kontrekulture.com | Juillet 2009 | Alain Soral |1 | SocialSociologie |
Misères du désir, c’est un beau titre. Quand on pense à toutes les emmerdes que vous attire l’entreprise de conquête sexuelle : humiliation du « non », frais de table, maladies vénériennes, mariage, divorce et pension, prison pour pédophilie, voire pire... on se dit, comme Bertrand Cantat, que s’abstenir eût été préférable. Qu’on se contente seulement d’écrire sur le plaisir, comme certain puceau lettré (...)
kontrekulture.com | Mars 2017 | Félix Niesche | Société |
Don Juan, comme il se doit, coule en bonne compagnie des jours éternels en enfer. Pour l’éternité ? Pas vraiment. Car Sathan et le Démiurge, après d’âpres tractations, décident de le renvoyer séjourner sur terre. Heureux de retrouver sa vie mouvementée et sa chère Elvire, voilà qu’il arrive… en enfer ! Car la libération de ce qui fut le beau sexe l’a rendu laid et sans attrait, et Elvire, bien que toujours (...)
kontrekulture.com | Février 2015 | Otto Weininger |1 | PhilosophieScience |
« La méthode qui consiste, plutôt que d’opposer des raisons à des raisons, à taxer le détracteur des femmes de misogynie, a de grands avantages. La haine empêche de bien voir son objet, et prétendre d’un homme qu’il a en haine l’objet sur lequel il prononce un jugement fait peser sur lui le soupçon d’insincérité ainsi que d’incertitude dans les idées, qui fait remplacer les raisons solides par l’hyperbole et (...)
contrepoints.org | Novembre 2017 |23 | ScienceSociété |
Une étude permet d’identifier ce qui fait un profil Tinder séduisant et ce qui au contraire réduit vos chances de « matcher ». Fondée par Whitney Wolfe en 2012, Tinder est l’une des applications sociales les plus populaires – et les plus sulfureuses. Une fois connecté avec votre compte Facebook, l’application charge votre photo et vos informations de profil (prénom, âge, sexe, profession). Vous (...)
RDP | Novembre 2017 |40 | Société |
« La confusion entre harcèlement et drague de rue (vue par une femme) » : une vidéo de Virginia Vota.
E&R | Janvier 2016 |177 | MédiasSport |
Il s’appelle Chris Gayle, il est jamaïcain, batteur, non pas de reggae mais dans une équipe de cricket, il est interrogé par Mel, une superbe journaliste australienne (nous sommes en Australie), qu’il a la faiblesse de draguer pendant 10 secondes, entre deux questions bateau, comme toutes les questions des journalistes sportifs (un des métiers les plus cons du monde). Voici le petit échange (...)
tempsreel.nouvelobs.com | Décembre 2017 |87 | ÉducationFuturSociété |
Après l’affaire Weinstein, nous avons eu envie de faire un tour à Berlin. Pour comprendre. Dans le brouhaha et la pénombre du bar, un grand blond me regarde. Un t-shirt noir met en valeur ses yeux bleus et ses muscles travaillés. Il est beau et il me regarde fixement. Je soutiens son regard fixement aussi, c’est pour le travail. Wow wow wow. Chaud chaud chaud. Et donc après ça ? Rien. (...)
#NIPNIC | Mai 2016 | Alain Soral |53 | Sociologie |
#NIPNIC revient avec une émission estivale idéale pour les célibataires ! La drague est-elle un art ? Est-elle différente de la séduction ? Quels sont les codes français dans cet exercice social ? L’amour a-t-il sa place dans cette quête sexuelle ? Alain Soral, auteur du seul livre sociologique sur le sujet, paru en 1995, répond à nos questions. Réagissez sur Twitter avec le hashtag #NipNic ! (...)
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"il est toujours nécessaire de savoir se servir de ses mains"
Oui encore aujourd’hui...
@post-modern blues
Tendu mais ferme comme dit le boss
Je n’ai qu’une petite trentaine mais tout cela me répugne car j’y vois les prémices de l’abrutissement qui aujourd’hui est total.
La naïveté ici perceptible est coupable, alors qu’en cette même époque beaucoup étaient déjà éveillés à un point que je ne saurais décrire.
J’ai mis plusieurs années de dépression, d’isolement, de remises en question jusqu’à la folie pour exorciser ces préceptes qui m’auront été inculqués par l’air ambiant, et retrouver un semblant de dignité par l’antique, le médiéval ou encore le « pré-68isme » qui avait l’aile aussi légère que l’oeil acéré.
Pourriez vous donner plus de détails ? À présent vous aimez de fin’amor ? Où trouvez vous des filles qui n’appellent pas la police ?
À présent je suis marié, avec un enfant !
(je précise que je ne parlais pas seulement de la « drague », mais aussi du goût artistique, des valeurs, de la mentalité générale qui dicte comment occuper son temps libre, pour peu que l’on travaille...)
Certes, il y avait des jeunes originaire du Maghreb dans les années 80 mais beaucoup moins qu’aujourd’hui. C’était encore une époque agréable et saine pour les rapports hommes femmes. La société n’était pas encore pourrie par le féminisme, le LGBTisme, la théorie du genre et la violence des islamo-racailles.
Attention aux regards en arrière. Le féminisme était déjà bien présent. Demandez à Alain Soral ou à quelqu’un d’un peu lucide sur cette époque et qui l’a vécue.
Il est d’ailleurs piquant de voir les progressistes se croire encore à l’avant-garde d’un combat d’avenir après 30 ans de militantisme derrière eux/elles.
Les années 70 et 80, c’est la "Working Girl" Sigourney Weaver, la "warrior" Sigourney Weaver (non le disque n’a pas sauté...), la princesse Leia chef des rebelles. Et je ne parle pas du "droit" à devenir caissière chez Mammouth (qui écrase les prix ! Et les salaires, oh, oh, oh...), le "droit de voter pour le libéralisme ou...le libéralisme. Le droit d’informer : Anne Sinclair, Christine Okckrent. De divertir : Dorothée (avec ses potes Azoulay, Haim Saban....).
Au fait, vous avez remarqué un truc ? Il manque quelque chose là, non ? L’islamisme. Il n’existe tout simplement pas à cette époque. Enfin, il est très loin (Iran, Palestine), mais n’a strictement rien à voir avec celui qu’on nous a vendu depuis. On a droit à Smaïn et Sidney ( https://www.youtube.com/watch?v=cZ1... ).
Il y aurait encore beaucoup à dire. Une émission sur cette époque (L’heure la plus sombre nouvelle version ou une autre ?) serait la bienvenue avec quelques figures d’E&R et pourquoi pas d’autres témoins autour d’un diabolo menthe....
Les années 80 etait sexe, drogue, alcool et sida !
Arrêtez les clichés !
Sortez de vos trous à rats... et revenez au réel !
La drague, les flirts, les baisers, etc... existent toujours et je suis très bien placée pour en parler.
Je suis une jeune femme de 26 ans et je me fais souvent draguer par des hommes de tous âges... On m’ouvre des portes, on me laisse passer, on m’aborde... Donc, ne croyez pas que mon époque ne vaut rien. Certes, c’est différent dans le sens où il n’y avait pas les histoires de transgenres... pas autant de migrants, mais il y a encore des régions françaises saines !
Les hommes désirent toujours autant les femmes et les jeunes femmes n’attendent que ça !
Par contre, après 40 ans, il est préférable pour la femme de se tenir à carreaux et ne pas singer la jeune, qui elle, est la mieux placée pour apporter de la fraîcheur, de la folie, de la joie et de belles galipettes ! Mais de toutes façons, les hommes préfèrent la rousse pétillante... même si à la base elle est brune "décolorée !"
J’avais 5 ans, encore un peu jeune. Mais les années 80 furent l’expansion du libéralisme. Le sida est là, canal plus avec le foot et le porno, l’Europe comme simple marché unique, les casses sociales s’enchaînent, Tapie à la télé, la drogue se diffuse, BHL envoie "l’idologie française", et Touche pas à mon pote : les goyim sommés de mettre leur main jaune à leur boutonnière. Non je ne suis pas nostalgique de ces choses là.
Jeune breton catholique, je découvrais mon hétérosexualité par les centaines de paires de seins sur les plages de Larmor et de Ploemeur. J’étais horrifié de voir une femme fumer ou boire une bière. Je n’aime toujours pas cela.
J’avais 20 ans à l’époque et je me rappelle bien de l’été 82 puisque j’y ai rencontré ma future femme. Pour moi, le truc qui a changé, c’est qu’il y a plus de monde aujourd’hui pour moins de richesse, d’où les tensions sociales, les divorces, les déchirement familiaux, etc. Mais le rapport hommes-femmes lui, n’a pas fondamentalement changé.
Des relations frivoles produites en série dans une boîte avec la même musique et la même danse pour tout le monde dans le même contexte, c’était après libération sexuelle.
Maintenant les relations sont "plus que frivoles" et produites en masse par millions, voire milliards : ce qui compte c’est d’avoir un profil "Instagram" dont on pense qu’il plaît et ça s’arrête là, dans le narcissisme total.
Par rapport a certains commentaires...
Cette géneration (la Generation X) n’a pas vraiment accepté ce basculement, mais l’a subie, basculement imposé par les Baby Boomers... la Géneration X représente le nihilisme et la résignation des années 80-90, une génération sacrifiée par la précédente.
Dans le reportage on parle de l’avenement de la "Boite", qui est une "enclosure", une incarceration, de la rencontre amoureuse (involontairement bien décrite par le sketch de Bigard "le lacher de salopes")... naissance d’une humanité de plus en plus aliénée.
Pour paraphraser Pierre Rabhi, le monde moderne c’est aller au "bahut", pour travailler en "boite", conduire une "caisse" pour faire des rencontres en "boite" en attendant d’etre enterré dans une boite.
J’avais 7 ans en 1982. Mais je n’éprouve aucune nostalgie pour les discothèques de mes années d’adolescence à moi, les années 1990. Elles étaient encore essentiellement la même chose que ces autres discothèques des années 70 et 80 : disco dans les années 70, pop dans les années 80, techno dans les années 90... mais tout ça c’est pareil, c’est la continuité du même vide, le même néant.
Le biniou en Bretagne, la cabrette en Auvergne, le tambourin catalan... on ne compare pas les bals de village, le folklore perdu de nos aïeux, avec toute cette dénaturation des rapports homme-femme en milieu urbain. L’argot ne s’est pas trompé avec le surnom donné aux discothèques : tout ça c’est de la mise en boîte.
C’était mieux avant, les femmes pédalaient et les hommes se relaxaient à l’arrière. LOL
@Don Diego de La Nanas...................eh ouais, comme disait Gégé dans Les " Valseuses ", décontracté du gland !