Alain Soral et Jacob Cohen étaient à Marseille pour une conférence sur le thème de la réconciliation nationale. Sans l’imam Abdelfattah Rahhaoui, qui s’est désisté.
À l’heure des tensions raciales, les éloquents exemples historiques d’instrumentalisation des questions communautaires méritent, plus que jamais, d’être remémorés.
Lors de la manifestation organisée le 14 mai 1990, 80 000 personnes selon la police, 200 000 selon les organisateurs, avaient défilé dans Paris. Au profit de qui ?
L’opération avortée ressemble trait pour trait à l’attaque de Charlie Hebdo, accréditant l’idée d’un Occident opprimé par une menace islamiste de chaque instant…
En même temps, ceux qui vivent de l’antisémitisme ont intérêt à en trouver un peu partout : dans les quartiers, sur le Net, sous les pierres, en Israël…
La chambre à gaz est tout sauf un point de détail, c’est même aujourd’hui, plus qu’hier encore, la religion, le dogme autour duquel tourne toute l’époque contemporaine.
Le 31 mars 2014, alors que le PS vient de subir une sévère défaite électorale lors des municipales, Manuel Valls succède à Jean-Marc Ayrault au poste de Premier ministre.
Alain Soral présente les deux derniers albums de Gilad Atzmon, disponibles chez Kontre Kulture Musique, et le concert du 28 mars au Théâtre de la Main d’Or.
Le 21 février dernier, le sociologue d’État Saïd Bouamama tentait une « analyse » de la sociologie d’Alain Soral. L’occasion d’un petit comparatif à vocation pédagogique...
Gilad Atzmon a deux passions : le jazz et l’identité juive. Dans cet entretien, il revient sur leur intrication essentielle, depuis ses jeunes années en Israël jusqu’à aujourd’hui.