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Zidane quitte le Real Madrid en pleine gloire et met la pression sur Deschamps

On ne va pas vous reraconter la vie de Zizou, le conte de fées a été étalé dans tous les journaux depuis 20 ans, depuis cette fameuse finale du 12 juillet 1998 où le Marseillais a marqué deux buts de la tête aux Brésiliens. La tête et le pied gauche étaient pourtant les deux faiblesses du jeune Yazid à 16 ans... avant que Zizou n’éclose et n’explose à travers trois clubs : l’AS Cannes, les Girondins de Bordeaux et la Juventus de Turin. Pour devenir immortel au Real de Madrid, ce club immortel.

 

Le 1er juin 1998, L’Express était bien inspiré de titrer « Zidane le Magnifique ». Un article très complet qui montre un champion gravissant en silence une à une les marches de la gloire.

« Au départ de cette belle aventure, une scène de routine : un gosse qui joue à la brésilienne sur une dalle de béton. À la cité de la Castellane, dans les quartiers nord de Marseille, ça tape le ballon jusqu’à la nuit. "On délimitait le terrain avec des bacs à fleurs." Quatre frères et une sœur : Zizou est le petit dernier d’une famille d’origine kabyle. "Ma grand-mère vit encore là-bas, du côté de Bejaïa", dit-il, en se dépêchant d’ajouter son "voilà". Le père, Smaïl, est magasinier à Casino. Une famille unie, modeste ; éducation stricte, à l’ancienne. Dans les années 70, les parents ont refusé de lâcher Nordine, l’aîné, alors contacté par Saint-Étienne. Ils céderont sur Yazid. Pourquoi ? Des gens formidables vont entrer dans leur vie.

Deux noms : Jean Varraud et Jean-Claude Élineau. Deux dirigeants bénévoles de l’AS Cannes. Deux dingues de foot. Le premier repère le mioche dans un match de cadets, à Aix-en-Provence. Il a 13 ans. "Ce n’était pas le plus costaud ni le plus rapide, se souvient Jean Varraud, 80 ans. Tout le monde lui gueulait dessus : "Fais des passes !’’ Et moi, je voyais quoi ? Un môme qui ne pensait qu’à dribbler : un, deux, trois, cinq, six joueurs. C’était sublime. Ses pieds parlaient avec le ballon." Il propose alors aux parents de l’emmener à Cannes. Plus qu’inquiets, ces derniers le laisseront partir pour une semaine. Pas une heure de plus. À son retour, Malika, la maman, constate que son linge est lavé, repassé, plié. Qu’il a été hébergé par la famille Élineau. Et adopté comme un fils. Maman tranche : le petit pourra tenter sa chance "là-bas".

[...]

Sur sa famille, il ne plaisante guère. Charly Loubet, ex-international et conseiller technique de l’AS Cannes, se souvient de ses premiers pas dans le championnat de quatrième division. Des matchs dans la zone marseillaise. Des combats de rue sur des champs de cailloux. La suite, Charly la raconte : "Zizou a entendu des spectateurs insulter ses parents, qui étaient venus le voir jouer. Il a quitté le terrain tel un fou furieux. S’est mis à balancer des gifles, à en recevoir. La castagne générale. Je savais que c’était un artiste. J’ai découvert un caractère."

Qui dit virtuose dit agressions. Très vite, on s’aperçoit que pour lui subtiliser le ballon il n’y a pas 36 façons de s’y prendre. Il faut lui cisailler les jambes. Le tacler jusqu’aux genoux. Le faucher par derrière. Il y a juste un problème : Zizou rend les coups. C’est un sanguin. À Montpellier, à l’âge de 16 ans, il envoie une "poire" magistrale à un défenseur qui lui avait labouré les mollets. Carton rouge. Viré. Quatre matchs de suspension. Cela ne peut plus durer. Guy Lacombe, directeur du centre de formation de l’AS Cannes, lui fait alors la leçon. Explication de texte : "Les gnons, fiston, tu n’as pas fini d’en manger. À chaque match. Et jusqu’à la fin de ta carrière. C’est la règle pour des joueurs aussi doués que toi. Alors, si tu veux jouer les justiciers, tu passeras ta vie sur la touche. À regarder les autres. C’est ce que tu veux ?" En prime, Guy Lacombe lui suggère, s’il a envie de se défouler, de récurer les vestiaires après chaque entraînement. "C’était juste une phrase en l’air..." Le lendemain, après le footing et la douche, tout le monde s’en va. Sauf Zizou. Qui prend le seau et la serpillière. Nettoie tout, de fond en comble. Et il répétera la manœuvre pendant un mois. Comme le note Guy Lacombe : "Zizou, c’est un exemple : discipline et responsabilité. Il parle très peu. Il écoute. Et il agit." »

Après Cannes, Bordeaux, Turin. En Italie, alors premier championnat européen, rien n’était gagné. Au début, Zidane passe même pour une chèvre !

« C’est Michel Platini, au printemps 1996, qui en a touché un mot à Giovanni Agnelli. Et un mot du Maestro à l’Avvocato suffit amplement. Le voilà donc Piémontais. Pour le meilleur et pour le pire. D’abord, le pire. L’équipe de France a raté son Euro 96. Tous nos Bleus ont été sinistres, Zizou inclus. Agnelli se pince : "Mais on n’a quand même pas acheté ce truc ?" Dès son arrivée, on lui fait subir un entraînement de légionnaire. On le casse. On le fait jouer défensif. Les ballons volent au-dessus de sa tête. Il est perdu. La presse l’assaisonne. Platini, à nouveau, intervient. En public, il dit en substance que c’est du gâchis. Que ce n’est pas un cheval de trait. C’est un meneur et non un soutier. À Turin, la parole de Platini a valeur de décret. Le coach, Marcelo Lippi, s’incline. Et fait du Français un électron libre, porté vers l’attaque. Les résultats de la Juve suivent. Championne d’Italie. Finaliste de la coupe d’Europe. En 1997, Yazid Zidane est élu meilleur étranger du Calcio. En 1998, sa Juve fait la course en tête du championnat. "Ici, confesse-t-il, j’ai appris à gagner. Le fait de perdre un seul ballon m’est devenu insupportable." Même l’intraitable Lippi lui envoie des brassées de roses : "Ce joueur est un don du ciel. Sur un terrain, il a l’art de rendre simples les situations les plus tordues." L’Avvocato, lui, a prolongé son bail jusqu’en 2004. Le plus long contrat signé par la Juve. L’un des plus chers, aussi : près de 12 millions de francs par an. »

Où l’on saisit déjà l’influence de Michel Platini, qui à part ça vient d’être innocenté par la justice (suisse) dans l’affaire des 2 millions de francs suisses. Quatre ans de purgatoire pour le Français qui lorgnait sur la place de Sepp Blatter, le grand manitou du football mondial. Et du passe-droit.

 

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M’sieur l’juge...

 

En parlant de Platini dans un article sur Zidane, Michel vient d’en lâcher une sévère en évoquant la petite magouille de l’organisation de la Coupe du Monde 1998, où tout a été fait pour que la France et le Brésil se rencontrent en finale, selon les vœux même du président de la République Jacques Chirac. Emmanuel Petit, un des 23 champions du monde, aura un doute sur l’attribution de la coupe Jules Rimet, mais les matches des Bleus ne laissent aucun doute : ils ont ramé pour passer les 4 tours à élimination directe. D’abord contre les Paraguayens, avec ce match étouffant et le but en or de Laurent Blanc, puis l’Italie avec la séance de penaltys, les rusés Croates avec la pourriture Bilic et enfin la finale. Dans le tas, les Bleus auront fini deux fois à 10, Zidane et Desailly écopant d’un carton rouge. On a vu pire comme Coupe du Monde volée !

Voilà, c’était pour faire taire les sceptiques et les anti-Français.

Après avoir gagné ses trois Coupes d’Europe d’affilée, Zidane jette donc l’éponge aux pieds de Florentino Pérez, le puissant président du Real de Madrid, qui a plus de pouvoir qu’un ministre. Rajoy passe, Pérez reste... Mis en difficulté en janvier 2018 après les piètres résultats du Real en championnat, totalement distancé par le rival barcelonais, Zidane a serré les dents, laissé passer les critiques (et les insultes du public), pour finir par mettre une belle quenelle à tous ses détracteurs en raflant sa troisième coupe aux grandes oreilles. Dans sa conférence de presse du 31 mai 2018, il annonce son départ en termes polis, mesurés, politiques.

Avant même la conférence de presse surprise, Dugarry, qui devait être au courant en tant que premier lieutenant de Zidane, lance la première attaque sur Deschamps... qui doit sentir au-dessus de sa tête l’ombre et le poids de l’homme de tous les exploits. Deschamps que Platini appelait le « porteur d’eau » en équipe de France, terme indélicat pour le job ingrat du capitaine des Bleus qui consistait à servir les autres, et surtout Zizou.

 

 

L’intervention de Dugarry sur RMC, qui se prend déjà pour le sélectionneur en second :

« Il faudra que Didier Deschamps aille très loin en Coupe du Monde. Parce qu’il faudra assumer son choix. Parce qu’on prend en otage en Équipe de France et c’est peut-être au détriment de l’intérêt collectif. Quand on a un avant-centre qui remporte 4 ligues des Champions qui ne joue pas en Équipe de France parce qu’il a mal parlé de Deschamps. Des joueurs qui ont mal parlé de Deschamps, il y en a eu un paquet qui ont fait des Coupes du Monde et des Championnats d’Europe. Il nous explique que c’est dans l’intérêt de l’Équipe de France. Je pense que c’est plus dans l’intérêt de Didier Deschamps que de l’Équipe de France de ne pas le prendre, mais c’est comme ça, je valide la liste des 23 mais je trouve ça dommage que Benzema n’en fasse pas partie. »

 

La politique et le rapport de force sont partout, on dit ça pour ceux qui se foutent du foot. Car là, il y a non seulement l’aspect sportif, mais aussi financier : gérer les Bleus, choisir untel plutôt qu’untel, c’est prendre une importance capitale sur le marché et la cote des joueurs. Ainsi, si les Bleus de Deschamps se vautrent en Russie, on peut être sûr que Benzema reviendra dans la valise de Zidane, à condition que ce dernier devienne le sélectionneur national. Mais qui pourrait le lui refuser ? Personne à la Ligue et à la FFF. Tous sont à genoux devant lui.

Car Zidane n’est pas qu’un géant du foot français, il est aussi un représentant des grandes marques à qui il a prêté son image en tant que joueur, ce qui explique qu’il a toujours eu un comportement irréprochable. En apparence. Car personne n’est parfait : nos cousin allemands rappellent que pendant la Coupe du Monde 2006, le « champion du monde de l’humilité », comme le surnomme la presse, avait défoncé une porte et laissé la marque de ses crampons sur le vestiaire des Français. Énervement passager ou effet d’un produit... énervant ?

Personne n’osera lever la question du changement physique de Zidane à la Juve, ce qui vaut pour tous les joueurs, étrangers ou italiens, qui y sont passés. Il partira à temps, avant que le club ne sombre dans les affaires de dopage généralisé et les affres de la seconde division italienne. Zidane finira sa carrière au Real de Madrid, le club le plus « capé » du monde, où il assurera sa reconversion en passant discrètement ses diplômes d’entraîneur, avant de prendre en charge l’équipe première, celle de toutes les stars, considérée comme ingérable. On a vu le résultat : une pluie de titres internationaux.

 

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Une des suites du Crillon, le palace où certains Bleus avaient l’habitude de se reposer (après leurs exploits)

 

Il y a 10 ans, une journaliste, Besma Lahouri, osera un livre non footballistique sur l’intouchable, Zidane, une vie secrète. Elle se fera cambrioler pendant son enquête, dézinguer en plateau télé pendant un débat sur les biographies non autorisées, et subira une bonne petite omerta de la part de la presse française. Tous ceux qui se sont attaqués éditorialement à Zizou l’ont senti passer, et on ne parle que des journalistes, pas des admiratrices...

Bon, maintenant, un peu de foot :

Pourquoi le nationalisme français n’est-il autorisé que dans le foot ?
Lire sur Kontre Kulture

 

Zidane, Deschamps, Benzema, la tragédie est en place !
Voir sur E&R :

 






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  • le foot n’est qu’un symptome de la maladie du monde "moderne" ou plutôt de sa faillite morale et civilisationnelle au profit d’une religion de la spéculation et du cosmopolitisme, bref rien de nouveau...
    entrer en discussion pour savoir s’il faut défendre tel joueur, entraineur...n’est que perte de temps et crédit donné à ce système.

     

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  • C’est la plus belle évolution d’un joueur sur son mauvais pied, je rappelle que c’est un droitier. Messi du pied droit ne fait pas ce que Zidane a pu faire.

    Zidane c’est aussi le joueur le plus beau à voir avec un ballon.

    Enfin 1m85 donc centre de gravité plus haut que Messi et donc faire ce qu’il faisait avec le ballon est exceptionnelle.

    Le meilleur pour moi.

     

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  • Zidane est est un des meilleurs,voir le meilleur joueur de tout les temps. Allié de telles niveaux de technicité et de visions de jeux en un seul joueur est très dur à trouver. En France on devrait être fier d’avoir pût produire un tel génie du football au lieu de chercher ces défauts non footballistique.
    Et ceux qui crient Zidane racaille parce qu’il a mis un coup de tronche ( dans le torax et non en pleine poire, je le rappelle, sinon il lui aurai explosé le tarin) à un mec qui insulte sa sœur et sa mère depuis près de 2heures mais qui jubile devant la virilité de Cantona quand il décroche un coup de savate à un mec qui lui sort un mot de travers me fait doucement marrer.

     

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  • #1978063

    Une censure ? Autour du foot ? Dit "de compétition internationale et de haut niveau" pour que ?
    Les happy few restent entre eux ?
    Les polices sont elles intimidées en leurs interventions et conjectures car sinon et bien ?
    Le rêve brisé par un tel ou un tel !
    En ce qui concerne les dessous de tout ceci et bien ?
    La Suisse ? Quelle base pour une sorte d’omerta ?
    Le label "neutre" en un pays encore moins regardant sur tout ce beau monde va t il encore durer longtemps pour que Sepp Blatter reste en une sorte de professionnalisme pour des trucs hyper faciles à organiser au début du moins avec ensuite ?
    "Le regard du spécialiste" avec l’olympisme de suite, enfin bref !
    Le label made in Switzerland permet il aussi .... une base arrière bancaire au travers de l’ONU et de tous les machins classés hyper importants en Suisse comme justement la Fifa intouchable en ses mallettes peut être comme le CIO ... enfin bref. Puis donc ?
    Les gloires nationales inamovibles sans concurrence et justement ? ... ?
    La France ?
    Zidane ? Un abbé Pierre ??? ..
    Pour ce qui est de la suite et bien ? Ce Mondial plus les autres qui suivront sur quelle base totalement irréprochable car sinon ? Et bien comme un château de cartes car les titres et résultats d’avant ... pas validables maintenant et donc ... ?
    Des frais sempiternels encore et re encore pour que ? Des présidences de clubs prestigieux puissent le rester ?
    Où ?
    Un début de remise en cause de tout ça ?
    Didier Deschamps nommé !
    Par La République ou du moins les instances officielles et néanmoins .... les grandes pointures la ramènent quand même au dessus de ? Emmanuel Macron et son gouvernement voire d’autres responsables !
    Quand une condamnation de ces prétentions peut être abusives et donc illégales ??

     

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  • #1978100

    « Découvrir ou revoir “Le Triporteur”.
    De René Fallet.
    Réalisé par Jacques Pinoteau.
    Avec Darry Cowl.
    De 1957.
    Adry de Carbuccia à la production.
    On est sur du Tati.

    _ »

    Karim Benzema,
    Lundi 16 Juillet 2018,
    Villa de Roland Courby,
    En présence de Madame La Ministre Marlène Schiappa,
    Sous l’égide.

     

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  • #1978704

    Pour moi les plus grands entraîneurs, sont ces hommes qui trois fois par semaine sur leur temps libre et bénévolement apprennent à jouer aux enfants dans de petites équipes locales. Ils est rare qu’ils tombent sur un bon joueur, mais avec peu de moyens ils font courir les enfants. Voilà, chapeau bas à tous ces inconnus, qui de plus se ramassent les critiques des parents, des enfants indisciplinés. Les millionaires du foot biz, heureusement qu’ils sont bons vu les sommes énormes qu’ils gagnent. Comme pour les femmes, il y a les joueurs et les professionnels. Quand à Zidane, s’il était resté en Kabylie, il aurait été commerçant ou garagiste mais certainement pas milliardaire. Il a été exceptionnellement chanceux dans son parcours de vie. Sinon Zidane a été très bon pour Zidane, il se respecte beaucoup, c’est un homme normal qui a une bonne intelligence relationelle et une intuition pour le foot. Les madrilènes n’en ont rien à faire de Zidane, car ils pensent qu’au prix où sont leurs joueurs n’importe qui doit gagner.

     

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  • Certains faits sont inaudibles quand Zidane est le sujet :

    1. Sa transformation physique à la Juve et ses aveux en tant que témoin dans l’affaire du dopage à l’EPO, entre autre

    2. Son coup de boule qui est tout simplement impardonnable car il coûte un titre majeure à l’EDF (faut-il rappeler que les finales ne comptent pas ? La Juve à fait 6 finales de LdC pour une victoire...)

    3. Rien sur ses conquêtes (on dirait un moine...)

    Son talent exceptionnel lui épargne tout. En tout cas ce qu’il a accompli avec le Madrid CF est tout simplement époustouflant.

    PS : c’est Cantona et non pas Platoche qui a qualifié le gros DD de porteur d’eau.

    The water carrier, as he was flippantly known after one of Cantona’s choice expressions to describe a playing style based on doing the leg work for those with more creative talent, now holds the hopes of his nation in his hands.

     

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    • 3. Rien sur ses conquêtes (on dirait un moine...)




      Des conquêtes extra-conjugales ??!!! Et ceux qui seraient fidèles à leurs femmes (et leur enfants) seraient des « moines » ?!...

      Depuis quand tout le monde baise à droite et à gauche en France ? Éteignez la télé...

      Et bien sûr systématiquement la vie privée des grands joueurs est scrutée à la loupe ? Les journalistes sont vraiment mauvais, mais cela n’est pas encore le cas des lecteurs qui acceptent difficilement que des articles raclent les fonds des chiottes ou filtrent les eaux usées des égouts, en France en tout cas...

      Il y a de nombreuses stars du showbiz connus pour fréquenter les clubs échangistes sans que leur vie privée soient étalées dans les journaux... sûrement parce que les français s’en foutent de la couleur de la culotte des voisins...

      Vous en profitez du coup pour fabriquer de la rumeur sur l’absence de rumeurs, vous êtes vraiment un bon...

      L’inaudibilité est souvent une question de distance... À tout hasard, si vous vous entendez des voix : essayez de les congédier quand elles sont trop bavardes. Dites leur (pour les esquiver) que vous voulez dormir et que vous leur repparlerez demain, sans faute...

       
  • L’article n’a pas parlé de la reoxygenation du sang

     

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  • En pleine gloire et la liga

     

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  • N’oublions pas l’empoisonement possible de Ronaldo lors de la finale 1998.

     

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