Mercredi 16 décembre 2015, un mois après les attentats, bravant tous les dangers, des milliers de Parisiens se concentrent dangereusement sur les trottoirs pour investir la mythique salle du Grand Rex, dans le IIe
Avant, le film de guerre était un peu con : il y avait les gagnants, et les méchants. Après un demi-siècle saturé de morale binaire, un tournant critique s’opère.
Diffusée initialement aux seuls adhérents d’E&R, l’émission Soral répond ! du 6 septembre 2015 est désormais accessible gratuitement à tous les internautes.
Privée par la dominance de toute interprétation sociopolitique lucide, il ne reste plus à la chaîne que la pornographie comme preuve de subversion culturelle.
Le succès de Jurassic World par rapport aux deux précédents films de la saga dinosaurienne prouve que plus la dose de propagande est grossière, plus elle est rejetée.
Extrait de l’entretien de mai-juin 2013, au cours duquel Alain Soral revenait sur le festival de Cannes 2013 et la Palme d’or accordée à La Vie d’Adèle d’Abdellatif Kechiche :
Les meilleurs critiques ne pourront jamais complètement expliquer pourquoi une scène sort de son film pour se graver dans la mémoire personnelle ou collective.
Se dessine, derrière l’ego sans limites de cet aventurier séducteur, le portrait d’un autre homme, dont la fonction pourrait se résumer par : publicitaire du sionisme.
Intouchables et Samba sont produits à la fois par Quad Productions, la société d’Olivier Nakache et Éric Tolédano et par la société Gaumont, présidée par Sidonie Dumas.