Un gros vilain merci à Alain Soral, Que je croisais souvent rue Jacob quand j’étais plus jeune.
Merci de nous avoir prévenus de cette mascarade covidiote, en prévenant que les réfractaires allaient manger pendant un moment, et ce n’est probablement pas terminé.

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C’est impossible d’être pour les vaccins quand on a l’intelligence de Perrone (qui n’est pas brillant mais bien assez intelligent), le fait qu’il ne soit que du poison étant trop évident, imparable, historique. C’est par là qu’il est, comme Henrion-Caude et d’autres, un pilier d’opposition contrôlée. Voyez tous ce fameux entretien où Chaillot les met tous mal qui remet (à juste titre) en question l’idée même de "virus".

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Il est plus facile de tromper une personne que de la convaincre qu’elle a été trompée. (Mark Twain)

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Ne jamais laisser de pouvoir à ceux qui le veulent, ça donne le pire du pire à chaque période de l’histoire et dans toutes les régions du monde. Financer des recherches pour transformer génétiquement les borrelia afin d’handicaper ses voisins, c’est diabolique et complètement irresponsable et tout est comme ça !

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Dire qu’un homme comme monsieur Perrone serait plébiscité dans un autre pays que la France.

Hors Amérique du Nord et Europe il serait un grand bienfaiteur.

C’est fou.

On a clairement le monde des ténèbres contre celui de la lumière.....

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Les africains face au paludisme savent que l’artémisia et la nivaquine soignent.

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Perrone est sur le chemin de la repentance . Aprés avoir été le chantre de la vaccination , adoubé par les sphères mondialistes , cru à des maladies qui n’existent pas , il croit maintenant que le pouvoir est aux mains des banquiers . C’est un nageur de surface qui craint la confrontation des profondeurs de peur de la vérité , la vraie .

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L’Europe (l’UE) n’est pas "devenue antidémocratique". Le projet était, dès le départ, celui d’une destruction des nations souveraines et donc, de la démocratie.

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Le Pr Perronne, comme le Pr Raoult, un praticien d’un temps où la France était encore quelque chose.

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Là, on est sur une autre planète. Clémence prend des notes quand le professeur parle, au lieu de l’interrompre sans arrêt pour poser des questions débiles comme le font nos journalopes aux ordres.

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