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Le Carême : une prévention active du cancer

Pour les chrétiens, le carême, qui commence ce mercredi, puise ses origines dans le souvenir de la retraite que Jésus Christ effectua quarante jours durant dans le désert. Lieu où il se retira pour méditer et prier. Outre la tentation à laquelle il fut soumis par Satan, la privation de nourriture sera un élément clef de cette épreuve, dont il sortira encore plus grand. Plus de 2000 ans après quel sens donner à ce moment ? Et si, au-delà de l’aspect religieux, il nous offrait la possibilité d’améliorer notre santé globale, mieux encore : d’éloigner le cancer et pourquoi pas de l’éviter ?

 

Le cancer est une réalité, pas une fatalité.

Avec 355 000 nouveaux cas chaque année en France, le cancer touche 200 000 hommes pour 155 000 femmes. Au total, 148 000 en mourront. L’âge médian de cette maladie dégénérative est de 68 ans.

Cela veut concrètement dire qu’au final, un homme sur deux et une femme sur trois croiseront sa route. Voilà pour les chiffres, ils font mal. Cette maladie est meurtrière, terriblement traumatisante et handicapante. Elle mutile toujours dans le corps et trop souvent dans la tête.

Depuis plus de 50 ans, force est de constater que l’establishment a échoué dans sa capacité d’éradication du cancer. De plan en plan, l’État, à coup de milliards, fait ce qu’il peut.

Ce qu’il peut ou ce qu’il veut ?

C’est là le nœud du problème. Dans les années 70, un médecin Lillois du nom d’André Gernez révolutionna le pré carré des mandarins de la faculté de médecine, en développant auprès de ses confrères une théorie sur les mécanismes et la prévention de la carcinogénèse. S’en suivirent débats et commentaires en plus haut lieu. La faculté des sciences était en ébullition. Par la révision du concept des cellules souches, André Gernez, d’un coup d’un seul, était capable d’expliciter les lois et les règles de la cancérisation, la dynamique cancéreuse et par là même son éradication, le tout sur la base scientifiquement solide de néo-postulats biologiques et pathogéniques. L’accueil fut enthousiaste. Le président de l’Académie de médecine écrivit à André Gernez, lui mentionnant qu’il méritait d’être au Cénacle, rien de moins. Puis plus rien. André Gernez resta incompris, volontairement incompris. Trop en avance sur son temps, dirent certains.

André Gernez, connu de tout le milieu médical, s’est éteint le 8 janvier 2014 dans l’indifférence générale d’un monde scientifique rivé sur ses convictions et peu enclin à faire bouger les lignes. Nous pourrons à l’occasion d’un prochain rendez-vous décortiquer le pourquoi de cet immobilisme. Sans en connaître les méandres, vous en devinez les contours.

Concrètement, que proposait André Gernez ? Avant d’aller plus avant, petit retour en arrière sur les grands principes qui régissent le processus cancéreux.

 

 

Comment naît le cancer ?

 

Nous sommes constitués, entre autre, de 100 000 milliards de cellules. Chacune d’elle à un potentiel divisionnel limité. C’est pour cela que nous mourons.

À chacun instant dans notre corps, nos cellules se divisent pour que d’une cellule souche – saine – naisse une cellule génératrice et une cellule fonctionnelle. La génératrice – dite cellule fille – fera le même parcours que sa mère, elle se divisera. Pour imager notre propos, on peut la comparer à la reine des abeilles.

La cellule fonctionnelle quant à elle, attachée à une fonction précise, effectuera sa tâche et disparaîtra. C’est en quelque sorte l’abeille ouvrière monotâche. C’est la constante cellulaire, celle qui fait que nous ne mesurons pas 5 mètres de haut et que notre foie ne pèse pas 3 kilos.

Seulement, une fois sur mille – le taux mutatif –, il y a un accroc à ce processus parfaitement huilé. Il y a mutation génétique.

La cellule saine fabrique deux cellules génératrices, pour le coup des cellules mutantes qui vont avoir la possibilité de croître indéfiniment de manière géométrique. Deux cellules malignes donnant à leur tour quatre cellules, puis les quatre vont en donner huit, puis seize, etc. Le cancer peut s’installer.

Pas immédiatement à vrai dire. Dame nature fait bien les choses. Comme dans le règne animal, la loi de la sélection naturelle s’applique. Tout comme le lionceau chétif, mal formé, qui ne sera pas nourri par sa mère et donc mourra, la cellule maligne – dite dysplasique –, cernée de toutes parts par une cohorte de cellules saines, n’aura pas la possibilité de croître, se développer, essaimer. La mort par apoptose sera sa seule issue. Ce qui fit dire à André Gernez en son temps que si la carcinogénèse était permanente, la cancérisation, elle, était exceptionnelle. Et c’est vrai.

En effet, avec le nombre de cellules qui à chaque seconde se divisent dans notre organisme, et malgré un taux mutatif de 1/1000, si à chaque mitose -division cellulaire- un processus de cancérisation se mettait en marche, le nombre de 355 000 nouveaux cas de cancer serait très largement dépassé.

Malgré ce bouclier de protection, une cellule cancéreuse va pouvoir éviter la mise à l’isolement, passer les mailles du filet et croître – de manière géométrique – en toute quiétude dans un silence assourdissant ; ce qui fait que le cancer est mortel parce qu’il n’est pas de prime abord douloureux. En moyenne, vous mettrez huit ans pour vous rendre compte, cliniquement parlant, que vous madame, avez un cancer du sein. Quant à vous monsieur, vous attendrez onze ans avant de ressentir les effets dévastateurs d’un cancer du poumon. Que de temps perdu, que de terrain gagné par des colonies cellulaires envahissantes qui ne font d’ailleurs jamais que ce que la vie nous impose, instinctivement parlant s’entend : survivre ! Dans ses premières années d’existence, un cancer est particulièrement fragile. La colonie cellulaire est friable. Sa destruction serait de facto particulièrement aisée.

Le dépistage officiel que l’on propose aujourd’hui, est hélas, globalement inefficace. Nous sommes dans l’infiniment petit. Quand un scanner décèle pudiquement une « grosseur », il est souvent trop tard, les années ont passé. Le cancer a atteint son seuil d’irréversibilité. Il ne vous reste plus – sauf pour ceux qui sont ouverts à des thérapies alternatives – qu’à entrer dans les protocoles de santé publique : chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie. Le processus mortifère par excellence, si éprouvant physiquement et psychologiquement. L’apport de la chimiothérapie sur la survie à cinq ans n’excède pas 2,2 % [1].

 

 

L’idée simple et géniale d’un médecin du Nord

 

C’est là qu’André Gernez entre en jeu. Au lieu de taper sur un cancer déclaré dont vous avez maintenant compris le cheminement, la progression virulente, pourquoi ne pas annuellement faire une cure préventive dont l’unique objectif serait d’éliminer d’éventuelles cellules cancéreuses naissantes, et donc particulièrement instables ?

Ces néoplasies ne résisteront pas à une simple chiquenaude. S’il est besoin d’une tronçonneuse pour abattre un chêne, il suffit d’un marteau pour écraser un gland. C’est juste du bon sens.

Le protocole de prévention active du cancer a cette ambition. Avant de rentrer dans les détails, précisons l’utilisation de l’expression « prévention active » que l’on pourrait mettre en regard de la prévention passive. Qu’en est-il ?

La prévention passive, selon André Gernez, c’est l’alimentation, l’hygiène de vie, l’activité sportive. La prévention active s’inscrit dans un protocole éprouvé, logique dont voici les grandes lignes.

On peut le décrire en trois grandes phases.

- La première, essentielle, incontournable : la réduction alimentaire sur 30 jours. Et revoilà pour le coup le Carême. Toutes les études convergent, aussi bien sur l’animal que sur l’homme : la restriction calorique inscrite dans la durée favorise l’allongement de la vie. Si vous voulez manger beaucoup, mangez peu ; vous mangerez longtemps, car vous vivrez plus vieux. Simple, et surtout redoutablement efficace. Entendons-nous bien : nous parlons là de restriction alimentaire, et non de jeûne hydrique. Sujet qui fera l’objet d’un prochain article.

- La deuxième phase consiste à se complémenter en vitamines et minéraux. L’on sait pertinemment l’effet positif que certaines substances ont sur l’organisme ; des qualités anti-inflammatoires, antioxydantes. Une sorte de cocktail gagnant anticancer.

- La troisième phase, plus délicate, mais tout aussi importante, consiste à l’absorption d’un antimitotique – produit anticancéreux – afin d’éliminer sans effets secondaires des cellules, dont nous avons évoqué l’extrême fragilité et instabilité. Nul besoin d’une armada chimiothérapique pour anéantir quelques cellules pré-cancéreuses. Rappelons que la chimiothérapie n’est pas cyto-sélective. Elle frappe indifféremment les cellules saines et les cellules malignes. Ce qui a pour conséquence d’engendrer beaucoup de dégâts dans des organismes très affaiblis.

La condition, car il y en a une, est de faire cette cure annuellement à date anniversaire, de préférence au printemps. Vous éviterez ainsi la progression exponentielle – dite géométrique – d’une année sur l’autre, en écrasant d’une année sur l’autre des cellules précancéreuses ou cancéreuses. Elles n’auront ainsi jamais le temps de créer une colonie suffisamment nombreuse pour bouleverser l’homéostasie et permettre l’apparition de signes cliniques. Soit le cancer disparaîtra, soit il restera à un niveau inoffensif, muré dans une impossible expression. C’est implacablement logique, simple et efficace ? Alors parlons-en.

Ce protocole dont André Gernez traça les grandes lignes fut expérimenté sous le manteau à son insu à l’Inserm au service de toxicologie du professeur Thruaut dans les années 70.

Le résultat fut saisissant. Sur des lots de rats cancérisés par inoculation d’un hépatocarcinome – cancer primitif du foie, très virulent – les données fournies officieusement à André Gernez furent les suivantes.

Reprenons le processus en trois phases décrit ci-dessus.

- Phase 1 : réduction alimentaire de 30 % de l’apport calorique journalier durant 30 jours. Un lot de rat fut soumis uniquement à cette phase. Taux d’éradication du cancer du foie à l’issue de l’expérimentation : 52 %.

- Phase 2 : réduction alimentaire, plus complémentation vitaminique : Un autre lot de rat fut soumis uniquement à ces deux phases. Taux d’éradication du cancer du foie à l’issue de l’expérimentation : 72 %.

- Phase 3 : réduction alimentaire, plus complémentation vitaminique et prise d’anti-mitotique : Un autre lot de rat fut soumis uniquement à ces trois phases. Taux d’éradication du cancer du foie à l’issue de l’expérimentation : 93%.

Les résultats dépasseront les espérances les plus folles.

André Gernez ne sera jamais informé officiellement de ces résultats. On lui communiquera les données, sous le manteau, un soir sur une aire d’autoroute. À ce jour encore, l’Inserm reste sourd à toute demande officielle de communication de l’étude. Près de 45 ans après, le silence reste entier.

Concrètement, rapprochez-vous de l’Association Pour André Gernez (APAG) afin d’en savoir plus. Le protocole, et c’était le vœu d’André Gernez, ne peut pas, ne doit pas être communiqué au grand public. Il doit se faire par l’intermédiaire d’un praticien de santé. Il ne s’agit pas d’une affaire d’argent, mais du simple bons sens. L’automédication peut être dangereuse.

En son temps, l’affaire Gernez a fait grand bruit. L’excellent livre de Soline Abbeville, Les Maladies dégénératives. Les propositions d’André Gernez, édité chez Kontre Kulture, reprend dans le détail, mais de façon extrêmement accessible le parcours d’André Gernez. Lisez ou relisez cet ouvrage. Il est une porte d’entrée dans l’univers gernézien. André Gernez restera un des plus grands savants que le siècle passé ait compté. L’accession au prix Nobel lui sera rendu impossible, par la cohorte de mandarins français qui s’organisa afin que son nom ne soit même pas présélectionné. La jalousie des médiocres face à la clairvoyance d’un esprit brillant.

André Gernez ce n’est pas simplement une solution contre le cancer. Il a eu l’intime conviction que dérouler la pelote l’amènerait à solutionner l’ensemble des maladies dégénératives. Pour le corps médical s’en était trop, trop d’un coup. Son credo, l’hormone de croissance. Mais de cela nous reparlerons bientôt.

Le mot de la fin, laissons-le lui, sous forme d’hommage :

« Les solutions surtout quand elles sont simples, sont évidentes, et quand c’est évident, c’est humiliant. »

Découvrir les travaux du professeur Gernez avec Kontre Kulture :

 
 






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40 Commentaires

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  • #1122990
    Le 19 février 2015 à 05:00 par plus de remède !
    Le Carême : une prévention active du cancer

    C’est très délicat.

    D’une part l’avantage des vieux (surtout cancéreux) c’est qu’ils font tourner l’industrie pharmaceutique.

    Mais d’autre part, l’inconvénient c’est qu’ils sont malades à nos frais puisqu’ils ne produisent plus.

    Donc, le plus logique c’est qu’ils soient régulièrement malades aussi longtemps qu’ils pourront payer et une fois ruinés qu’ils aient la délicatesse de mourir.

    Ce "nouveau programme" est celui d’Attali : il s’appelle l’euthanasie.

    Comme vous voyez cela n’a rien à voir avec le jeûne qui, s’il avait dû prévenir le cancer, aurait fait de tous nos moines d’honnêtes centenaires !

     

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    • #1123082
      Le Février 2015 à 10:10 par de passage
      Le Carême : une prévention active du cancer

      C’est une bonne réponse. La privation doit être mesurée, mais il n’y a pas de moyen de la mesurer. Le mieux est de manger varié et seulement quand on a vraiment faim et non pas quand on a un creux. Et là encore, interviennent des facteurs psychiques selon les personnes qui font que même la sensation de faim devient toute relative.

       
  • #1123070
    Le 19 février 2015 à 09:51 par metap
    Le Carême : une prévention active du cancer

    Bonjour,
    le protocole schématiquement : 1 repas par jour pendant 30 jours, sans clope, uniquement fruits et légumes alcalins.
    Pour l’anti mitotique consultez votre médecin.
    Et tant qu’à oeuvrer pour nos enfants, autant servir de cobaye dans l’alter santé, donc je vous invite à essayer le MMS gold (dioxyde de chlore) qui a la particularité d’être hyper oxydant et sélectif sur les cellules patogènes de par sa faculté à transporter de l’oxygène profondément dans l’organisme. les cellules levurisées n’y résistent pas. Excellent pour le cancer, la grippe, le diabète...

     

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  • #1123255
    Le 19 février 2015 à 14:36 par Souch39
    Le Carême : une prévention active du cancer

    De plus, "quand le corps a faim, l’âme a soif"…
    Cf. Jésus…
    Cf. les jeunes anorexiques mentales (qui excellent souvent dans les études)

     

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  • #1123735
    Le 19 février 2015 à 22:02 par Paysan Breton
    Le Carême : une prévention active du cancer

    "Au-delà de l’aspect religieux, il y a la santé".

    Non, la santé passe après la religion, ou plutôt elle en découle. Elle sera donnée en plus pour ceux qui chercheront à se rapprocher de Dieu. Qui est obsédé par sa petite santé n’a plus rien pour Dieu. Comme le faisait remarquer un internaute, les catholiques pratiquants ne font plus le Carême parce que l’Eglise moderne a fait de l’Homme dans sa dimension matérielle l’Alpha et l’Omega de sa nouvelle doctrine. On cite abondamment le passage où Jésus se moque de ceux qui montrent qu’ils jeûnent, mais parle-t-elle encore des grâces reçues par cette privation volontaire ?

     

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  • #1124185
    Le 20 février 2015 à 13:05 par Gerard John Schaefer
    Le Carême : une prévention active du cancer

    Ivan Kramskoï, Le Christ dans le désert, 1872, huile sur toile, 180 x 210 cm, Galerie Trétiakov, Moscou.
    http://upload.wikimedia.org/wikiped...

     

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  • #1127297
    Le 24 février 2015 à 07:24 par Duende
    Le Carême : une prévention active du cancer

    Putain, on te dit que c’est simple, tellement simple que c’est humiliant pour les médecins, que ça marche, mais on ne peut pas le communiquer au public....
    Dommage !

     

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  • #1128614
    Le 25 février 2015 à 20:30 par leprince
    Le Carême : une prévention active du cancer

    Rien de plus humiliant pour l’adversaire que son intelligence soit remise en question ainsi qu’une perte d’argent,nulle ne pourrait l’accepter (film "Revolver" de Guy Ritchie).

     

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  • #1128817
    Le 25 février 2015 à 23:26 par Pegeen Mike
    Le Carême : une prévention active du cancer

    Merci pour cet article très intéressant ! Il montre bien ce que les gens de bon sens savent depuis des siècles, bon sens systématiquement mis en pièce depuis quelques décennies.

    Je trouve que l’approche contemporaine envers la nourriture est puritaine car elle oppose de façon simpliste la goinfrerie et l’abstinence sévère dont les vegans en sont les représentants actuels.

    J’expliquais tout à l’heure à mes enfants que pendant mon enfance, on a fait une campagne anti pain en faisant croire que cet aliment fait grossir. On a d’ailleurs diabolisé plusieurs aliments et mis les régimes à la mode. La conséquence en a été l’explosion de l’obésité.

    Si bien entendu, les gens gros au point de mettre en péril leur santé, les diabètiques et les gens atteints de certaines maladies (allergies) doivent avoir des régimes spéciaux, les gens normaux devraient utiliser leur bon sens.

    La mentalité catholique, bien française, a comme avantage de recommander le jeûne à des moments bien précis de l’année et en contre partie, elle n’a rien contre, non pas la goinfrerie mais le bon vivre et le bon vivre est bon pour le moral donc pour la santé. D’où la réputation flatteuse de notre gastronomie et de nos vins.

    Ce n’est pas pour rien que dans le cimetière de mon village natal, il y a foule de gens décédés très âgés jusqu’aux années 70 avec l’apparition récente et inquiétantes de personnes décédées jeunes à la suite de cancers ou d’alcoolisme... Cela m’a frappé lors de ma dernière visite (il ne faut pas non plus oublier les effets de la pollution et des produits chimiques utilisés dans l’agriculture).

    Assez curieusement, mais c’est plutôt une bonne nouvelle, c’est de trouver beaucoup d’articles cette année sur le Carême, que j’avoue n’avoir jamais suivi jusqu’ici. J’essaye de contrôler un peu mon alimentation depuis et cet article me motive encore plus.

     

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  • #1130584
    Le 28 février 2015 à 01:12 par Fran6
    Le Carême : une prévention active du cancer

    Je ne pense pas qu’André Gernez ait été boudé uniquement par jalousie. Si ses découvertes avaient pû permettre l’extension du Marché il aurait été définitivement porté en triomphe et ses confrères jaloux n’auraient eu qu’à ronger leur frein. Or le problème c’est que nous vivons au sein d’un système économique qui nous incite à consommer pour permettre à d’autres de produire, et vice versa, au nom de la croissance économique et de la lutte contre le chômage (Amen). A l’heure où l’on nous explique qu’il faut consommer 5 fruits et légumes par jour, pesticides compris, le protocole de Gernez incite à une réduction d’environ 10% de la consommation alimentaire par an. Sans oublier que le cancer résout en partie le problème des retraites et produit chaque année 355000 nouveaux consommateurs sur-motivés. C’est donc un problème politico-économique donc l’interrogation centrale est : y a-t-il plus de personnes qui meurent du cancer que de personnes qui en vivent ?

     

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  • #1139434
    Le 13 mars 2015 à 04:19 par Krystella
    Le Carême : une prévention active du cancer

    Personnellement, j’ai toujours mangé peu depuis l’enfance. Grande sportive, je pratiquais aussi le jeûne, qui nettoie et accroît l’énergie plutôt que trop manger surtout de la bouffe sans vie et nutriments essentiels à notre équilibre. Actuellement, je me contente d’un repas par jour, mais un cuisiné maison aux petits oignons, légumes, plantes, épices, aucun produit cuisiné industriellement, car je fais attention à ma santé. Je bois aussi des tisanes de plantes cueillies moi-même. Pour traiter le cancer, le gui est efficace. Mais interdit à la consommation en France car ça empêcherai les laboratoires pharmaceutiques de faire leurs milliards de tunes. A bon entendeur !

     

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