Là, on ne sait plus si on doit rire ou pleurer. Souvent, la frontière est fine entre les deux, tant l’humour flirte avec le désespoir, le malheur, ou la souffrance. Nous sommes au conseil muicipal de la ville de Fontaine, dans l’Isère, on parle des difficultés d’accueil des Roms – un disque rayé – et soudain, Franck, élu d’opposition FN, en sort une énorme :

« Pour loger les Roms, je pense qu’il pourrait y avoir un auto-financement. La Métropole devrait leur payer le dentiste… afin de récupérer leurs dents en or »

Fontaine, ville maudite à jamais à cause d’un dérapage shoahtique

Houlala, l’indignation générale ! Les roulottes de la pleurniche qui convergent vers l’impudent, la grosse caisse médiatique, les elkabbacheries, Estrosi et ses camps, le CRIF ce gros chat qui se réveille et qui d’un coup de patte griffue, vient ouvrir le ventre de Franck, victime expiatoire du Dieu Shoah. Eh oui, c’est une grosse boulette. Ce sont des choses qui peuvent se dire quand on fait de l’humour entre amis, à table, par exemple au dîner du CRIF, mais pas dans une réunion politique publique, avec tous les délateurs que le Système a formés !

Pensez donc, chaque mois, des milliers de collégiens et lycéens français se tapent le pèlerinage à « Ausch » (diminutif familier d’Auschwitz), avec des budgets pris sur les fournitures scolaires et la cantoche. Si les petits Français allaient moins en Pologne, ils mangeraient peut-être mieux le midi, allez savoir...

On ne peut en vouloir au journaliste du Dauphiné qui a balancé à toute la presse, il fallait bien un Judas, et puis, cette campagne électorale ne ressemble à aucune autre, tant la dominance se déchaîne contre les patriotes, la liberté d’expression, les dissidents, les malpensants...

Tenez, sous la houlette du chef d’orchestre médiatique BHL, La Règle du jeu héberge une pétition géante contre Marine Le Pen. Ce coup-ci, ce sont les psychanalystes. C’est curieux, on a rarement vu une pétition d’ouvriers contre le FN, ou des jeunes, à part les têtes creuses manipulées par Julien Dray dans les lycées pourris... La raison invoquée par cette corporation à l’abri de tout besoin est assez sidérante :

À 38 jours du premier tour de la présidentielle, le dernier sondage Ifop en date donne Marine Le Pen en tête des intentions de vote avec 26,5%. Une menace qui a poussé les psychanalystes à prendre position publiquement dans le débat électoral et à lancer un appel à voter avec eux contre le Front National : « La possibilité même de notre exercice professionnel est mise en cause. Pas de psychanalyse digne de ce nom sans l’état de droit ».

Cyril négocie le tarif avec son psy Marc-Olivier, qui n’est pas d’accord pour un rabais

Tiens, quel rapport entre cette profession qui ne déclare pas son cash au fisc et l’État de droit ? On a beau se creuser, on ne trouve pas.
On vous épargne la plume amphétaminée de BHL, resté maître dans l’art d’induire les Français en erreur et en soumission. Le truc marrant de cette 153ème liste de Schindler, ce sont les signataires, comme d’habitude, un croisement entre les faux intellectuels et les parasites culturo-mondains :

Léa Seydoux, Bernard-Henri Lévy, Anaïs Demoustier, Yann Moix, Vincent Elbaz, Camille Cottin, Felix Moati, Vincent Lacoste, André Wilms, Claire Denis, Gilles Lellouche, Xavier Beauvois, Cynthia Fleury, Daniel Mesguish, Vimala Pons, Emmanuelle Laurent (Mardi Noir), Alexandre Adler, Tiphaine Samoyeault, Yves Angelo, Marie Desplechin, Nicole Garcia, Éric Caravaca, Barbara Cassin, Arno Bertina, Blandine Kriegel, Rodolphe Burger, Mathilde Monnier, Brigitte Jaques-Wajeman, Maurice Szafran, François Régnault, Caroline Mecary, Gérard Miller, Jean-Claude Milner, Pablo Reinoso, Yves-Charles Zarka, Marie Modiano, Coralie Miller, Charles Méla, Alain Grosrichard…

Dans le tas, on aura reconnu notre ami Gérard Miller, « pair » de BHL. Ainsi que le petit Moix, amateur de partouzes et de sionisme. Un mélange qui ne rend visiblement pas lucide. Il faudrait peut-être essayer la fidélité et l’antisionisme, pour voir...

On ne quitte pas le marigot people avec la grande Catherine, Deneuve de son état, qui a lâché une grosse perlouse chez la tarlouze de TMC. C’était dans Quotidien, jeudi 16 mars au soir, et notre grosse coquine [1] nationale a dérapé pire que Franck avec les dents en or des Roms.

Selon Catherine, on ne devrait pas faire chier Polanski « 40 ans après » : « il a toujours aimé les jeunes femmes... j’ai toujours trouvé que le mot de viol avait été excessif ». Bon, c’est une opinion.
Il y a prescription et prescription...