On savait depuis longtemps que les réseaux sociaux allaient être mis à l’amende par l’oligarchie européiste, tant qu’elle a encore le pouvoir sur les institutions et les gouvernements corrompus des 27, bien entendu. Toute résistance doit être anéantie en vue de la guerre oligarchique de 2026.

On commence donc par ce petit résumé qui va mettre les résistants en appétit.

Cela fait 25 ans que le Net est né en France, globalement, et la censure s’abat sur tout ce qui bouge. Mais qui censure et pourquoi ? Ce sont toujours les mêmes, une oligarchie qui détient tous les pouvoirs (argent, police, justice, armée, milices) et qui a les moyens de se payer une meute de valets.

On parlait protection de l’enfance et liberté d’expression, ça tombe bien, la transition est toute trouvée avec Morandini, qui se pose en mur contre les deux.

On le voit, le contrôle de la parole sur les médias mainstream est acquis, c’est grossier mais ça passe, il s’agit maintenant de punir les profiteurs de la liberté d’expression sur les réseaux. On le dit et le redit : une fois que tous les moyens d’expression seront bloqués, il ne restera que la rue, et ce sera le chaos. Ou la guerre, bien entendu, puisque la triplette Macron-Merz-Starmer veut la guerre pour 2026. L’Europe sera alors un champ de ruines que les Américains pourront reconstruire, comme en 45.

Les hostos, qui n’ont plus de place pour les malades français, se préparent à soigner des blessés par dizaines de milliers. C’est Le Figaro qui reprend une info du Canard enchaîné :

Selon ce document, datant du 18 juillet 2025, la France pourrait devenir la base arrière d’un conflit à grande échelle dans les prochains mois. Elle doit ainsi être prête à accueillir des centaines de milliers de soldats français et étrangers blessés. La création de centres médicaux, à proximité de ports ou d’aéroports afin de pouvoir « réacheminer » les militaires « vers leur nation d’appartenance », est en ce sens envisagée par le ministère de la Santé.

Soudain, on peut construire des hôpitaux ! Le ministère de la Santé n’a pas démenti, et a même surenchéri :

Le journal satirique prévient qu’entre 10 000 et 50 000 hommes pourraient être attendus dans les hôpitaux sur une période de 10 à 180 jours. « Dans le contexte international que nous connaissons, il est nécessaire d’anticiper les modalités du soutien sanitaire en situation de conflit de haute intensité », explique le ministère de la Santé dans le document.

Tout est prêt pour la grande déflagration, ce qui est le projet exact d’un Système dans l’impasse, et qui va renverser la table. Si les peuples ne la renversent pas avant... Les tensions intérieures et extérieures ne sont donc pas près de retomber, puisque le pouvoir profond a intérêt à les activer ou à les entretenir. Nous allons donc connaître une année de provocations oligarchiques inouïes pour pousser le peuple à se soumettre (à 80 %) ou à se révolter (les 20 % restants), ce qui justifiera une répression plus dure encore, et sur tout le monde (même les soumis). Vue d’ici, la situation semble coincée, voire désespérée.

Tout se contracte, l’activité du pays baisse, les Français comptent leurs sous, ils vont bientôt se barricader pour ne pas aller sur le front russe, ukrainien ou roumain. Macron n’est que la marionnette, comme le dit Colombie, d’un pouvoir profond qui a les moyens de pousser à la guerre et de se planquer quand les missiles tomberont, c’est aussi simple que ça.

En attendant, Moscovici nous demande de souffrir encore un peu, non pour des lendemains qui chantent, mais pour des lendemains qui déchantent encore plus. C’est la technique de la grenouille dans l’eau tiède.

La masse critique des Français n’a pas encore fait la connexion entre toutes ces données, qui ne mènent qu’à un endroit : la guerre, qu’elle soit civile ou extérieure. Mais s’ils n’ont pas une conscience claire des choses, ils ont vaguement conscience que quelque chose de lourd se prépare : la Bête de l’événement. Finalement, Macron n’a pas menti.

La dette, c’est ce qui permet à la Banque, ou au pouvoir profond, de diriger nos institutions (gouvernement, police, justice), et de les verrouiller à mort. C’est pour ça que la France, depuis le parachutage de Macron sur le trône (tout a été pensé depuis longtemps), est devenue un des plus grands producteurs de dette en Europe. Au détriment de son économie, et du niveau de vie de sa population. Leur usure, c’est notre niveau de vie !

On constate, encore une fois, que la prise de conscience augmente avec la répression : la répression accroit la prise de conscience, et la prise de conscience accroît la répression. Nous sommes dans une boucle infernale qui ne peut que péter.