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Les trans, c’est comme la France : c’était mieux avant

Que voilà des travs – ou des trans ou des gays ou des folles – plus rigolos que les casse-couilles d’aujourd’hui avec leurs lois personnalisées et leurs exigences politico-sexuelles démentes. Sinon, oui, que la chanson soit au 1er, 2e ou 3e degré, le monde a changé.

 

 

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23 Commentaires

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  • #3315663

    "on aimait la personne parce qu’elle n’était pas comme les autres"
    Je me suis arrêté là, désolé mais c’est trop pour moi, 1er,2ème, 3ème degrés, pour moi ils sont tous annormaux,on voit bien le résultat aujourd’hui, aucunes excuses pour cette déviance satanique.....

     

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    • #3315696

      Déviance satanique ? Pléonasme ! Pas de Satan en ce bas monde, seulement de la déviance qui se regarde le nombril ou qui suivent un culte grotesque pour se donner de l’importance. Rien que de la branlette.

       
    • #3315725
      Le 30 janvier à 04:03 par paramesh
      Les trans, c’est comme la France : c’était mieux avant

      pour moi ils sont tous annormaux,on voit bien le résultat aujourd’hui, aucunes excuses pour cette déviance satanique.....




      énorme contradiction : si ce sont des anormaux (ce que je considère aussi tout comme toutes les sociétés traditionnelles, ce n’est donc pas une déviance satanique mais des exceptions naturelles. la déviance satanique est le fait des gens qui utilisent ces anormaux à des fins "satanistes"
      l’anormalité est partie intégrante de la nature, or s’il est normal de ne pas en faire la promotion, il est tout aussi normal de ne pas la réprimer : c’est ce qu’ont compris toutes les sociétés traditionnelles (dont la France du siècle dernier.

       
    • #3315747
      Le 30 janvier à 06:38 par GERARD R.
      Les trans, c’est comme la France : c’était mieux avant

      Bien vu. Toute entreprise de déstabilisation de nos sociétés, commence par la douceur, la ruse, la séduction, la propagande et se finit par la contrainte ou l’interdiction. Je plains les cerveaux débiles, qui n’ont pas fait ce constat. Ce sont eux, qui permettent d’amorcer toutes les avanies ce que nous subissons. Et dites-vous bien que ce n’est pas fini...

       
    • #3315767
      Le 30 janvier à 07:32 par Anonyme
      Les trans, c’est comme la France : c’était mieux avant

      Même réaction que tomtom.
      C’est une déviance satanique dans le sens où c’est un mal qui a commencé comme une mauvaise germe.
      Aujourd’hui la germe est devenue un baobab difficile à déraciner.
      Ça va perdre la France.

       
    • #3315799
      Le 30 janvier à 08:57 par Borussia
      Les trans, c’est comme la France : c’était mieux avant

      @paramesh Avec ce genre de raisonnement, on ne devrait pas réprimer l’inceste, la zoophilie, la pédophilie, le viol, le meurtre.

       
  • #3315699
    Le 30 janvier à 00:15 par Petit-Pied
    Les trans, c’est comme la France : c’était mieux avant

    C’est remboursé à 100% par la Sécu, tu m’étonnes qu’ils aient des exigences en plus.

     

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  • #3315709
    Le 30 janvier à 01:32 par travelo pas de service
    Les trans, c’est comme la France : c’était mieux avant

    il s’est passé la même chose avec le mouvement gay-travelos qu’avec les Gilets Jaunes : ça a été récupéré et pris en main par les gauchistes... toute subversion et tout humour en a été banni. Les travelos présentés dans le reportage seraient traités de "fachos" ou de "pédés de droite" ou de "travelos élitistes" par la LGBT... pour un peu, ils seraient accusés d’homophobie, voire d’être des mâles blancs... ou comment enrégimenter l’aventure et la liberté.

    Ca me fait penser à ces socialos qui veulent faire des écrivains des fonctionnaires syndiqués ! Les écrivains, les travelos, les pédés, c’est comme les oiseaux : c’est fait pour rester libre.

    Comme disait Clermont-Tonnerre : tout leur accorder comme individus et rien comme communauté.

     

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  • #3315737
    Le 30 janvier à 05:36 par Sinabil
    Les trans, c’est comme la France : c’était mieux avant

    Les Grecs avaient parfaitement compris tous les enjeux de "la question homosexuelle", et l’avaient formalisée à travers le personnage de Dionysos pour intégrer ce désordre en le rendant compatible avec le service de l’ordre établi.

    En reconnaissant le caractère irrépressible de cette différence aux cotés de la norme, et en lui laissant un espace pour s’exprimer, La Norme en sortait renforcée car c’était le désordre accepté, organisé, et encadré, qui venait renforcer La Norme, car sa coexistence aux cotés de la norme reconnue comme telle, confirmait l’existence de la norme.

    Au final pour les Grecs ce qui menait à la folie véritable, ce n’était pas l’expression de "la différence" mais le refus par La Norme de laisser cette différence s’exprimer, à la seule condition qu’en retour la différence reconnaisse et valide l’existence de La Norme.

    Avec l’américanisation des années 60, nous avons assisté à une colonisation culturelle et politique de La Norme hellé-nochrétienne française, sournoisement sortie du cheval de Troie de la modernité et du progrès judéo-protestant anglo-saxon.

    La Différence ne vient plus confirmer la norme, mais la remplacer par l’adifférence, et d’un point de vue grec, l’addifférence (apeiron) c’est l’apanage du Chaos primordial.

     

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    • #3315766

      Très intéressant et pour exemple plus terre à terre, on peut retrouver cette normalisation de l’adifférence dans les écoles qui deviennent des usines à pédales (dans le sens de ne pas laisser les garçons mûrir comme des garçons et les filles comme des filles), où la recherche d’ancrer de la culpabilité ( de n’importe quoi, allant de la sexualité jusqu’à l’histoire de la 2nde GM) dés le plus jeune âge sert cette cause de psychopathes au pouvoir !

       
    • #3315868

      Nous assustons à un double mouvement.
      D’une part, l’exploitation des différences à des fins de chaos et de division.
      D’autre part, l’arasement de toutes les différences au nom du "tout se vaut" issu du libre examen protestant.

       
    • #3315954

      En reconnaissant le caractère irrépressible de cette différence aux cotés de la norme, et en lui laissant un espace pour s’exprimer,



      Ou plutôt, en refusant de le considérer comme un MAL, rendant la contagion de plus en plus "irrépressible", quitte à la fêter !

      Les grecs seraient totalement vampirisés par notre époque ; Leur moralité très relative n’aurait rien à opposer aux sophismes du temps, et aux désirs "irrépressibles" qui y sont encouragés.

      La gay pride n’est rien d’autre qu’une dionysie, et on s’en est très bien passé pendant nos siècles chrétiens.

      Donc une seule réponse acceptable : la maison de tolérance, qui rappelle que c’est un MAL qu’on tolère, et non une fantaisie de la vie qu’il conviendrait de fêter une fois par an parmi les grosses tata et les hommes déguisés en caniche.

      PS : le personnage de Dionysos n’est absolument pas une manière de formaliser la question homosexuelle, pas plus que la scatophilie, la zoophilie ou je ne sais quoi. C’est l’ivresse en général. Même les grecs, je pense, n’auraient pas accepté de mettre au premier plan une divinité aussi communautaire. Le goût de la transgression n’a pas besoin de se ruer immédiatement sur les dilatations de l’anus pour exister, et il y a plein de degrés en dehors de la pédérastie pour savoir apprécier et célébrer Dionysos..

       
    • #3316100
      Le 30 janvier à 22:41 par Dubitatif
      Les trans, c’est comme la France : c’était mieux avant

      Mouais... qu’est il advenu de la Grèce ?
      Et bien voilà.

       
    • #3316149
      Le 31 janvier à 04:10 par Sinabil
      Les trans, c’est comme la France : c’était mieux avant

      @Talon

      Lorsque je parle de caractère irrépressible de la différence c’est le fait d’être différent par nature sans chercher à l’être par provocation culturelle médiatiquement induite. Lorsque je parle de reconnaissance de la différence, c’est le fait d’accepter l’idée que dans l’espace public et en société, malgré le fait que la retenue est de mise, on ne peut pas toujours tout contrôler.

      Contrairement à la propagande communément admise, les Grecs n’ont jamais promu l’homosexualité, le terme n’existait pas, c’est un terme médical propre au XIXe siècle. Ils distinguaient Eros (l’attraction pure) et « la bestialité » sexuelle propre à Pan et aux satyres. Dans un monde fait de citoyens libres sujets, d’esclaves objets, et de métèques, ils distinguaient la sexualité visant à produire une lignée, et celle destinée à procurer du plaisir.

      Le culte de Dionysos était pratiqué essentiellement par les femmes, et c’étaient souvent des matrones, mères de familles pleines de dignité, qui se départissaient le temps d’une procession annuelle, de leur rigueur et de leur réserve, pour partir en délégation dans les villes voisines pour rappeler l‘existence de la différence et incarner la coexistence nécessaire, car la folie commence souvent avec le rejet de l’autre. Après avoir incarné, pour un temps donné, la nécessité d’accepter la différence de ceux qui n’ont pas choisi de l’être, elles reprenaient ensuite leur place de matrone pleines de dignité.

      Dionysos c’est l’incarnation de la figure de l’autre, c’est le caractère salutaire de la réciprocité dans la reconnaissance de la différence, c’est le rappel que nous avons tous la capacité de voir l’humain derrière toutes les apparences. Il est même installé au cœur de l’Olympe par Zeus pour rappeler que la présence de la différence au cœur de la norme n’est jamais préjudiciable.

      Le « Gauchisme transellejaibêtiste » c’est autre chose, c’est la dictature de l’adifférence, l’apologie du chaos de l’indistinction, la négation de tout par tous, le tous contre tous dans l’adifférence, c’est Eris.

       
    • #3316576
      Le 1er février à 08:00 par Talon
      Les trans, c’est comme la France : c’était mieux avant

      Sinabil
      ok, je prends votre précision



      Dionysos c’est l’incarnation de la figure de l’autre, c’est le caractère salutaire de la réciprocité dans la reconnaissance de la différence, c’est le rappel que nous avons tous la capacité de voir l’humain derrière toutes les apparences. [..]



      Ce n’est pas ainsi que j’en parlerai - càd : ce n’est pas ce que j’ai lu ou retenu.
      Tout en ayant conscience qu’on est peut-être en train de polémiquer sur une image onirico-historique sujette à caution

      Nous avons une vision très académique, ou disons intellectuelle de Dionysos, à partir d’éléments très artistes j’imagine (Théâtre, Poteries, peintures, poésie, chroniques peut-être ?), sans que cela puisse nous laisser présager de la manière dont le peuple assimilait ces notions à l’époque, ce qu’il en pensait réellement, comment il les vivait, etc.

      C’est comme si des gens dans 3000 ans tentaient de se faire une idée de notre "civilisation" présente à partir d’ouvrages littéraires ou poétiques retrouvés sous les briques, et jouaient de l’herméneutique pour élaborer une théorie très subtile sur nos saturnales du samedi soir, quand nous savons très bien que pour l’immense majorité il faut aller chercher du côté des instincts primaires...

      En gros, est-ce que les "sages" de l’époque n’ont pas un peu mystifié ?
      J’ai bien conscience que ces peuples avaient la piété chevillée au corps, ils ne pouvaient pas se permettre de se laisser aller comme nous, et de mépriser l’ordre sacré.
      Mais sur quoi réellement se fondent toutes ces lectures et interprétations très jargonantes à l’échelle d’un peuple entier, et sommes-nous certains de ne pas étudier la religion d’une petite caste d’élus capables de rationaliser ses fureurs sous forme poétique, pendant que l’immense partie du peuple ne cherchait tout simplement qu’à vivre une espèce de mardi gras festif et défoulant ?

      Peut-être avez-vous creusé cette question pour ce qui est de Dionysos
      De mon côté, la propension de l’ère moderne à tout amphigourer du haut de sa chaire, à toujours chercher à étonner, m’oblige à garder un peu mes distances. Mais je pèche peut-être par ignorance pour ce qui est des Grecs.

       
  • #3315768
    Le 30 janvier à 07:34 par JP-Groove
    Les trans, c’est comme la France : c’était mieux avant

    Le sketch de François Damien qui fait le trans vaut également le détour. La réaction de la mère qui explique à sa fille que n’importe quel homme peut être une femme en dit long sur la façon dont les gens acceptent le pire et transmettent leur bêtise à leurs enfants.

     

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  • #3315782

    Les questions de fond sont aujourd’hui : Qui paie les transitions (hommes-femmes ou le contraire) et Qui paie les retraites de ces trans-homos ?

    Réponse : Les hétéros et leurs enfants (pour une large part, à l’exception des homos-trans qui ont des descendants. Ils ne sont pas la norme).

     

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    • #3316234
      Le 31 janvier à 10:13 par toto l’asticot
      Les trans, c’est comme la France : c’était mieux avant

      Sodome et Gomorrhe ont dû disparaître comme ça :
      festif quand les pédés étaient jeunes, et riches, ensuite ils ont vieilli sont devenus bougons beaucoup moins permissifs aux fêtes, barbant et mal allant. Ils ont acheté des chiens et des chats pour remplacer la paternité , et quand ils sont morts ont eu pour toute oraison funèbre que la digestion de leur animal de compagnie.
      Un voyageur arrivant là a dû voir les corbeaux, les chiens, les chats et les rats prospérer sur l’or des pédés morts , récupérer un maximum de richesses, puis sont venus les pillards et ensuite les vandales.
      Entre temps les rares vieux pédés survivants ont dû en prendre plein la gueule ....
      En somme ce sont les hétéros et nos enfants qui permettons aux pédales de vivre leur pédalicité en paix.

       
  • #3315809
    Le 30 janvier à 09:23 par milesdavis
    Les trans, c’est comme la France : c’était mieux avant

    C’est moche depuis le départ. "Trans et esthétisme" ne vont pas ensemble...

     

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  • #3315876
    Le 30 janvier à 12:25 par Mein Kraft
    Les trans, c’est comme la France : c’était mieux avant

    C’est fou ce qu’il a rajeuni Nicolas Peyrac ! Le blond lui va pas mal... Ceci-dit, en intégrant de la folle dans son clip, le gus fait allégeance.

     

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  • #3315985

    J’avais un copain dans les trans pendant mon service.

    Il ne ressemblait pas du tout à ça ce qui montre bien que c’était mieux avant...

     

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