Aujourd’hui, la bipolarité semble avoir muté en un affrontement entre les pro et les antisionistes. Peut-on reformuler une géopolitique contemporaine sur cette base ?
Une vraie personnalité, ça peut rapporter gros. Comme de gros ennuis. Dans l’éventail des Français vraiment populaires, ils sont une poignée seulement à être eux-mêmes.
Lors de la manifestation organisée le 14 mai 1990, 80 000 personnes selon la police, 200 000 selon les organisateurs, avaient défilé dans Paris. Au profit de qui ?
Avec cette loi, le noyau du pouvoir réel s’assure un contrôle total sur son opposition réelle. Aujourd’hui, c’est la liberté politique qu’on assassine.
L’opération avortée ressemble trait pour trait à l’attaque de Charlie Hebdo, accréditant l’idée d’un Occident opprimé par une menace islamiste de chaque instant…
Au printemps, il fait beau, on peut sortir dans la rue gueuler contre le pouvoir. En général, ça sert à rien : les pauvres finissent toujours par se faire entuber.
La culture du résultat et les choix stratégiques de la hiérarchie ne sont pas les seuls responsables de l’échec français dans la traque des tueurs en série.
Jean-Marc Moskowicz, président de l’association Europe-Israël, avait saisi le Tribunal pour faire condamner Alain Soral au paiement de la somme de 126 040 €.
En même temps, ceux qui vivent de l’antisémitisme ont intérêt à en trouver un peu partout : dans les quartiers, sur le Net, sous les pierres, en Israël…