Bonne idée pour la boxe, M.Soral.
Pour partager des bonnes vidéos de boxe avec deux champions travaillant au corps à corps.
Mises à part la romance et l’idéologie des documentaires américains, c’est aussi passionnant pour la sociologie, l’histoire et les années 60-70 avec les images vieillies, les pattes d’éph, les coupes afros et surtout des gens authentiques.
Joe Frazier qui devait couper la distance à cause de son "petit gabarit" :
https://www.youtube.com/watch?v=g5f...
Rocky Marciano :
https://www.youtube.com/watch?v=oGb...
On voit les gens du "business" dans le documentaire devant et derrière les caméras. Et ça confirme les propos de M.Soral sur Mayweather qui n’a pas la tête d’un combattant, si on compare à Smoking Joe ou Rocky Marciano.
Patate d’enfer, quenelle d’acier et sainte harmonie soient avec vous, M.Soral et avec tous les gars et les filles d’E&R.
divergence avec le président : Mohamed Ali encaissait Foreman mais agrippait Joe Frazier à la nuque (cf le 2ème et 3ème combat). M.Ali ou M.Clay (selon sa convenance actuelle) disait lui même qu’il piquait et se déplaçait comme une abeille...Sa résistance aux coups est remarquable voire surhumaine (oui, c’est une allusion au dopage). Reste toujours le grand respect à Ali, le combattant.
hors-sujet :
Au passage, l’accent américain, anglais et anglophone en général a bien changé. Autant j’aime entendre l’américain avec la voix chaude et rauque d’un Joe Frazier, autant je souffre du ricain avec ces intonations de merde que personne n’a jamais parlé comme ça : "...please mind the gap between the train and the platform". ça y est t’es avec moi dans le métro et rien que l’annonce fait mal aux dents. Tu t’accroches à la barre car il y a pas de place because touristes ricains middle class gavé de télé qui recopient ce qu’il ont vu et entendu : d’où un phrasé de présentateur de BBC au mieux ou, au pire, celui des cheap stars de la télé réalité mais c’est rien comparé à nous autres non anglophones : dés qu’on essaie de prendre ces intonations et cette ryhtmique, c’est le drame auditif. Comme, par exemple, la conversation du commercial français hyper compétitif qui, pour des raisons de rendement, n’a appris que l’accent de merde et les tics de langage passe partout plutôt que le vocabulaire "you know". Au final, le vrai french accent est bien plaisant à l’oreille. Retour à l’anglais primordial : cette langue, celle de Conan Doyle que j’aime découvrir, est en train de crever.