@ slim,
L’imposition de la compétition entre travailleurs peu qualifiés et travailleurs qualifiés n’a rien d’un avantage, bien au contraire, ceci amène des tensions, du stress, une grande inquiétude face à l’avenir, beaucoup de chômage et une baisse générale des salaires, qui entraine ensuite une baisse du niveau de vie.
Avant l’immigration de masse, il y a avait très peu de chômage et les français pouvaient encore vivre et imaginer un avenir pour leurs enfants dans leur propre pays. Aujourd’hui, j’en connais beaucoup qui n’ont pas d’emploi ou des emplois en bas de l’échelle, malgré de hautes qualifications, je remarque aussi que le gouvernement commence à placer des personnes immigrées à des postes à responsabilités dans certains services publics (sans doute pour respecter les consignes d’en haut) et que certaines entreprises jouent de discrimination à l’embauche à l’égard des blancs.
De plus, qu’est-ce que le travail, lorsque nous assistons à la destruction même de notre propre pays, de notre culture et de notre identité ?
Aussi, à un moment donné, il faut savoir ce que l’on veut, tout le monde se plaint des effets de la mondialisation, mais la mondialisation comprend aussi l’immigration, puisqu’il s’agit de la libre circulation des biens, des marchandises ET des personnes. Donc si nos choix de vie correspondent aux principes de la mondialisation, nous l’aidons à se mettre en place et nous participons à notre échelle à la destruction des peuples et des nations.
Maintenant, concernant les naissances, ce n’est pas un problème, revenir à un nombre de population plus faible permettra de dissoudre le problème du chômage et du logement, et donc de diminuer la pauvreté, fera baisser la pollution et la destruction des milieux naturels et des derniers espaces boisés pour la construction des immeubles et des supermarchés servant à nourrir la population exponentielle des mondialistes et nous permettra sans doute de mieux gérer nos ressources, qui s’épuisent. Je ne vois que des avantages à repartir sur cette base-là.
Pour finir, les mondialistes ont vendu du rêve à tout le monde, le rêve du vivre ensemble, le rêve d’un enrichissement culturel mutuel et le rêve du confort et de l’argent. Il est temps de se rendre compte que tout ce qu’ils raconte s’est en réalité transformé en cauchemar pour les peuples, car ce qu’ils veulent n’est pas le bonheur des peuples mais l’instauration d’un grand marché d’esclaves mondial. Or, je pense que nous valons mieux que cela.