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Clefs de lecture #10 – La préface de Phénoménologie de l’esprit de Georg Wilhelm Friedrich Hegel

L’atelier Clefs de lecture a pour vocation de fournir une aide à ceux qui ont des difficultés à lire. L’objectif est de choisir une œuvre connotée « dissidence » et réputée ardue afin de l’étudier sur plusieurs séances. Le principe est d’aider à la compréhension de textes obscurs en donnant des clefs de compréhension afin de déverrouiller le texte.

Cette émission d’ERFM est produite en collaboration avec la section Île-de-France d’Égalité & Réconciliation.

 

Au sommaire de ce dixième épisode :

La Phénoménologie de l’esprit est l’une des œuvres les plus fascinantes de l’histoire de la philosophie. Elle a été fondatrice du matérialisme historique et dialectique et d’une nouvelle façon de penser les problèmes philosophiques, politiques et même scientifiques.

L’étude de sa préface est l’introduction idéale à la phénoménologie de l’esprit mais également à la pensée de Hegel. Notre point de vue sera celui du matérialiste dialectique du XXIe siècle qui juge une œuvre vielle de plus de deux siècles...

Minutage :

Introduction
10’10 : Comment situer Hegel dans l’histoire de la pensée ?
22’20 : Le plan
22’52 : Généralités sur la Phénoménologie de l’esprit
39’43 : Introduction sur la préface
48’52 : Critique de l’irrationalisme
57’31 : Puissance et limites de l’entendement
1h03’25 : La phénoménologie avant la logique
1h07’11 : Conclusion

 

Écouter l’émission :

 

Pour écouter l’émission en podcast, rendez-vous sur le site d’ERFM !

 

Liens utiles :

- Pour une introduction plus académique et une lecture cursive de cette préface

- Pour une conférence sur la phénoménologie de l’esprit au sens large

 

Clefs de lecture, sur ERFM :

 






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19 Commentaires

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  • à pas compliqué Hegel, suffit de repérer comment il définit la dialectique : "la dialectique est la destruction de toute chose". On est dans un idéalisme donc il n’existe que des idées, c’est ça le réel. La phrase signifie que la dialectique démontre que toutes les idées sont fausses et qu’elles sont vouées à s’autodétruire car elles sont fondées sans le savoir sur leur contraire, elles sont contradictoires. Il n’y a qu’une seule chose vraie, qu’une seule chose qui existe, qu’une seule chose qui est réelle et commune à tout ce qui est réel : c’est ce que dit Hegel, c’est à dire la dialectique, qui est donc l’auto-destruction de soi-même pour passer en autre chose. Bien évidemment cet idéalisme dialectique va se dialectiser lui-même, s’auto-détruire en matérialisme dialectique, ce qui prouve au carré sa vérité.

    Le matérialisme dialectique marxiste, qui est en pratique réelle dictature du prolétariat, devait -après avoir conquis la planète- lui-même s’auto-nier une dernière fois en une liberté absolue finale dans une sorte de communauté humaine globale façon Francis Cousin.

    On ne peut pas prouver par la raison que Hegel a tord, le mec est au-delà du génie. Et effectivement si Mao avait convaincu Staline de lancer une grande guerre nucléaire contre le "capitalisme" c’est à dire le monde humain pas sous contrôle hegelien, il y aurait eu après 2 milliards de morts et unification de la planète : toute la fragmentation du monde actuelle serait impossible par ex.

    Mais on le sait simplement par l’observation de ce qu’a donné réellement la dialectique : environ 200 millions de morts si on inclue les réactions pathétiques nazies et fascistes. C’est très significatif aussi que Hegel n’ai pu prendre le contrôle des esprits qu’à l’Est, c’est à dire chez les faibles d’Esprit devant l’Histoire. A l’ouest on avait trop de bouteille pour se faire baiser par ces fumerolles allemandes...

    La bonne interprétation c’est de comprendre que Hegel est tout bonnement le Père : il Révèle la Vérité du Fils en montrant que Sa Parole, faite d’oxymores, donc fondée sur l’auto-contradiction, est effectivement Divine dans le sens où la contradiction est le réel du réel.

    La super-bonne interprétation est que cette généalogie de pensée qui dérive de la mentalité d’inversion du judaïsme, est le mal absolu, le diabolique, la prise de contrôle totale des esprits en vue de la destruction de toute réalité humaine.

     

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    • une autre preuve définitive qu’Il est Le Père c’est cette autre définition de la dialectique qu’Il a donné : "la dialectique est la puissance de Dieu"

       
    • En théorie il y a un moyen de démontrer par la raison que Hegel non seulement a tord mais qu’il triche au dernier degré. Il faudrait, avec un très bon hégélien, décoder jusqu’au réel ses phrases typiques parfaitement incompréhensibles. Là on s’apercevrait que les plans qu’il mobilise dans ses raisonnements ne se recoupent absolument pas et que tout tient par la syntaxe, par les connecteurs logiques : la dialectique c’est juste un verbalisme syntaxique totalement vide, mais qui mobilise efficacement des besoins de croyance métaphysique profonds chez les intellectuels. Le problème c’est qu’il n’y a pas, qu’il n’y a jamais eu de très bon hégelien : personne n’est capable de comprendre Hegel en termes réels. Ce que les hégéliens savent faire c’est seulement traduire du Hegel dans du Hegel ! Je m’en suis aperçu en discutant avec eux dans les forums, ils ne savent que t’expliquer que ta question n’a pas de sens dans le "système", que Sa phrase ne peut être interprétée que dans le cadre du "Système" ; mais la réalité vraie c’est qu’ils ne savent pas répondre.

       
    • Une manière complémentaire d’interpréter Hegel c’est que son échec c’est l’échec de la philosophie la plus puissante jamais créée, c’est donc l’échec de la Pensée, l’échec de l’Humain et ça c’est parfaitement assimilé de tous : tout le monde sait que la philosophie, la haute pensée européenne, ça ne marche pas, que ça a conduit aux deux guerres mondiales : personne ne va croire qu’un nouveau système philosophique puisse changer les choses, sauf en pire, concrètement c’est ça l’échec de la Pensée. De ce point de vue là on voit immédiatement qu’en fait Hegel a réussi : il nous a fait basculer dans l’époque sans Pensée, l’époque sans Humains, plus connue sous le nom d’Apocalypse, de Fin des temps, c’est pour ça qu’on est inondé de partout par la connerie ie la non-pensée.

      Ce qu’il faut comprendre c’est que la pensée de Hegel n’est pas européenne mais ultra-juive : c’est le pire système de mise en esclavage oriental jamais créé, qui tient effectivement sa force de la cohérence métaphysique européenne mais sa motivation de la mentalité tribale, c’est à dire familiale élargie, de l’Orient arabe (les hébreux sont des arabes) : le jeune Hegel était anti-christique, il ne supportait pas les chaines judéo-chrétiennes : il s’est libéré de la plus incroyable des façons : en devenant le Père du Christ !

      En réalité cet échec de la Pensée est beaucoup plus ancien, il est arrivé quand la Pensée euro-grecque, celle du miracle grec, celle qui avait tout inventé à commencer par la raison et la liberté, a été abattue par la parole d’un messie juif et qu’on est devenu des orientaux, des esclaves de sa morale inversée des derniers-qui-sont-des-premiers et sur le plan de la raison de véritables crétins trouvant très important de déclarer à tout bout de champ qu’il est ressuscité et que sa mère elle était vierge : la connerie intense et tarée règne depuis 2000 ans en fait, Hegel c’est juste la cerise sur le gateau pourri.

       
    • En l’absence de bon hégélien on ne peut pas exploser Hegel positivement, par la raison, mais on peut le faire avec des sous-hegeliens : je l’ai fait plein de fois avec Francis Cousin, qui jargonne comme un dingue parce qu’il est enfermé dans la bulle syntaxique hegelo-marxiste. On peut montrer que les objets qu’il mobilise dans le jargon n’existent pas, relève de l’hallucinatoire mais c’est épuisant, faut une grande explication pour une seule phrase, c’est exactement comme retrouver les bouts de réalité qui ont alimenté au départ le discours hallucinatoire d’un schizophrène à l’hôpital.

       
  • #2570264
    Le 17 octobre 2020 à 15:14 par Atos, Portos et Aramis...
    Clefs de lecture #10 – La préface de Phénoménologie de l’esprit de Georg (...)

    Ah !

    Le retour des clefs de lecture. J’attendais le prochain épisode avec impatience merci.

    Une des meilleure émission du site. Top 3 minimum.

    Merci à toute l’équipe.

     

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  • La puissance, celle de la pensée virile est là : un grand merci à E&R, des bosseurs sur ce site, des bosseurs. Que du bonheur.

     

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  • #2570572

    J’écoute avec un peu de retard le podcast.

    Savez-vous que Judith Butler qui accéléré la théorie du genre au début des années 90, avec son livre "Gender Trouble" très mal traduit en France et à dessein par "Trouble dans le genre", a énormément étudié Hegel pour sortir une dialectique non plus du sexe mais du genre. Ainsi l’idée de dialectique ne se lie plus à l’histoire ou à un matéralisme, mais il est à créer et à développer vis à vis du genre que l’on se définit.

    Catherine Malabou, autre hégélienne, avec sa thèse "L’Avenir de Hegel, Plasticité, temporalité, dialectique" en 1995 nous dit à ce moment là qu’il faut sortir du carcan hégélien historique pour lui donner de nouvelles orientations. Sort alors Sois mon corps, avec Judith Butler en 2010. Le sujet Genre a alors comme objet Corps. Toute la dialectique est inversée. Le réel est devenu donc un objet, tout est subjectif : je peux être un homme, une femme le monde s’accordera à mon désir à ma volonté. Evidemment que cela va mal tourner.

    A noter et à retenir chez Hegel, son amour déçu pour la révolution française de 1789 comme allemand, qui le mènera vers un certain conservatisme et à d’autres jeunes de sa génération au romantisme allemand et ce qu’être allemand.

     

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    • Dans la même idée, Macron assène le mot "séparatisme", énième mot creux, dans lequel il peut tout mettre tout en se lavant les mains comme d’hab : surtout pas "Gilet jaune" et bien évidement car bien pratique "islam" pour escamoter le vrai problème du Mal-Etre social généralisé en occident de l’ouest :
      « Frère musulman, pro-Hamas : Sefrioui, le prédicateur à l’origine de la fronde contre l’enseignant décapité »
      https://www.marianne.net/societe/la...

      « Il s’appelle Abdelhakim Sefrioui et c’est une figure bien connue des services de renseignement français, nous confirme Bernard Godard, haut fonctionnaire honoraire, spécialiste de l’islam au ministère de l’Intérieur entre 1997 et 2014. Son CV dévoile un profil de militant islamiste chevronné. Tour à tour imam, associatif véhément, libraire, soutien de Dieudonné, prédicateur, expert de l’agit-prop et militant antisioniste virulent, il est depuis le début des années 2000 de toutes les manifestations défendant de près ou de loin une vision radicale de l’islam. "Cet homme est dangereux, il séduit la jeunesse. Il est plus dangereux que Tariq Ramadan car il séduit la base, les parents", affirme auprès de Marianne Hassen Chalghoumi, l’imam de Drancy. En 2011, il avait dû être placé sous protection policière après des menaces proférées par Abdelhakim Sefrioui et ses soutiens. »

      Enième fausse catégorie pilonnée par le grand diviseur, Chatoune 1er avec sa langue de serpent véritable petite machine à mots creux qui bloquent la pensée, car forcément celui qui va voir les sketchs de Dieudonné est un séparatiste qui décapite les profs d’histoire de l’EN :
      « ...Sefrioui dénonce les discriminations dont seraient victimes les musulmans de France. Et se place comme un des leaders de l’insurrection. Dans sa vidéo du 8 octobre, il tente de politiser le sujet en faisant un lien avec le discours récent d’Emmanuel Macron sur le séparatisme islamiste : "Nous avons assisté à la réponse de ce voyou, qui est enseignant, à cet appel du président de la République à haïr les musulmans". Les mots qui ponctuent le titre du film ? "Le vrai séparatisme". »

      Ça va encore être de la faute de Dieudonné : la quenelle, l’ananas n’ont jamais décapité qui que ce soit, elles sont juste Vérité : dans le mot "séparatisme", vous pouvez y mettre du "castor" c’est que je mets, y’en a.

       
  • #2571125

    Ne pas oublier, dans les conseils de lecture de pensées hégéliennes : "De l’acte à la pensée" d’Henri Wallon, plus marxiste que Piaget sur le même sujet : la psychologie.
    AS.

     

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    • En institutionnel français vous avez les ouvrages d’Olivier Tinland qui sont pas mal du tout, en particulier son "l’idéalisme hégélien" et son excellent "Hegel", parfait pour commencer.

      En plus profond mais nettement plus difficile il y a de Gérard Lebrun "la patience du concept".

      Mais bon c’est de l’institutionnel, c’est ici avec le Soral de la philosophie que vous aurez la vérité du truc et toujours en moins de 2500 caractères :D

       
  • Comme Luchini je me suis promené des années avec Zarathoustra dans la poche sans rien y comprendre ; probablement qu’il n’y avait rien à comprendre. Les forts, les faibles, l’éternel retour ; ça ressemble fort à de l’idéologie gauchiste 140 ans après.
    Presque tout ce qui est sciences humaines a la fac, est ideologie gauchiste.

     

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  • #2571989
    Le 19 octobre 2020 à 17:44 par Atos, Portos et Aramis
    Clefs de lecture #10 – La préface de Phénoménologie de l’esprit de Georg (...)

    Quelqu’un aurait le titre du livre de ce fameux anthropologue qui parle de l’évolution de l’homme de Néandertal ?

     

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  • #2572098
    Le 19 octobre 2020 à 20:05 par Atos, Portos et Aramis
    Clefs de lecture #10 – La préface de Phénoménologie de l’esprit de Georg (...)

    Ça y est je viens de terminer complètement l’écoute. Excellent comme d’habitude. La carte bancaire va encore chauffer après ça...

    Quelqu’un pour donner une rapide explication du Néo Kantisme ? J’en ai ma propre compréhension que j’aimerais confronter à la votre pour voir si tout est bien acquis.

    Encore merci à toute l’équipe.

     

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  • Soral aime bien les explications dialectiques : dialectiquement Jésus c’est à dire le dieu d’Amour est le dépassement-négation du dieu de haine du judaïsme et Hegel est le dépassement-négation du dieu d’Amour, qui retourne en essence au dieu de Haine mais sous la forme de sa Vérité métaphysique, la dialectique, dont le caractère diabolique est explicite dans la définition qu’en donne Hegel : la dialectique est la destruction de toute chose.

    Il y a une seule chose à retenir là-dedans : on est enfermé dans la pensée juive.

    La dialectique n’a rien d’universel. La dialectique c’est la contradiction mais qui "pense" noyé dans la contradiction : les gonzesses ! La dialectique est la signature hébraïque de la pensée juive, c’est à dire la pensée d’une tribu d’hommes arabes oppresseurs de femmes donc jamais sélectionnés pour leur courage et leur intelligence à séduire les filles et qui au fil des milliers de générations ont pris cette mentalité d’inversion contradictoire et laide qui est fondamentalement mentalité d’invertis, c’est à dire d’hommes poursuivant des buts masculins de conquête avec une mentalité de femmes. On est dans un processus d’inversion du processus de création vivante fondé sur la selection sexuelle, sélection qui doit être opéré librement par les femmes : c’est ça la source causale de l’appel au néant, à la destruction -ie l’inverse de la création- de toute chose qui est l’essence de la dialectique.

    Cette explication est plus puissante qu’une explication dialectique, elle va vraiment au fond des choses. Pourquoi ? Parce que c’est pas du contradictoire inverti mytho juif, c’est pas de la brume allemande, c’est pas du fantastique mexicain : c’est de la belle pensée claire française carrée-cartésienne.

     

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  • Un truc à repérer c’est le concept de regression christique. Hegel était un upgrade métaphysique de la négativité christique mais ça n’a marché, ça n’a soumis que l’Est et à l’Ouest que les intellectuels puis ça c’est effondré en 1989 et nous a laissé dans l’apocalypse, la disparition de la Pensée. Il n’y a plus de Pensée MAIS il y a toujours le biologique, celui de la vie en troupeau et comme on est les animaux à idées, la soumission prend la forme de l’idée alpha qui fait troupeau : l’idée du Bien. Le Bien hégélo-marxiste ayant disparu, la planète a dû downgrader le système moral d’exploitation de l’homme sur la version précédente, le système christique. Ce système est constitué du kernel logique, la négativité, la relation négative à soi-même, bootstrappée par aphorismes auto-contradictoires ouvrant au dépassement (les derniers seront les premiers, de cette eau-là vous n’aurez jamais soif, vous qui avez faim vous serez rassasiés, vous qui êtes rassasiés vous aurez faim, etc.), interfacé à la société par la couche système positive : Amour, Pardon, Rédemption, Charité, Humilité, Resuscitation, Repentance, etc. Cette barrière sociale positive (le catholicisme), qui protégeait l’humanité de la "destruction de toute chose" qui est l’essence de la dialectique self-négative christique, a été arasée au fil des siècles par l’érosion naturelle de l’habituation et aussi à cause de son contenu surnaturaliste anéanti par la science mathématico-physique, ce qui fait que la société repose maintenant sur le craton cristallo-christique de la négativité, de l’inversion des valeurs, qui se résume en pratique à l’inversion des "derniers" en "premiers" : toute prise de parole publique doit manifester une soumission à la pensée alpha du Bien c’est à dire la dénonciation de "premiers" ie de mâles blanc européens du fait qu’ils sont dans la positivité du Monde car ils l’on créé dans le passé et font tourner ce qu’il en reste dans le présent, méchants "premiers" qui "oppriment" -ne serait-ce que par leur simple existence- des "derniers" : très au dessus de tous les "derniers" les juifs, parce que ce sont les ultra-derniers du fait qu’ils ont pu se faire génocider par les ultra-premiers aryens et en second choix : femmes, LGBTx, migrants, immigrés, minorités, handicapés. Ce système moral d’exploitation est inconscient et automatique, il prend en main le comportement des gens dès qu’ils ont à intervenir au niveau troupeau c’est à dire publiquement.

     

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