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Francis Kalifat (CRIF) sur i24news : "Le combat contre l’antisémitisme est encore long"

On va tout de suite traduire en bon français la thématique obsessive ânonnée par le président du CRIF sur la chaîne sioniste de Patrick Drahi, qui annonce que « le combat contre l’antisémitisme est encore long » : le combat pour le sionisme est encore long. Il faut toujours reformuler la parole oligarchique pour que le peuple comprenne bien.

 

Effectivement, à part en Israël, le monde entier n’est pas encore devenu sioniste, et c’est pas demain la veille que ça arrivera. Il y aura encore beaucoup de Francis Kalifat, qui s’est complètement cramé lors de la marche blanche pour Mireille Knoll transformée en marche blanche pour le sionisme (zéro public français), avant que le monde non juif se prosterne devant les descendants de Bibi netanyahou, l’escroc sanguinaire à la tête du gouvernement israélien.

« Nous ne cessons de dénoncer cette haine »

Le moindre croche-dalle sur un juif en France est aussitôt transformé en crime contre l’humanité et l’info fait le tour de la Terre dans le réseau des médias complaisants, pas ceux qui font leur boulot de journaliste consciencieusement en refusant de relayer ces fake news. La dernière en date, c’est un imam à bordeaux qui aurait eu des mots durs contre les juifs.

« Lors d’un sermon à la Mosquée Ennour à Toulouse, l’imam Mohamed Tatai, imam de la mosquée, a rapporté le hadith antisémite selon lequel au Jour du jugement, les musulmans combattraient les juifs, et les pierres et les arbres dévoileraient ceux qui se cachent derrière eux. Et d’ajouter que les juifs et les chrétiens croient également en ces prophéties. » (Source : crif.org)

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Mon Combat, de Francis Kalifat

 

À la tête du CRIF, Kalifat se prend pour le garde des Sceaux et se réserve le droit d’attaquer. Les Français, eux, s’ils étaient mieux défendus, pourraient attaquer cette officine du pouvoir profond pour haine antifrançaise depuis des lustres, mais ça ne figure pas dans le droit franco-sioniste actuel. Un jour viendra...

« Ce que j’en sais en tout cas c’est que c’est vraiment un appel à la haine, encore une fois et que cet appel à la haine doit être sanctionné »

Passons sur les vociférations haineuses antichrétiennes ou antimusulmanes (« ceux qui pactisent avec l’islam... ») surmultipliées par tous les supports médiatiques imaginables de la part des représentants non élus du lobby sioniste, on pourrait en faire une compilation quotidienne, tant la pression est intense. Rien que du côté de Finkielkraut ou Zemmour, il y a de quoi faire 100 procès « contre la haine ». Ce match disproportionné à mille contre un permet à Kalifat et à ses ouailles d’accuser en permanence des éléments bien choisis du peuple français de « haine » à l’égard de la communauté juive, et cela maintient le pays en tension par un chantage permanent.

Heureusement, il y a des techniques anti-étranglement lorsqu’on est au sol (position des Français) :

 

 

Kalifat, dont les arguments rasent les pâquerettes – on est loin des sionistes brillants du XIXe siècle ou courageux du ghetto de Varsovie –, n’arrive plus à faire une phrase sans le mot « haine ». On dirait un distributeur déréglé qui n’intègre plus les changements de commande. On demande un sandwich, plof, il délivre un falafel. Mais au poste qui est le sien, l’exagération (des crimes et délits dits antisémites) est devenue la norme. Impossible pour lui de faire œuvre d’intelligence et de raison.

Le lobby a placé à la tête du CRIF un sioniste vulgaire et limité. C’est bon signe, finalement. Si le pouvoir et l’argent sont de leur côté, l’intelligence et la raison ne le sont plus. Le combat contre le sionisme est encore long !

 

 

- La Rédaction d’E&R -

 


 

L’imam de Toulouse « s’excuse profondément
auprès de ses amis de la communauté juive » !

 

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Mohamed Tataï, imam de Toulouse

 

Convoqué par le recteur de la Grande mosquée de Paris, l’imam toulousain au cœur d’une polémique suite à un de ses prêches s’est excusé et a promis d’œuvrer pour le vivre-ensemble.

 

La Grande mosquée de Paris avait assuré qu’il devrait « fournir des explications au recteur Dalil Boubakeur sur l’utilisation de ce hadith. » L’imam de la nouvelle mosquée de Toulouse avait provoqué un tollé après avoir cité un hadith, dans un prêche filmé, disant que « les musulmans combattent les juifs » et que, s’« il y a un Juif qui se cache derrière moi, viens le tuer. » Le parquet de Toulouse avait alors ouvert une enquête. L’imam Mohamed Tatai a finalement été reçu comme prévu par le recteur de la Mosquée, Dalil Boubakeur.

Ce dernier, dans un communiqué, indique que « son conseil d’imams » était également présent. Le recteur attendait de la part de l’imam toulousain

« son explication suite à la polémique provoquée par une vidéo diffusée sur YouTube dans laquelle, en décembre 2017, il évoque un hadith dans un prêche consacré à l’eschatologie des fins dernières et à la souffrance du peuple juif. »

Un rendez-vous qui a donné lieu, assure Dalil Boubakeur, à des excuses.

Lire l’article entier sur lemuslimpost.com

Le pouvoir sioniste en France, ses origines et ses conséquences,
à lire sur Kontre Kulture

 

Le CRIF et le pouvoir personnel sans limites de son président, sur E&R :

 






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