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Du Flic de Belleville à Yann Barthès : Omar Sy en naufrage intégral

Désastreux passage télé que celui du grand (1m92) acteur Omar Sy chez tata Barthès. Toute la vacuité de la nouvelle star française y est apparue dans une lumière crue, malgré les rires de complaisance d’un public conquis à l’avance. On applaudissait l’inculture (même pas foutu de connaître L’Emmerdeur), l’amateurisme (zéro capacité d’improvisation) et l’antiracisme, comme si négritude rimait avec antiracisme. Devant l’agent LGBT numéro 1 des médias, qui a tout fait pour sauver les apparences, l’imposture Sy a explosé aux yeux de tous.

 

 

Nous on savait depuis longtemps que Sy était gonflé au système comme un ballon est gonflé à l’hélium, c’est-à-dire en surclassement total, ce qui n’a pas manqué d’apparaître après le succès commercial d’Intouchables, qui est en réalité le succès du duo Toledano-Nakache, qui a écrit et réalisé ce film aux petits oignons. On adhère ou pas à l’idéologie sous-jacente – la France blanche handicapée sauvée par l’immigration colorée des quartiers – mais en matière d’horlogerie scénaristique, le duo sionard touche sa bille.

Ce n’est pas le cas de la moitié du duo Omar & Fred, dont l’échec des films suivants prouvera une seule chose : qu’Omar a servi de caution antiraciste à des petits malins devenus grands. Un acteur n’est ni noir ni blanc, un acteur est bon ou mauvais. Et Omar Sy n’est pas bon. C’est dur pour la gauche antiraciste mais elle n’a pas été jusqu’à remplir les salles obscures pour sauver Le Flic de Belleville. Pas folle la guêpe bien-pensante : quand l’antiracisme coûte 10 balles, y a plus personne !

 

 

Même le « bon public » a été dégoûté

« Je suis bon public, mais ce film a été très pénible à voir. Assez ennuyeux, pas beaucoup de rythme. Humour qui tombe à plat. Pas beaucoup d’action. Le marketing est de vendre Omar Sy pour faire oublier tout le reste... » (Allociné)

 

Il fallait bien que la baudruche Sy se dégonfle un jour. Les mondialos verront dans cet article la preuve d’un indéniable droitisme raciste, voire d’un exécrable racialisme d’extrême droite, mais les malheureux qui sont allés voir la bouse à Bouchareb – le réal d’Indigènes qui a perdu sa chemise au bouche-à-oreille et qui la sauvera pas au bouche-à-bouche médiatique – sauront qu’il s’agit d’amour du cinéma et non de néocolonialisme, celui que dénonce du matin au soir l’allumé Pascal Blanchard, l’universitaire porteur de la haine de la France et qui porte si mal son nom.

Omar Sy est donc l’acteur racisé qui a été élevé par le Système pour des raisons de préfabrication antiraciste. C’est dur pour lui, mais ses limites d’acteur seront vite atteintes. Dès qu’un film s’est monté sur ses seules épaules, à partir de Knock, le château de cartes bien-pensant s’est effondré. Le Système, pour faire croire à l’égalité des chances, est capable de monter une personnalité malléable (qui aurait tort de refuser le pont d’or, même vermoulu) en épingle pour dire « vous voyez, Je ne suis pas raciste ». Or le Système, qui est globalement socialo-sioniste et libéral libertaire, est éminemment raciste, voire racialiste. Regardez cette vidéo sur la LICRA :

 

 

On a une question pour l’officine israélienne : à quand un racisé à la tête de la LICRA ? Pourquoi pas Omar Sy, qui pourra jouer les Obama de service ?

 

Bonus : leçon d’acting pour Omar avec Jamie Foxx au piano

 

Mais Jamie sait aussi faire l’acteur :

 

Conclusion : Jamie n’est pas un acteur noir, c’est un acteur bon.

Pas la peine de nous faire la leçon sur Django unchained, on sait pertinemment que le film est un clip promotionnel pour l’antiracisme, ce qui laisse entrevoir ce qu’aurait pu être ce Tarantino sans les tartines de bien-pensance avec les gentils Noirs et les vilains Blancs.
Le réalisateur a loupé là l’occasion de faire un très grand film. Si on se pince le nez sur l’idéologie, il reste un chef d’œuvre dans le genre, avec des acteurs au sommet et des dialogues au couteau.

Sur l’antiracisme, cette idéologie antinationale,
lire chez Kontre Kulture

 

L’antiracisme a tué le cinéma français, sur E&R :

 






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