Egalité et Réconciliation
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Taxe carbone

Je m’étais déjà exterminé à tracer un portrait-en-pied-de-cochon, que vous pouvez relire, sur le gros Cohn qui passa longtemps chez les gogochistes, pour un parangon de la Conteste-à-sion du méchant capitalisme, bonapartiste et patriarcal.

Aussi, mes lecteurs ne seront pas surpris par le soutien écologique que le député Vert européen, vient d’apporter au Prézydent sur la fumeuse Taxe Carbone, impôt supplémentaire de 300 zeuros, destiné à asphyxier davantage les pauvres contribuables qui n’en peuvent mais.

Il a exhorté son coreligionnaire de la religion du Capital , à "tenir bon", à ne surtout "pas céder".

Credo.
"Je crois au Capital qui gouverne la matière et l’esprit ;
Je crois au Profit, son fils très légitime, et au Crédit, le Saint-Esprit, qui procède de lui et est adoré conjointement "*.

Le gouvernement du Fouquet’s est l’idéal enfin réalisé pour ces ex-soixanthuitards en peau de cochon, un gouvernement compradore qui organise en france l’extermination physique de la classe utile, le transvasement du sang des travailleurs dans les veines des spéculateurs-parasites, l’enfermementent de la vie dans le coffre fort des banques.

Conservation de son Image oblige, le rouquin vert a taxé cette taxe, inventée par Rocard et Sarkozy, de "révolutionnaire", pourtant véritable Taille moyenâgeuse, digne de la Gabelle sur le sel.

Cet impôt est censé rapporter 8 milliards et Ô coïncidence ! 8 milliards c’est exactement le montant du manque à gagner fiscal pour cause d’exonération patronale de la Taxe Professionnelle.

Gabelle pour pot d’échappement à laquelle c’est du pot, échappera Cohn Bendit, car son salaire, officiel, de 6735 euros est totalement exonéré d’impôt.

Il perçoit en outre 4202 euros mensuels de frais généraux, et 298 euros PAR JOUR de frais de groin, sans compter les nombreuses indemnités forfaitaires de déplacement et autres frais de secrétaires bien suceuses.
Assujettis futurs de la "Taxe Carbone", faîtes le calcul !

Ces sommes exorbitantes sont elles suffisantes à Cohn B. pour exorbiter sa vieille b. hors de sa braguette, faire en sorte que "certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller" ? Lui permettent-elles d’assouvir sa grosse libido, son moindre désir qu’il a traduit lui même en ces termes : "Je voulais que les gosses aient envie de moi, et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi ".

Le Grand Bazar. Publié en 1975 chez Belfond.

Cela, nous n’en savons rien, ce serait diffamatoire de l’écrire, aussi nous ne le ferons pas.

Félix - E&R


* La religion du capital de Paul Lafargue, à relire d’urgence.