l’idéologie sioniste, source principale du chaos mondial depuis le début du XXe siècle.

La réussite du colonialisme politico-religieux sioniste est incompréhensible si l’on ne voit pas qu’il est l’enfant et la projection au Moyen-Orient du colonialisme économique souterrain des puissances financières anglo-saxonnes sur la planète entière, une sorte de pseudopode géographiquement délocalisé de l’Occident colonisateur, une tête de pont placée dès l’origine sous la protection de la City et de Wall Street – et notamment du très efficace banquier états-unien Bernard Baruch ainsi que de la maison Rothschild anglaise et de ses filiales.

Sans la domination financière de la City sur la planète jusqu’à la Seconde Guerre mondiale et la création de sa monnaie privée le 23 décembre 1913, le dollar, par les soins de ses filiales dans le Nouveau Monde, le sionisme serait resté une excroissance nationaliste hérétique, et demeurée localisée en Europe de l’Est, d’un judaïsme principalement pharisaïque et d’influence talmudique. Sans cette domination-là, l’État d’ Israël n’aurait pas pu voir le jour et les fidèles du dieu Jahvé auraient continué à vivre entre eux dans les multiples États dont ils étaient devenus nominalement les citoyens, selon les préceptes ségrégationnistes d’Esdras pour la majorité d’entre eux, ou se seraient convertis à un judaïsme spirituel qui, sautant à pieds joints par-dessus les principes du Talmud, trouve sa source chez ses grands prophètes bibliques. Il survit aujourd’hui dans le petit groupe des Naturei Karta, mais leur nombre est devenu infime.

La Seconde Guerre mondiale a rebattu les cartes et le centre du pouvoir s’est déplacé de la City de Londres à Wall Street. De plus, les persécutions dont les juifs furent victimes de la part de l’Allemagne nazie et dans une grande partie de l’Europe ont fourni des arguments nouveaux au mouvement sioniste. Ils ont permis, dans la foulée, son officialisation au mépris du principe fondateur de toute légalité internationale, à savoir le droit des peuples à disposer d’eux- mêmes.

AP : Qu’est-ce qui fait que les puissances mondiales se sentent obligées de courber l’échine devant l’arrogance d’un État aussi petit qu’Israël ?

AdD : Les « puissances mondiales », comme vous dites, sont reliées à leurs moyens de communication par un cordon ombilical invisible, mais omnipuissant. Politique et communication se superposent.

Or, dans un monde qui papillonne d’une image à l’autre, d’une interview à l’autre, et où la vérité et la réalité ont peu de poids face à des bouffées émotives, à une savante mise en scène, aux raisonnements astucieusement agencés, aux manipulations émanant de groupes de pression et à la complicité de tous les médias occidentaux, des années-lumière d’habileté, d’efficacité et de professionnalisme séparent les Palestiniens et les Israéliens.

Outre le handicap de se trouver face à une puissante cohorte de lobbyistes affichés ou masqués d’Israël, il existe des raisons culturelles, linguistiques, politiques et psychologiques propres aux Palestiniens eux-mêmes et qui expliquent leur sidérale faiblesse face aux médias du monde entier. Un locuteur qui s’exprime dans un anglais élémentaire ou un français hésitant ne fait, hélas, pas le poids dans le théâtre médiatique. Ainsi, depuis que Mme Leila Shahid n’est plus à Paris, la Palestine a pratiquement disparu des médias français.

Il est urgent que les Palestiniens envoient dans toutes les grandes capitales du monde des représentants qui soient de grands intellectuels familiers du style d’argumentation des médias occidentaux et capables de s’exprimer dans la langue du pays.

Constamment aux aguets, ils devraient exiger des droits de réponse face à l’omniprésence et à la variété des représentants de la thèse israélienne. Ceux-ci sont innombrables, tous parfaitement francophones. Et la liste s’allonge avec les partisans déclarés ou crypto-sympathisants, à laquelle s’ajoute toute une brochette de journalistes qui présentent volontairement ou par ignorance une information tellement biaisée qu’elle s’apparente à un lavage de cerveau.

À la faiblesse des Palestiniens sur le terrain médiatique s’ajoute la paralysie de l’Allemagne et de tous les pays européens qui ont été peu ou prou occupés par les troupes nazies et qui ont participé à la persécution de leur population juive durant la dernière guerre. Des armées de vigilantes vigies veillent, l’épée de l’antisémitisme sortie du fourreau et prête à s’abattre sur tous les commentateurs et géopoliticiens audacieux qui s’écarteraient de la doxa officielle. Souvenez-vous de la violence de la réaction des sionistes européens et israéliens à la suite de la publication par Günter Grass de son poème sur la Palestine, Ce qui doit être dit, dans un quotidien allemand.

Interview réalisée par Mohamed El-Ghazi

 

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Davos, 2008 : Bernard Kouchner, ministre des Affaires étrangères de la France ; Lloyd C. Blankfein, président de Goldman Sachs ; Shimon Peres, président d’Israel ; Henry Kissinger, ancien secrétaire d’État américain (présidence Nixon) et président de Kissinger Associates [Ndlr E&R]

Pour aller plus loin avec Kontre Kulture :

 






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11 Commentaires

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  • #277208
    Le 6 décembre 2012 à 12:10 par Simone Choule
    "Le sionisme tire sa puissance des banques anglo-saxonnes"

    Très bien la photo du sanhédrin à la fin ! Au moins on voit de qui Jésus se méfiait....

     

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  • #277228
    Le 6 décembre 2012 à 12:50 par A.F
    "Le sionisme tire sa puissance des banques anglo-saxonnes"

    Entrevue instructive mais le terme "sioniste est employé de façon récurrente : il est employé à la place de "judaïsme l’ association du dessein mondialiste au combat palestinien sont deux choses qui n’ont pas le même ordre de grandeur .

     

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  • #277261
    Le 6 décembre 2012 à 13:59 par le Chaton
    "Le sionisme tire sa puissance des banques anglo-saxonnes"

    Voici un article qu’on porrait nommé :
    "Une Critique de l’Empire écrite par l’Empire"



    plus virulents et plus fanatiques que les juifs et qui soutiennent l’État sioniste pour des motifs théologiques. Ils sont appelés « chrétiens sionistes



    Imaginons des Evangelistes ProPalestiniens, je parie qu’il n’auront pas du tout des moyens equivalent à ceux des Evangelistes Sionistes pour le developpement de leurs doctrines...



    La réussite du colonialisme politico-religieux sioniste est incompréhensible si l’on ne voit pas qu’il est l’enfant et la projection au Moyen-Orient du colonialisme économique souterrain des puissances financières anglo-saxonnes sur la planète entière



    A qui appartiennent les groupes US ?
    A des milliardaires (dont au moins un 1/3 sont juifs) et
    Des fonds de placements ( caisse de retraites, epargne ) dirigé par des juifs
    Ils controlent les Medias et les Banques directement, les deux bases du capitalismes ( controler les fabriquants de fourchettes et de chaussettes est moins utiles...)



    Il est urgent que les Palestiniens envoient dans toutes les grandes capitales du monde des représentants qui soient de grands intellectuels familiers du style d’argumentation des médias occidentaux et capables de s’exprimer dans la langue du pays.



    Mais bien sur...
    Il suffit donc d’envoyer en Occident des palestiniens beaux, intelligents et charismatiques pour que les Médias les invitent , mais pourquoi personne n’y avait pensé avant ?



    Or, dans un régime qui se dit « démocratique », la ligne d’un gouvernement est, globalement, le reflet du sentiment général des électeurs.



    Comme dans tout régime, on ne peut pas gouverner contre son peuple sinon personne ne perdrait son temps à faire de la propagande.

     

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  • #277301
    Le 6 décembre 2012 à 15:23 par Erdoval
    "Le sionisme tire sa puissance des banques anglo-saxonnes"

    Explication magistrale et synthétique de la domination exercée par l’oligarchie financière d’inspiration biblique. La réplique à cette situation passe certes par la communication via les médias, mais il faut être bien conscients qu’ils sont déjà fortement sous le contrôle de cette oligarchie, l’exemple français étant désormais assez évident. Donc c’est maintenant très loin d’être suffisant. Une autre arme existe qu’il faut utiliser contre l’asservissement des peuples : la restauration de conditions plus favorables à la démocratie, la mise en place de mécanismes rendant plus difficile la constitution d’oligarchies et la captation du pouvoir par les oligarchies. Il est clair que le système des partis a dégénéré et que les élections sont plus que jamais des pièges à cons, les électeurs étant transformés en crétins utiles des oligarchies. L’oligarchie financière prosioniste dispose de très nombreux pions, souvent très importants dans toutes les institutions de la République et de l’Union Européenne et elle contrôle désormais de très nombreux secteurs importants de la société. Elle a une capacité sans limite à corrompre tous les pouvoirs. Comment peut-on si ce n’est neutraliser cette oligarchie, au moins essayer d’en limiter les mouvements ?
    Beaucoup d’électeurs français doivent plus que jamais se sentir floués tant par les trahisons répétées de la gauche au pouvoir que par la bagarre indécente qui se joue actuellement pour la conquête de la Présidence de l’UMP. Derrière cela on aperçoit assez clairement les manoeuvres de l’oligarchie financière prosioniste. Copé ou Fillon : les deux sont manifestement les collaborateurs zélés de l’oligarchie, mais l’un dispose sur l’autre de l’avantage de son appartenance à la communauté israélite. Notre démocratie est manifestement corrompue : la lutte contre la corruption est un moyen indispensable pour neutraliser les manoeuvres antidémocratiques : il faut soutenir cette lutte dans toutes ses composantes à commencer par la sphère politique. Il faut poursuivre inlassablement les professionnels inféodés à des oligarchies ou sous l’influence d’ intérêts mafieux. Mais même les milieux qui s’occupent de cette lutte sont susceptibles d’être infiltrés. Il faut donc aussi adopter des moyens de lutte à couvert, de type "anonymus" et développer des actions ciblées de déstabilisation par la mise en cause publique des personnes apparaissant comme étant liées à des intérêts particuliers. La lutte pour la démocratie doit redevenir un combat

     

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    • #277453
      Le Décembre 2012 à 20:19 par Ludvik44
      "Le sionisme tire sa puissance des banques anglo-saxonnes"

      J.F. Copé est peut-être issu de la communauté mais il faut savoir que F. Fillon a été vu à une réunion des Bildelberg qui s’est déroulée en Espagne il y a quelques années.
      Donc c’est bonnet blanc - blanc bonnet dans cette affaire d’UMP.

       
    • #277549
      Le Décembre 2012 à 22:20 par Moi, Peter Sellers
      "Le sionisme tire sa puissance des banques anglo-saxonnes"

      @ludvik44, comme tu le dit
      c’est blanche kippa et kippa blanche.
      N’oublions pas que devant tout les maux 1 mot juste n’est pas juste 1 mot : les mots ont un sens.
      Et les bons mots sont l’essence (de la deconstruction).
      Parce qu’il faut déconstruire.

       
  • #277367
    Le 6 décembre 2012 à 17:45 par Garfazz
    "Le sionisme tire sa puissance des banques anglo-saxonnes"

    Ça aussi c’est parfaitement expliqué dans "Comprendre l’Empire", avec la jonction de la couronne d’Angleterre et de la Banque, puis le passage de la City à Wall Street et enfin l’inversion progressive du rapport de force... Le chapitre sur la Banque est magistral, c’est court, clair, net, précis et tout y est... à lire absolument !

     

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  • #277403
    Le 6 décembre 2012 à 18:53 par Corso
    "Le sionisme tire sa puissance des banques anglo-saxonnes"

    J’invite chacun(e) à lire les magnifiques textes d’Aline de Diéguez :
    Aux sources du sionisme / Chroniques de la Palestine occupée

     

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  • #277534
    Le 6 décembre 2012 à 22:08 par anonyme
    "Le sionisme tire sa puissance des banques anglo-saxonnes"

    pour briser les sionistes il suffit de briser le système bancaire international
    les pays non alignés doivent rejeter ses transactions et imposer l’étalon or comme seule valeur réelle de commerce !
    et là les coalosionistes auront perdu la guerre avant même de l’avoir commencé car ils seront ruinés (nous avec) mais c’est peu de chose par rapport au bénéfice à tirer de la fin des taux d’interêts et de la fin aussi de la dévaluation artificielle et de la spéculation mondiale bref tout sera à refaire mais ce sera beau !

     

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  • #277960
    Le 7 décembre 2012 à 12:41 par liz
    "Le sionisme tire sa puissance des banques anglo-saxonnes"

    avant je ne savais pas...j’entendais par ci par la des rumeurs sur ce pouvoir "occulte", puis je me suis penchée sur la question..j’ai fouillé, j’ai trouvé....Je pense que beaucoup comme moi ont été abusé, trompé....maintenant que je sais comment faire et quoi faire pour les contrer ?????

     

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