Le portrait dressé par Pierre de Brague met à nu une présidente européenne fragilisée par des scandales, portée par des réseaux opaques et inféodée à Washington.
Derrière l’image officielle d’une femme d’État moderne se cache une figure façonnée par les élites transatlantiques, entre plagiat, McKinsey, SMS effacés et nominations imposées.

Au sommaire :

 Origines et réseaux transatlantiques
• Ursula von der Leyen descend d’une famille aristocratique allemande dont les liens remontent au commerce du coton et de l’esclavage, fortement connecté aux milieux économiques transatlantiques.
• Ses origines familiales soulignent déjà une proximité avec les élites anglo-saxonnes, une marque de fabrique de son futur alignement sur Washington.

 Parcours universitaire douteux
• Sa thèse de doctorat est un plagiat à près de 50 %, un scandale qui n’a pourtant jamais débouché sur une sanction officielle.
• Malgré cette fraude, elle a poursuivi une carrière politique ascendante, démontrant l’impunité des élites européennes.

 Conflits d’intérêts et scandales
• En tant que ministre de la Défense en Allemagne, Ursula von der Leyen a été éclaboussée par des conflits d’intérêts, notamment dans l’attribution de contrats à des cabinets de conseil en 2014... avant le covid.
• L’affaire McKinsey est emblématique : contrats opaques, coûts astronomiques, et effacement de SMS compromettants, révélant un manque de transparence inquiétant.

 Ascension imposée à Bruxelles
• Son arrivée à la tête de la Commission européenne n’a pas été le fruit d’un consensus démocratique : elle a été imposée par Angela Merkel et Emmanuel Macron, puis validée par le cercle Bilderberg.

 Alignement sur Washington
• Depuis son accession à Bruxelles, Ursula von der Leyen s’est illustrée par un alignement systématique sur les États-Unis, aussi bien sur le plan diplomatique que stratégique.
• Bruxelles, sous sa présidence, semble fonctionner davantage comme une courroie de transmission des intérêts américains que comme une entité autonome.

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