Au moins, avec Robert Ménard, les choses sont claires : pas de faux-semblants, il est de droite nationale pro-sioniste. Sept ans après son coming out nationaliste (2010), Robert fait son coming out sioniste.
Le maire non-FN de Béziers s’affiche avec Daniel Cohn-Bendit, l’agent mondialiste à l’origine de la révolution orange française de Mai 68, mandaté entre autres pour détruire l’alliance entre le gaullisme et le Parti communiste français.
Robert est contrôlé, pardon, défendu par Gilles-Wiliam Goldnadel, l’avocat qui ne prend pas la parole que dans les prétoires. Béziers est bien le laboratoire du nationalisme français compatible avec la ligne atlanto-sioniste.
Finalement, Robert, décoré en 2008 par Bernard Kouchner, est dans la droite ligne de l’association Reporters Sans Frontières qu’il a cofondée, et qui fustigeait les pays non-alignés sur la grande démocratie américaine...
Je discute avec tout le monde. Même ceux qui me traitent de fasciste. #Béziers #cohnbendit pic.twitter.com/ZajS54cLu7
— Robert Ménard (@RobertMenardFR) 20 septembre 2017