La liberté d’expression, si on s’en sert pas, elle périclite, elle peau-de-chagrine, elle s’atrophie. Il s’agit donc d’un muscle, qu’il faut travailler chaque jour, sinon on finit avec un masque et on trouve ça normal. Car
Emmanuel Macron n’a pas que des adversaires au Moyen-Orient face à Recep Tayyip Erdogan. Le Financial Times revient sur la rivalité entre le président turc et le leader de facto des Émirats arabes unis (EAU) cheikh
Tout sépare Erdoğan et Poutine, jusque dans la manière de communiquer. Le premier éructe en tous sens, menace à tout va et se complaît dans les déclarations grandiloquentes dont la moitié ne sont jamais suivies d’effets.
Prolongée par un acharnement criminel dont Erdoğan n’est que l’instrument, la guerre qui sévit en Syrie depuis dix ans a fait l’effet d’un révélateur chimique. Protagonistes embusqués de ce bain de sang, les gouvernements
L’Amérique a atteint un clivage fatal. Quel que soit le résultat de cette élection, les États-Unis ne seront plus jamais les mêmes. Quelque chose a changé de manière irréversible.
Dans la guerre du Karabagh, le droit contemporain est contradictoire selon qu’on l’interprète en fonction de la propriété du territoire ou de l’auto-détermination du peuple. Profitant de cette équivoque, le peuple turc
Au Mali, la libération des otages dont celle de la propagandiste musulmane Myriam Pétronin et des « djihadistes » détenus par Bamako, cache en réalité la phase 2 d’une opération complexe dont j’avais annoncé le début dans
Est-un hasard si le secrétaire d’État américain Mike Pompeo était en Asie centrale en mai 2020 ?
– La Rédaction d’E&R –
Difficile d’y voir clair dans les soubresauts qui secouent l’espace post-soviétique, des
Joseph Kechchian, un célèbre politologue états-unien travaillant pour l’Arabie saoudite, a présenté, dans un article publié par Foreign Policy, un projet de partition du Liban. Son raisonnement se fonde sur le constat
La guerre qui débute en Méditerranée doit établir qui aura le droit d’exploiter les gisements de gaz et qui pourra les transporter. Contrairement à une idée reçue, la Turquie ne fait pas qu’abuser militairement de ses
Le conflit du Haut-Karabakh trouve certes son origine dans la dissolution de l’URSS, mais il a été relancé par la volonté du président turc. Il est peu probable que celui-ci ait pris cette initiative sans en référer
Entretien de Maxence Smaniotto avec la revue Rébellion.
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Rébellion : Le conflit entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan à propos du Haut-Karabagh est peu et mal connu en dehors de ceux qui s’y intéressent. Pouvez-vous nous
Encore un bel exemple de bug dans la Matrice bien-pensante et de l’ordre incohérent des priorités : normalement, le journal Libération est socialo-sioniste, donc antiraciste.
C’est l’introduction de l’article incriminé.
Jouant au Deus ex machina, le président Macron est venu distribuer les bons et les mauvais points aux dirigeants libanais. Sûr de sa supériorité, il s’est dit honteux du comportement de cette classe politique. Mais tout