Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

"Le gratin se sépare des nouilles" : Borloo déglingue la politique sociale de Macron

L’auteur du plan banlieues, qui a été abandonné par Emmanuel Macron, ne s’est pas privé de critiquer en public la vision de la société « inefficace et dangereuse » d’Emmanuel Macron.

 

Jean-Louis Borloo prendrait-il sa revanche ? Après avoir rendu son rapport sur les banlieues à Emmanuel Macron fin avril, l’ancien ministre de la Ville avait tenté de faire bonne figure en assurant que ses propositions avaient été reprises par le chef de l’État. En réalité, Jean-Louis Borloo est amer.

 

« Le gratin se sépare des nouilles »

Au cours d’une réunion publique à la mairie de Valenciennes, il s’en est pris à la politique d’Emmanuel Macron. S’il n’a pas cité le nom du président, ses propos ne laissent aucun doute quant à leur destinataire :

« Mon sentiment, c’est qu’on est en train de remplacer le vieux monde des solidarités par le jeune monde des abandons de ceux qui ont besoin de la solidarité », a averti Jean-Louis Borloo, avant de reformuler : « En d’autres termes, il faut faire attention à ce que notre pays ne se retrouve pas dans la situation désagréable où le gratin se sépare des nouilles. »

(Pour entendre la revanche de Borloo, cliquez ici)

 

Et l’ancien maire de Valenciennes enfonce le clou :

« C’est le problème d’une monarchie qui en fait n’a plus de moyens, et ce qui me dérange c’est que les quelques moyens qu’elle a, elle a décidé d’arbitrer pour permettre à ceux qui courent le plus vite de courir de plus en plus vite ». Et de conclure : « Cette vision de la société, je la trouve inefficace et dangereuse. »

Lire l’article entier sur bfmtv.com

 

Le débat à propos de la politique de la ville (c’est-à-dire des banlieues pauvres) sur Drahi TV :

Le gouffre de l’antiracisme pour la nation,
lire sur Kontre Kulture

 

40 ans de politique de « banlieue », voir sur E&R :

 






Alerter

22 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

Afficher les commentaires précédents
  • Abandonner ceux qui auraient besoin de solidarité... Ce ne serait pas plutôt les zones rurales, les agriculteurs, les artisans, les commerçants, les ouvriers et les classes moyennes françaises ainsi que l’ensemble des zones sinistrés de provinces qui n’auraient pas besoin que l’on se penche un peu sur leurs problèmes ?

    Parce que jusqu’à présent ces fameuses banlieues et les allogènes qui les peuplent ont bénéficié d’une aide et d’une attention beaucoup plus accrue et totalement illégitime par rapport au reste de la France, il serait peut être temps de cesser ce cirque et de dire enfin que contrairement aux "quartiers difficiles" comme le dise les médias les vrais français n’ont pas accès à toutes formes d’associations d’aides, d’allocations en tout genre, de mécanismes de discriminations positives et de subventions scabreuses.

    Alors l’indignation de Borloo me fait bien rire surtout lorsque il ose se plaindre du soit disant abandon de la banlieue alors qu’il n’aurait même pas envisager de dépenser ne serait ce que le centième de cette somme pour la province française... Il n’y a pas à dire l’obsession africaine des zélites """"françaises"""" est particulièrement flagrante.

     

    Répondre à ce message

  • #1994840
    Le 28 juin 2018 à 14:52 par la République, assez !
    "Le gratin se sépare des nouilles" : Borloo déglingue la politique sociale de (...)

    « Cette vision de la société, je la trouve inefficace et dangereuse. »

    Et injuste aussi non ?!

    C’est qui les nouilles... gratin mon cul... En tout cas t’es sévèrement gratiné "Borloo ? jamais d’eau !"...

     

    Répondre à ce message

  • #1994863

    Toute la construction sociale des ordonnances de 45, financées par les 30 glorieuses,ne sont plus financées autrement que par l’emprunt depuis le 2ième choc pétrolier, le dernier budget en équilibre de l’Etat datant de cette époque (1974 ?).

    Depuis 40 ans, nous finançons donc la politique sociale par l’emprunt et l’augmentation des prélèvements, le premier venant compléter l’insuffisance des rentrées des seconds.

    Tant que les taux de l’année n+1 sont supérieurs ou égaux à ceux de l’année N et au moins supérieurs à ZERO, on rembourse l’emprunt d’hier par l’emprunt d’aujourd’hui auquel on rajoute une couche d’emprunt pour financer la politique sociale de l’exercice en cours.

    Tout le monde est content : le banquier est pour la démocratie et vote à gauche à donf.

    Dès que les taux deviennent négatifs, plus question de rembourser N-1 à 2% avec des prêts de l’année N à - 2% : on perd 4% !

    Le banquier qui ne s’appelle pas Ste Rita veut qu’on lui rembourse à 2% et lui même veut emprunter à -2% pour faire son marché sur tous les produits dérivés pour faire donner du jus au citron.

    Il vote à la droite de la droite, demande à ce qu’on fusille tout ce qui coute, spécialement les colored et la politiquesocialedestrenteglorieuses, rase le noir, l’arabe, les retraites de mamie, supprime la télé des détenus, le chauffage des juges, les traitement de fonctionnaire et même le budget de l’armée....pour sauver sa peau.

    Or,

    Celui qui est en découvert à sa banque, loi bancaire immuable, ferme sa gueule.
    2000 milliards de découvert en 40 ans, le banquier tousse.

    Donc,

    Mamie, le fonctionnaire, le malade, l’assisté, le RSA professionnel (et même l’amateur), le mendiant, le clando, le colored, les sans dents,

    tous ceux qui ne s’habillent pas avenue Montaigne vont souffrir (souffrent déjà, ce n’est qu’un début).

    Parce qu’ils vont continuer à payer la protectionsocialedestrenteglorieuses mais ils ne vont plus en profiter.

    C’était ça la blagounette , fô payer les arriérés.

    2000 milliards.

    Je peux même vous donner la procédure d’abattage des poulets : un par un.

    Une minorité par minorité à l’intérieur des minorités.

    Comme pour les dissidents :

    On blesse Soral. Cassen respire. On tue Ryssen.
    On gracie Soral, on tue Cassen
    On tue Soral au nom de l’égalité de traitement du à Feu Cassen et Feu Ryssen.

    Je peux mêm vous donner le résultat final : la protection sociale des trenteglorieuses ce sera Berlin en 1945.

    Ne votez pas
    Ne cotisez plus
    Ça ne sert à RIEN.

     

    Répondre à ce message

  • A lire vos commentaire, je vois que certains n’ont pas eu vent de l’origine de cette métaphore à base de gratin et de nouilles. En effet, cette citation est d’abord sortie de la bouche d’un haut-fonctionnaire de Macron il y a plusieurs mois... Celui-ci espérait que "le gratin coule un peu sur les nouilles", comprendre que les plus riches, en tirant encore davantage profit d’une stratégie économique taillée sur mesure pour eux, allaient permettre aux plus pauvres d’en gratter un petit peu aussi. La référence de Borloo n’est donc pas innocente.

     

    Répondre à ce message

  • La nouille reste la nouille, en revanche quand ça chauffe le gratin crame !

     

    Répondre à ce message

  • La "politique sociale" de Macron c’est : " toujours plus d’impôts et de prélèvements ".

     

    Répondre à ce message

  • Macron a eu raison de se torcher avec le "plan banlieue" du nabot sioniste, c’eut été encore 50 milliards de foutus en l’air .

     

    Répondre à ce message

  • Pour faire cuire des nouilles, il faut de l’eau. Manque de bol, Jean-Louis abhorre l’eau.....

     

    Répondre à ce message

  • Bonsoir,

    Mr Borloo s’ aperçoit étonné d’avoir été un faire valoir, un outil de communication pour une pub de PQ. Un tel matraquage aurait dû valoir un prix Nobel à la connerie d’un homme comme un écho à la phrase de Guitry : " on est toujours le con de quelqu’un "
    Mea culpa de Mr Borloo en off sans aucunes tribunes pour relayer sa culpabilité à un macaron pour seul proposition culinaire à cette bouffonnerie élyséenne d’un invité à faire rire la cour pour un dîner de con à la française.

    Quelques larmes quelques phrases un plat de nouilles en terme de récupération ou pour éponger la cuite moi aussi j’ai pouffé à vos mimiques, à votre 20h00 France2 pour vendre du vent...
    Je vous invite Mr Borloo à prendre la parole sur le Net face à un journaliste indépendant à vous expliquez clairement sans langue de bois si ça n’est pas dangereux pour vous je croirais à la sincérité de cette colère.

    Amen

     

    Répondre à ce message

  • Dans la troupe y a pas d’jambes de bois. Y a des nouilles, mais ça n’se voit pas.
    La meilleure façon d’marcher, c’est encore la nôtre. C’est de mettre un pied d’vant l’autre, et d’recommencer.
    En marche !
    Nouilles, nouilles... c’est encore pire que RIEN, ou lépreux, ou que sais-je. Parce que la nouille, ça se mange. Le gratin aussi, d’ailleurs.

     

    Répondre à ce message

Afficher les commentaires précédents