Triste médaille mondiale pour la France, pour son rôle dans la réduction de la liberté d’expression, non seulement en France, mais aussi sur le Twitter d’avant Musk.
Tout a commencé en 2016, date de l’ascension vertigineuse d’Emmanuel Macron, l’agent des forces occultes, de la Banque et des minorités actives.
La justice française a été privatisée par quatre ONG qui représentent les minorités agressives que nous connaissons tous ici.
Le site Civilization Works vient de publier un rapport explosif révélant comment Macron et l’État français ont piloté, via les ONG, un système de censure numérique mondiale.
Basé sur des documents internes de Twitter (les désormais célèbres Twitter Files), ce rapport intitulé : « How France Invented the Censorship Industrial Complex », met en lumière le rôle central de la France dans la mise en place d’un système de censure coordonné entre pouvoirs publics, ONG subventionnées, institutions européennes et médias.
Selon les auteurs, la France n’a pas seulement été pionnière dans la judiciarisation de la liberté d’expression depuis les années 1970, elle a aussi exporté ce modèle au reste de l’Union européenne, jusqu’à influencer la modération mondiale des grandes plateformes.
Les documents montrent qu’Emmanuel Macron a cherché à entrer directement en contact avec Jack Dorsey, alors PDG de Twitter, pour discuter des politiques de modération. Ces tentatives de communication, parfois insistantes, coïncidaient avec des actions judiciaires menées en France par plusieurs ONG contre Twitter.
L’enquête suggère une stratégie coordonnée : d’un côté, la pression politique au plus haut niveau ; de l’autre, la pression judiciaire et médiatique orchestrée par des organisations financées en partie par l’État et l’UE.
Quatre ONG se trouvent au centre de ce dispositif : SOS Racisme, SOS Homophobie, l’Union des étudiants juifs de France (UEJF) et J’accuse.
Toutes entretiennent des liens étroits avec l’État français ou les institutions européennes. Leurs actions visaient à :
contraindre Twitter à dépasser ses obligations légales ;
obtenir l’accès à ses données internes ;
peser sur l’élaboration des lois en matière de discours en ligne.
Le rapport souligne que ces actions judiciaires n’étaient pas toujours destinées à être gagnées sur le fond, mais servaient à présenter Twitter comme un acteur « irresponsable », à nourrir une pression médiatique et à appuyer des projets de loi comme la loi Avia, précurseur du Digital Services Act (DSA).
Cette stratégie s’inscrit dans une continuité historique. Depuis la loi Pleven de 1972, des ONG peuvent agir comme « procureurs privés » pour poursuivre en justice des propos jugés discriminatoires ou haineux.
Au fil des décennies, ce mécanisme a été élargi, donnant aux associations un rôle central dans la régulation de la parole publique.
Sous Macron, ce dispositif a été renforcé par de nouvelles structures, comme VIGINUM (2021), chargée de la lutte contre la désinformation. La France est ainsi devenue l’un des pays occidentaux les plus actifs dans les demandes de retrait de contenus en ligne.
L’enquête décrit une véritable coordination entre :
l’État (présidence, DGSE, justice, police) ;
les ONG financées ou affiliées ;
et les institutions européennes.
Ce maillage vise à instaurer un véritable complexe industriel de censure, capable d’influer sur la modération mondiale des plateformes.
Les Twitter Files – France ce rapport dévoilent ainsi un système inédit : une censure déléguée aux ONG, consolidée sous Macron et désormais institutionnalisée dans l’UE via le DSA.
Né pour encadrer le débat en France, ce modèle s’impose désormais à l’international, avec une conséquence directe : l’affaiblissement continu de la liberté d’expression numérique dans le monde.
Le thread récapitulatif du rapport
L’administration Trump et l’UE conduisent d’âpres négociations commerciales. Leur principal point d’achoppement ? La censure européenne des plateformes numériques. L’année dernière, Thierry Breton, alors commissaire européen au marché intérieur, avait menacé Elon Musk de sanctions après l’annonce d’une interview avec Donald Trump sur X. Nombreux sont ceux qui tablent sur « l’effet Bruxelles », la taille importante du marché de l’UE qui lui permet d’imposer sa réglementation au monde entier, y compris aux entreprises américaines, afin de procéder à la censure du contenu publié sur les plateformes, y compris par des citoyens américains résidant aux USA et protégés par le premier amendement de leur Constitution.
Des nouvelles informations extraites des TWITTER FILES laissent penser à une alliance objective du pouvoir politique français, de gouvernements successifs, de parlementaires, d’ONG affiliées à l’État, de médias mainstream subventionnés par l’État et d’institutions universitaires, travaillant à inciter le plus influent des réseaux sociaux à censurer des discours pourtant licites et à influencer sa « modération de contenu » bien au delà des frontières françaises et européennes.
Les TWITTER FILES et le rapport « La France a inventé le complexe industriel de censure » révèlent les origines de cette stratégie de censure holistique, pour ne pas dire totale, dont les pièces maîtresses sont les ONG :
— Le président Macron a tenté avec insistance de contacter le PDG de Twitter de l’époque, Jack Dorsey ; — Le timing de l’action de Macron suggère fortement une coordination avec des ONG afin d’obtenir davantage de censure et exiger la communication de données personnelles et sensibles des utilisateurs de Twitter ; — L’enchaînement des événements indique des tentatives de contournement de la loi de la part de divers acteurs non étatiques.
L’ enquête TWITTER FILES - FRANCE a été réalisée par @McmahonPascal et @battleforeurope, et éditée par @galexybrane et @shellenberger.
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