Egalité et Réconciliation
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Laetitia Avia et Cédric O veulent écraser la liberté d’expression ? Elle les écrasera

Prologue : la haine promulgue une loi contre la haine

 

 

 

 

L’Histoire nous apprend que le pouvoir profond trouvera toujours des larbins sans convictions ni sens de l’intérêt général pour endosser les lois liberticides. Il suffit pour cela d’être un peu vénal, un peu vaniteux, ou un peu pervers. Dans tous les cas en service commandé. On a eu Gayssot, on a Avia. Ils sont là pour prendre les coups à la place des Autres.

 

 

 

Au moins, grâce au concours sacrificiel de Cédric & Laetitia, les choses sont-elles claires, et claires comme du diamant : le pouvoir fera tout pour criminaliser la résistance des Français à l’avancée du néolibéralisme à tendance socialo-sioniste en France.

Pour cela, une loi a été nécessaire qui, comme toutes les lois pondues par l’exécutif mais portée par le faux-nez de service, est passée devant le Parlement. Et comme en République le Parlement est désormais aligné sur Matignon et l’Élysée, on a là un pouvoir législatif et exécutif visible tranquillement totalitaire, qui peut proposer et se voter n’importe quelle saloperie, une loi contre sa critique comme une loi contre sa possible mise en accusation. On sait à quel point la bande Philippe-Belloubet-Castaner-Nuñez-Pénicaud-Salomon craint le retour de bâton à propos de la politique sanitaire et ses conséquences économiques. On pourrait ajouter Macron, mais il est un peu dans les nuages... Quant à Kohler, il sait rester en arrière, dans l’ombre, en régie générale.

 

 

Disposant de tous les leviers de pouvoir, les néolibéraux cachés derrière l’appellation LREM, après une auto-amnistie bien vicelarde évitée de justesse, se sont donc voté une loi pour éteindre toute réaction critique à leur politique criminelle, on ne voit pas d’autre mot dans le dico. Inique, c’est faible ; injuste, bateau. Le parlementarisme entre là en contradiction avec la démocratie : pendant qu’une équipe comme celle de Kohler-Macron-Philippe est au pouvoir, les Français ne peuvent rien faire pendant cinq longues années. Et ces années seront longues : on n’en est qu’à la troisième, et ces corrompus ont déjà mis la France en pièces. C’est leur job, ce n’est pas un accident, et ça ne date pas non plus d’hier, puisqu’avant eux les couples Hollande-Valls et Sarkozy-Guéant avaient fait la même chose. Découper la France, la vendre au plus offrant, réduire les libertés publiques sous prétexte de terrorisme, insuffler des peurs, gâcher la vie quotidienne de millions de Français, augmenter les inégalités, réduire les revenus des plus pauvres et augmenter ceux des plus riches, pas la peine d’égrener, tout le monde connaît le programme néolibéral mondialiste.

Passons au résumé du vote par Le Monde :

Ce texte a été vertement critiqué, tant par les députés, de droite comme de gauche, que par des instances comme le Conseil national du numérique, la Commission nationale consultative des droits de l’homme ou des associations comme La Quadrature du Net. Tous accusent ce texte de faire reculer la liberté d’expression en confiant à des acteurs privés d’importants pouvoirs en la matière. Les opposants au texte craignent notamment que, par peur des amendes et en l’absence de sanctions significatives pour « surcensure », les réseaux sociaux soient incités à supprimer des contenus pourtant légaux. La relative absence du juge garant des libertés individuelles dans le dispositif a aussi fait polémique.

À l’inverse, Laetitia Avia et Cédric O, le secrétaire d’État au numérique, estiment que ce texte a « atteint » l’équilibre entre liberté d’expression et « efficacité » et va pouvoir mettre fin à « l’impunité » qui régnerait en ligne au sujet des contenus haineux. La majorité ainsi que les députés UDI-Agir ont pour la plupart voté en faveur de cette « proposition de loi de responsabilisation » des plates-formes, et les socialistes se sont abstenus. Inquiets pour la liberté d’expression, les parlementaires de droite, de Libertés et territoires, de La France insoumise et du Rassemblement national s’y sont opposés, dans une ambiance houleuse.

 

À notre tour de faire une proposition de loi contre la haine, mais ce coup-ci sur les médias mainstream : haine contre les Français, les pauvres, les beaufs, les nationalistes, les Gilets jaunes, les hétéros blancs de plus de 50 ans (HB50+), les antisionistes, les mal-pensants, les cultivés, les excellencistes, les aristocrates, les racés, les insoumis.

Et à propos de natios et d’insoumis, nous avons relevé sur le site de l’Assemblée nationale que très peu de députés se sont opposés à la loi Avia pour sauvegarder la liberté d’expression, déjà bien entamée par les associations antiracistes et communautaires sionistes. Il y avait quelques LR, des France insoumise et des Rassemblement national. Grâce leur soit rendue, même si l’arithmétique les condamne à faire de la figuration. Dans cette « résistance » parlementaire, Emmanuelle Ménard, député RN de la 6e circonscription de l’Hérault et épouse de Robert, maire de Béziers, s’est particulièrement illustrée :

L’alinéa 17 donne intérêt à agir aux associations pour exercer spécifiquement les droits de la partie civile pour poursuivre ce délit. Or, c’est leur donner un pouvoir exorbitant. Ces organisations s’érigent en juges et, de facto, en détenteurs du bien. Elles font des actions en justice leur fonds de commerce et sont devenues les défenseurs de l’ordre établi. Elles s’affichent comme les défenseurs de la liberté d’expression quand elles sont en réalité ses pires ennemies, les meilleurs instruments de la censure.

L’alinéa 17 n’a pas été supprimé, l’amendement du député a été rejeté. Les chiens français aboient, la caravane sioniste passe.

 

Résumé du problème

Un groupe a mis la main sur l’État il y a trois ans à la faveur de l’élection du président de la République. Ce groupe a ensuite voté loi sur loi en défaveur de la majorité des Français (réforme des retraites, état d’urgence sanitaire, loi contre la liberté d’expression sur l’Internet). C’est le hic de notre système dit démocratique, qui installe aux postes de responsabilités des politiciens qui se transforment très rapidement en oligarques, c’est-à-dire en une minorité qui ne travaille que pour ses intérêts et ceux de ses alliés.

Les Français sont marrons : ils ne peuvent rien faire, s’opposer à rien, et ne peuvent même pas réagir (répression contre les Gilets jaunes, répression sur le Net). Le système « démocratique » se transforme donc en système totalitaire avec des écrans démocratiques, avec ce fonctionnement par exemple parlementaire qui n’a plus aucun sens : les lois pourraient faire l’économie d’un aller-retour Matignon-Parlement (et Sénat) et être votées directement dans le bureau du PM, ou du secrétaire général de l’Élysée. Cependant, moins d’hypocrisie décillerait quelques millions de Français, et le pouvoir visible n’y a pas intérêt.

Les Français en état d’urgence (terroriste ou sanitaire) permanent se retrouvent donc prisonniers d’une bande de malfrats dont les intérêts apparaissent peu à peu au grand jour : domination, certes, mais aussi répression et destruction du patrimoine national au profit d’entités mondialistes antifrançaises, même si elles ont des noms français (la Banque, la Santé). La seule opposition, si elle n’est pas factice, la seule réponse, c’est la violence, directe ou indirecte. La violence directe est celle de la rue, on l’a connue avec les Gilets jaunes. La violence indirecte, c’est celle de l’information, qui précède la violence directe. Violence étant ici entendue comme synonyme de réponse désorganisée, ou non représentée par les organisations classiques de récupération de la colère (syndicats, partis, associations).

 

 

Épilogue : à quoi sert le virus

Les Gilets jaunes trépignent, ils veulent reprendre la guerre. Il n’est pas sûr que le coup du virus les retiendra longtemps.

« Les préfets de l’Hérault et de la Haute-Garonne ont interdit jeudi 14 mai toute nouvelle manifestation des Gilets jaunes qui, après deux mois de confinement dû au coronavirus, avaient appelé à investir les rues samedi à Montpellier et Toulouse.

Les circonstances particulières liées aux mesures nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire, ainsi que l’existence de risques de trouble à l’ordre public et à la sécurité publique, ont conduit le préfet de l’Hérault à interdire le rassemblement non-déclaré et organisé par le mouvement des gilets jaunes samedi à Montpellier, indique un communiqué de la préfecture de ce département.

Le préfet de la Haute-Garonne a pris le même arrêté d’interdiction, compte tenu de l’état d’urgence sanitaire en vigueur, de l’interdiction de tout rassemblement sur la voie publique de plus de 10 personnes, et parce que la Haute-Garonne constitue une zone de circulation active du virus. » (Ouest-France)

Révolte des nations, révolte des nationalistes

Une loi révoltante, qui appelle à la révolte

 






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