Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Action du 5 décembre : les syndicats ont-ils encore la force de faire plier un gouvernement libéral ?

Ça fait 20 ans que les gouvernement libéraux essayent de réformer le régime des retraites, arguant qu’il y a trop de niches (mais pas trop de riches) et de faveurs fiscales. Premiers visés, les cheminots, qui ont comme les militaires un régime un peu spécial, comprendre avantageux. Mais les cheminots ne l’entendent pas de cette oreille et ils sont encore très organisés en syndicats, des syndicats qui s’opposent frontalement au gouvernement. Même la CFDT est du côté des travailleurs, c’est dire !

 

Mais il ne s’agit pas que de trains, il y a aussi l’hôpital, l’école, les pompiers, les policiers, bref, tout le service public s’agite et veut faire entendre sa voix dans ce qui se prépare. Et que prépare le duo Philippe-Macron ?

 

 

C’est la lutte des classes : le Premier ministre, qui travaille pour les puissances économiques et financières, veut sauver le profit et donc faire travailler les Français plus longtemps, sous prétexte de déficit de la Sécu, l’élément de langage habituel destiné à faire culpabiliser les travailleurs. En gros, si vous voulez toucher une retraite (presque) décente, il vous faudra ajouter deux ou trois ans de boulot à vos 41 ou 43 années de labeur. On a vu le résultat en Angleterre, les rois du chômage en dessous des 5 %, le pays de cocagne où des octogénaires aux retraites squelettiques sont obligés de faire vigiles ou gardiens de musée.

 

 

Après de telles annonces, qui sonnent comme une déclaration de guerre au peuple, c’est le branle-bas de combat sur le navire syndical. Les organisations de travailleurs sortent les canons, les sacs de poudre et les boulets. Mais on sait aussi que ces mobilisations, si elles ne sont pas suivies par le privé, ne font pas avancer les choses : tout le travail sournois de ces gouvernements successifs néolibéraux consistant à réduire la part du public dans le budget de l’État, d’éteindre les syndicats sous les subventions et de limiter la réponse sociale en l’étouffant par exemple sous une propagande médiatique inepte.

Il y aura donc des manifs, après le 5 décembre, des trains qui restent en gare, des profs absents, mais cela ne changera pas grand-chose, d’autant que les syndicats n’ont pas soutenu massivement les Gilets jaunes, sauf pour récupérer le mouvement et le gauchiser sur la fin.

Mais les mentalités évoluent : Sud Rail propose un petit changement dans les blocages...

 

 

Effectivement, l’axe du gouvernement c’est la division entre les Français qui cotisent peu et ceux qui cotissent beaucoup, entre les nantis et les autres, les vrais et les faux nantis ; bref, il s’agit de casser la solidarité nationale, de casser une solidification éventuelle du mouvement social, et une convergence possible avec les ultras des Gilets jaunes, qui sont devenus des antilibéraux radicaux.

Élu avec 66 % des voix en 2017 sur une manipulation de l’opinion – qui montre là ses limites cognitives –, le président Macron a contre lui les trois-quarts des Français, qui se rendent compte dans leur quotidien des nuisances du libéralisme sur les services publics, c’est-à-dire le patrimoine de ceux qui n’en ont pas.

 

 

Une minorité de Français, ceux qui ont gagné dans la mondialisation, croit encore les salades du gouvernement. Pour le reste, c’est le rejet :

 

 

Les syndicats tirent leurs dernières cartouches au moment où, sur un an et 52 samedis, une mobilisation naturelle des Français a montré sa puissance et sa volonté. Les syndicats, eux, ne donneront jamais l’ordre de marcher sur Matignon ou l’Élysée, et c’est la limite de leur pouvoir. La « démocratie » est un régime qui interdit son propre renversement. Pourtant, il y en a qui ont pris le pouvoir par des coups d’État, en France, sous la Ve République : par exemple Sarkozy en 2005-2006, qui a joué sur le curseur de l’insécurité. Il avait la hiérarchie policière dans la poche, qui a quelque peu levé le pied sur la répression, histoire de faire monter la peur...

 

Pour savoir ce que le peuple français va perdre face aux forces de l’oligarchie, voici le grand entretien complet du Premier ministre représentant les forces néolibérales intéressées par la destruction des services publics, chez le duo soumis et complice Demorand & Salamé avant la revue de presse d’Askolovitch... Parlons peu, mais parlons vrai.

« On va devoir travailler plus longtemps, je crois d’ailleurs que les Français le savent... »

Parce que c’est les journalistes de collaboration qui le serinent dans les médias mainstream du matin au soir !

 

 

Conclusion et morale

Les Gilets jaunes étaient et sont motivés pour renverser le régime libéral (expression plus juste que régime démocratique) mais ils ne sont pas encore suffisamment organisés ; les syndicats sont organisés mais n’ont aucune intention de renverser un régime qui les finance en partie (à 70 % puisque les cotisations des salariés encartés ne dépassent pas 30 % du budget des syndicats).

On rappelle qu’à la naissance des syndicats, il y a un peu plus de 130 ans (en 1884 Waldeck-Rousseau autorise leur création et en 1895 le premier vrai syndicat révolutionnaire est créé), l’objectif, à l’époque, est bien de renverser un gouvernement bourgeois qui travaille contre les... travailleurs.

On le voit, en un siècle, les syndicats ont changé leur arme d’épaule, ils ont été retournés par le Système. D’où l’avenir d’une mobilisation à la Gilets jaunes. Ce n’est qu’un début...

Le syndicat, une lutte sous contrôle ?

 






Alerter

68 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

Afficher les commentaires précédents
  • #2327709

    - Le gouvernement représente l’état
    - Les élus représentent la nation
    - Les syndicats représentent les salariés
    - Les avocats représentent les clients
    - Les associations représentent les consommateurs

    Si les Français étaient adultes, ils se passeraient de tous ces représentants qui coûte cher. Mais le refus de grandir est très puissant dans notre pays d’adulescents alors ces professions ont encore de beaux jours devant elles. Le 5 décembre est une parade nuptiale entre représentants.

     

    Répondre à ce message

  • Arrêtez avec ce mot « libéral »
    la France c’est pas un état libéral on est plutôt proche du communisme que du libéral et du capitalisme.
    d’ailleurs on est classé dans les 80emes au niveau de l’indice de liberté économique mondial, encore pire que le Guatemala ou l’Indonésie.
    essayez de créer une société, montez un projet une entreprise vous verrez si on est libéraux. On a même pas commencé à faire rentrer les euros l’état vient déjà nous racketter du fric. Et une fois un type embauché en CDI impossible de le virer même si c’est une tanche ou qu’il picole.
    On a rien de libéral mais on va vers ca et pour certains ca va leur faire tout drôle

     

    Répondre à ce message

    • M29
      Te fais pas de soucis on sait parfaitement ce qu’est le libéralisme.
      Par contre toi tu ne sais pas ce que c’est le communisme, donc étudie la question sérieusement et ensuite tu pourras revenir sur tes approximations après réflexion logique.

       
    • m29
      La frange intellectuelle de "gôche" dont le capital consent à stipendier, trahit généreusement le prolétariat, constitue l’ossature de la culture de cour, on n’en fini pas de les entendre jacasser.
      Les crétins universitaires du dressage social, n’ont cessé de pervertir Marx.
      Althusser, Deleuze, Foucault, toute la french théorie accueillie à bras ouverts par les universités US.
      Passons sur l’école de Francfort (trop long).
      Les plus anti Marx viennent de la "gôche".
      Pour terminer beaucoup de néo-libéraux viennent de la gauche et surtout du socialisme, la preuve par le fait.

       
    • DavM29. tu n’as jamais entendu parler du néo-liberalisme avec entre autres les thèses de Keynes puis de la Fabian Society (qui n’a de socialiste que le nom et qui géo politiquement accouchera de la Round Table de Rhodes et Milner) : c’est la théorisation de l’utilisation de l’état par un libéralisme coincé par la baisse tendancielle des taux de profit et l’action anti libérale des monopoles ; il s’agit de laisser les recettes privées mais faire endosser les déficits par l’état car les libéraux se sont aperçus que sans l’intervention de l’état le sacro saint marché partait complètement en couille (la crise de 29 est le grand point déclencheur avec sa conséquence : le new deal) tu peux appeler ça du socialisme mais c’est un socialisme qui ne fait que socialiser les pertes : par exemple la nationalisation des chemins de fer en France, la création de la sécurité sociale gérée sur le budget de l’état qui rase toujours gratis (et non comme une mutuelle indépendante qui doit assumer ses pertes). comme si l’état te payait tes congés payés alors que cet acquis social a été négocié avec le patronnat français et non avec l’état.

       
  • Ultra libéralisme pour les ultras riches,l’ultra libéralisme pour les prof retraités, les l’ultra bolchevisme pour les PME, l’ultra bolchevisme pour les salariés du privés, et l’ultra libéralisme pour les régimes spéciaux. D’ailleurs pourquoi devraient ils êtes "spéciaux" ces régimes ?
    Avec tous ces ultras libéraux improductifs à la nation, et le régime ultra bolchevique imposés aux autres, nous les gueux qu’on a fait ultra bocheviques sommes bien dans la merde ! Vive le libéralisme pour les fainéants, et le suicides pour les autres sauf les profs

     

    Répondre à ce message

  • #2327857

    Des régimes spéciaux extrêmement déficitaires
    payés par " nos impôts" et qui ont des revendications
    très corporatistes.

    Elle parle de sa caste la Bouzyn, et de son équipe
    de bras cassé qui fait figure de gouvernement.
    À part rajouter de la dette à de la dette, et vendre
    pour "rembourser" cette même dette tout ce qui pouvait rapporter de l’argent à l’État, Total, Alstom,
    EDF, GDF, France telecom, La Française des Jeux,
    La poste, SNCF... etc...
    Les Français comprennent rien au film qui se joue.
    Les banques avec la complicité des politicards ont vendu la France et son modèle social.
    Il n’y a plus grand choses à vendre et les prochaines étapes sont encore plus d’ impôts,
    une hyper-inflation des biens de consommations
    jummelé à une déflation des salaires dans
    une économie sans croissance. Stagflation.

    Ça sera le fameux "vivre ensemble" mais
    chacun pour soi.

     

    Répondre à ce message

  • #2327971

    avec ce qui se profile a l’horizon,
    les jets de cacatov c’était le club Med a côté !
    Les Macron l’Allemand, Çastagnette, Hidalgo, Benalla, Hulot, Banditkohn, déjantés ont mis le feu grave !
    Ils se cachent derriére les institutions, mais rien n’arréte une foule blessée, éborgnée, humiliée, réduite a la misére !
    Drouet, Fly, la petite en Sky, et les GJ ne se sont pas revoltés par hasard,
    Rien ne bouge !
    On s’attaque a nos défenseurs de nos libertés, nos amis, a la loyauté et au courage d’un Soral et d’un Dieudo !
    L’Etat n’évolue pas, nous oppresse, ne se réforme pas, ne nous entend pas.
    L’Etat Macron c’est du spectacle, de la scéne, de l’autocontement pour eux, mais l’immigration sauvage, l’insecurité, une vie misérable pour nous les français, c’est tout. La situation est chaud-bouillant...

     

    Répondre à ce message

  • Le 5 décembre est une tentative de phagocyter la colère qui monte par les syndicats pour éviter un retour à un niveau de radicalité supérieure de ce qui a fait la base du mouvement des GJ. A bas les syndicats, vive la grève sauvage !

     

    Répondre à ce message

  • Cette réforme est mauvaise, mais ce n’est pas une réforme libérale puisqu’il s’agit au contraire de centraliser toutes les retraites au niveau de l’Etat. Qui, comme chacun sait, est un mauvais gestionnaire...
    Le libéralisme consisterait à ce que les gens se regroupent et s’organisent entre eux, mar professions, pour mutualiser leur retraite comme ils l’entendent. Un système qui existait avant guerre avec une multitude de sociétés mutualistes qui fonctionnaient si bien que certaines (SNCF etc...) n’ont pas voulu rejoindre le "régime général". C’est là l’origine des régimes spéciaux. Le problème, c’est que leurs caisses ne sont plus autosuffisantes...

     

    Répondre à ce message

    • Pas une réforme libérale ? Ha bon pour le coup on se croirait au pays du socialisme réel.
      En tant que parano pur jus, je pense que tout cela va prendre la direction du marché une fois la besogne achevée, de quoi se faire un bon paquet de pognon à spéculer.

       
    • comme on le voit dans les remarques anti-libérales...l’ homme de gauche, est plus fort pour comptabiliser les ressources d’ autrui que le coût qu’il représente lui, pour la collectivité !
      les autorités nous présentent une équation impossible à résoudre, car le fameux pouvoir d’ achat en berne est surtout et essentielement miné par la fiscalité (plus que par toute autre facteur).
      pour faire simple, la même qualité de vie il y a 30ans, coûte 3 fois plus chère aujourd’hui et les petits revenus n’ ont pas ou peu progressé.
      exple 1 : en Russie, le taux d’ imposition est de 13% des revenus pour tout le monde...donc si tu veux/peux bosser plus, tu peux facilement te projeter financièrement.
      exple 2 : aux USA, l’ impôt va de 10 à 37% et avec une TVA de 0 à 7,5% !!!!! (selon l’ état)

      comparez à ce qui ce fait chez nous, vous allez vite comprendre ou va l’ argent des taxes et impôts : la fonction publique !

      alors à côté de ça, bien sûr que les disparités salariales et autres concentrations des retombés financières ont complètement dérapés, mais ce n’ est pas 1 sujet de gestion des comptes publics, c’ est 1 sujet de morale économique globale.

       
    • Ce n’est pas un bon exemple d’opposer privé/public, c’est l’antienne du pouvoir, le secteur public, serait la cause de dépenses superflues.
      Il faut aller à la racine du problème et c’est la VALEUR, dont la crise lui est subséquente.
      Or l’accumulation de capitaux survit essentiellement de nos jours sous forme de simulation, crédit et spéculation (argent fictif) qui ne sont pas le résultat d’une valorisation réussie à travers l’utilisation de la force de travail.
      Les emplois de services ne sont eux aussi pas une solution, car subventionnés indirectement par l’Etat.
      La cause du problème provient de ce que le secteur productif ne peut plus utiliser suffisamment de mains d’oeuvres à partir de ce constat l’équilibre est rompu et le capitalisme bute sur une limite.
      Moraliser le capitalisme dans ces conditions relève largement de l’utopie, le capitalisme c’est produire pour faire encore plus d’argent, (A M A’ formule du capital) (M A M formule de l’échange) la production n’est que le médium nécessaire pour faire du profit, que l’on produise des bombes ou des jouets.

       
    • pas d’ accord avec toi guiguitte,
      tu voudrais que des masses d’argent virtuel concourent au financement de l’ état providence, alors que "dans le même temps" tu dénonces l’ illégitimité de sa valeur (ceci dit je suis d’ accord avec toi sur le fait que la VALEUR du labeur ne devrait pas être égal à la valeur de l’ usure)...
      mais n’ étaient-ce les profs d’ éco qui nous enseignaient que l’ économie spéculative, n’ interfère pas vraiment avec l’ économie productive ? (la gauche des années Jospin) les pitres !!!

      restons sur le plan sociologique : les fonctionnaires nous ont trahi, sucé jusqu’à la moelle ! Telle la secte qui les dirige, ils se marient entre eux, se succèdent de pères en fils, et ne se tournent jamais vers le peuple si ce n’ est pour pleurnicher sur leur sort ou le spolier à coup de réglementations....alors que ce soit la SNCF, les flics, la RATP, les profs, EDF et autres petits malins de la république, leur statut qu’ils se le carre ou j’ pense parce que leur service public c’ est du travail de merde de toute façon !!

       
    • On ne parle pas d’interférences entre spéculatif productif, si tu m’as bien lu, je ne vais pas expliquer ce qu’est une entreprise zombie, pour le coup ça interfère vu la proportion (45%), et la dette des entreprises représente également un risque, mais passons.
      La valeur FICTIVE ne remplacera jamais la valeur réussie par l’utilisation de la force de travail.
      Le capitalisme n’existe pas à l’état de nature ; c’est un processus de socialisation crée par l’homme et qui s’est autonomisé (capital automate).
      Je ne vais pas reprendre, mais d’aucuns s’accordent pour faire remonter le début de la crise, vers les années 70, au delà de la fin de la parité $/Or, c’est surtout la fin de l’équilibre fordiste.
      Bizarre non ?
      10 ans plus tard c’est la montée des marchés en puissance, comme c’est étrange !
      Ton histoire de fonctionnaires est une c......
      Sauf à ramener tout le système au début du 19ème.

       
  • #2328318

    J’aime bien le « On va devoir travailler plus longtemps, je crois d’ailleurs que les Français le savent... » de Edouard Philippe.
    Venant d’un gars qui n’a jamais bossé et qui se gave sur les deniers publics depuis lustre,c’est assez cocasse je dois dire.
    Une réforme des retraites mise en place par des gens qui n’ont jamais bossé,c’est le cas pour toutes les autres lois ou réformes d’ailleurs.
    Cette réforme ce n’est qu’un clou de plus sur le cercueil de la France,par ailleurs un pouvoir ou un gouvernement ne peut faire des réformes qui si il est soutenu et c’est le cas en France.
    Il faut savoir ce qu’on veut,pour faire tomber un pouvoir comme celui qui dirige la France,il faudra immanquablement faire des sacrifices et ce qui aurait le plus de poids et de force face à la machine qui dirige,c’est de l’attaquer au porte-feuille.
    Cela n’arrivera pas comme on voit bientôt le voir pour noel et le nouvel-an:consumérisme débridée.
    La vérité est que les français sont remarquablement bien dressée et sont remis dans le rang sur une oreille dépasse(gilets jaunes).
    Le bol est déjà rempli en France avec le mariage homo,le féminisme,la théorie du genre,l’explosion du chômage,des territoires abandonnés,l’échangisme,la multiplication des divorces,l’explosion de la famille,la délinquance,la violence urbaine,la dette...il est écrit que la France ira au précipice,c’est le prix à payer pour s’être renié.
    Cette réforme des retraites ne sera pas la dernière vous verrez.

     

    Répondre à ce message

  • Il faut cesser les privilèges des élus.... et vous verrez toutes les économies que le pays feraient... sans parler des salaires de tous ces élus à vie....

     

    Répondre à ce message

  • #2328946

    Les infirmières se suicident
    Les policiers se suicident
    Les paysans se suicident
    Les profs se suicident
    Les cheminots se suicident
    Les chômeurs se suicident
    Les étudiants se suicident
    Que des blancs fragiles !
    Les pauvres !

     

    Répondre à ce message

Afficher les commentaires précédents