Il n’y a pas d’islamophobie. C’est une vue de l’esprit et un jugement de valeur auquel personne n’adhère, sauf les médias, les opportunistes, dont les frangins et les réseaux islamiques.
Il y a une défense de notre qualité de vie qui a disparu avec leur arrivée, provoquée par les truffes qui commandent la politique française depuis la Suisse et l’Angleterre, entres autres, et dernièrement depuis les USA sur de plus en plus de sujet.
On juge qui on veut, comme on veut, avec les infos qui nous semblent pertinentes. Donc oui, l’appartenance à la loge fait de lui une personne indigne de confiance, de facto. De facto.
Mélenchon fait son cirque pré-électoral, comme d’habitude. Il est élu dans les Bouches-du-Rhône, c’est comme si il était un élu du bled. C’est donc par pur intérêt électoral qu’il est allé défiler avec des musulmans et qu’il joue les énervés envers le CRIF.
A d’autres la FI.
Tu n’arriveras à rien avec ta rhétorique à deux balles.
Et "je n’ai jamais vu ou entendu " ça n’est pas un argument. C’est au mieux un aveux de déficience, au pire de la perfidie.
S’il a défilé avec les musulmans, c’est pour récolter des votes et dérouler le plan de triangulation de la population, que la loge met en place depuis des lustres. Le communautarisme est consubstantiel à la loge qui s’appuie sur les divisions mises en place pour dominer, comme tous les parasites.
Mélenchon ne craint rien, sa vie est faite. Il est plus proche de la sortie que de la ligne de départ. Pas la peine d’essayer de le dépeindre en martyr ou en héro d’une lutte imaginaire, ça ne prend pas.
Il garde le troupeau à gauche pour le compte des tauliers, point barre.
Et l’autre triso., mis en selle par Pigasse, est en embuscade pour faire une OPA sur les ruines que Mélenchon laissera derrière lui, sur le flanc gauche de l’électorat.
Voila, on a fait le tour. Mélenchon, c’est fini.
Maintenant, c’est du Lipoune et du Toucan ad nauseum, de force ou de force.
Donc, pas le choix, faut démonter la démocratie actuelle, et l’envoyer en réparation ou supprimer des leviers de pouvoirs aux mafieux, et en donner aux manants.